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Réforme du concours / mastérisation n°2


seseb1

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Je ne sais pas si je suis sur le bon post' mais bon je me permets de poser ma question quand même (navrée si à l'avance cela a déjà été posé mais ....) :

Si on "repique" son année de Pe1 c'est "foutu" ?

Et si on est admis en 2009 en pe2 mais que l'on "repique" sa pe2,est-ce "foutu" là-aussi ?

Cette année devrait être la dernière PE1 donc tu ne peux pas la repiquer ; pour la PE2, impossible de te répondre c'est encore trop flou :idontno:

Donc si tu repiques c'est "grosso modo rentre chez toi" ? :blink:

Il existerait pas d'équivalent pour faire une seconde chance ou intégrer une m1 ?

A moins que la M1 soit réservée aux Pe2 qui repiqueraient... je finis par ne plus rien y comprendre...

Non non ; il devrait y avoir des possibilités de validation de crédits pour les admissibles du concours, qui leur permettraient d'entrée dans le futur M2.

Par contre si tu n'es pas admissible, là je pense qu'il faut recommencer à la base (M1).

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Voici les nouvelles fraiches de l'iufm!

Alors en effet l'année prochaine galère! pour ceux qui n'ont pas le concours cette année mais qui ont un M1 ou M2 il pourront se présenter au nouveau concours. Les étudiants en M1 devront en plus valider un M2 (pro de l'éducation qui se met en place progessivement). En ce qui concerne les personnes ayant une Licence , il faudra avoir un M1 donc les IUFM mettent en place des examens pour valider leur acquis le l'IUFM. Pour nous à Poitiers les concours blancs et orals blancs vont être notés. mais attention ces validations ne donnent pas un M1!! c'est excéptionnelle seulement un an! donc reussite absolue, sinon il faut recommencer à valider un vrai M1 (je sais pas si vous me suivez) De plus, seront pris en compte pour postuler au master si on a qu'une licence nos notes au concours c'est à dire si on a été admissible ou non. Voilà voilà....

En ce qui concerne le niveau C1, on va avoir un oral à l'IUFM pour nous le valider (enfin si on a le niveau :cry: )

Tout se met en place progressivement mais comme nous a dit la directrice certaines personnes sont pour l'instant oubliées soit les mères de 3 enfants, elles n'apparaissent dans aucun texte mais ils font une réclamation pour que leur cas soit a étudié. En ce qui concerne les personnes préparant le concours par le Cned pas les même possibilités d'avoir des validations d'acquis comme ceux de l'IUFM donc ils leur faudra un Master 1.

A l'issu de ce nouveau concours si on l'a c'est direct sur le terrain! on sera stagiaire à plein temps!! donc pu de formation...

En gros il nous reste cette année pour l'avoir sinon chaud chaud...

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J' avais cru comprendre que toutes les personnes admissibles cette année pouvaient aller en M2 ( y compris celles qui l'ont préparé hors IUFM).Ais je mal compris?

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Un seul mot : Bravo Cinday 82 pour ta réponse bien envoyée !

Je ne pensais pas que de telles polémiques pouvaient exister sur le forum ! Je suis surpris que des gens qui se considèrent "mâtures" puissent sortir de telles absurdités !

En attendant, on en est tous au même niveau donc au lieu de se "brouiller" sur des conneries, mettons ensemble notre énergie pour essayer de comprendre à quelle sauce on va être mangé ?

Bon courage à tout le monde (sans distinction) pour le CRPE !

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une petite précision:

Le M1 et M2 seront ils dispensés à la fac ou dans les IUFM?

(dans mon académie, l'IUFM est déjà rattaché à l'université alors je me demandais si le cursus ne serait pas dispensé dans chaque antenne de l'IUFM)

Quelqu'un a t'il la réponse?

MERCI

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Je ne comprends pas bien votre polémique sur les dispenses de diplômes.

Si je relis la note mis en lien en page 7, les mères de trois enfants et les troisièmes concours seront juste "dispensés de licence" et devront effectuer ensuite les 2 ans du master ("qui seront aménagés"). Donc autant dire qu'il n'y aura pas foule. Parce que faire 2 ans non rémunérées, cela me semble difficile !!!

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Si je relis la note mis en lien en page 7, les mères de trois enfants et les troisièmes concours seront juste "dispensés de licence" et devront effectuer ensuite les 2 ans du master ("qui seront aménagés"). Donc autant dire qu'il n'y aura pas foule. Parce que faire 2 ans non rémunérées, cela me semble difficile !!!

C'est certain, pour les salariés, notamment, deux années non rémunérées, va avoir comme conséquence de réduire les candidatures au troisième concours. Personnellement je peux passer l'externe ou le troisième concours, mais je ne pourrais pas me permettre de rester deux ans sans salaires . Le gouvernement sait très bien qu'en faisant cela, il atteint le but qu'il sait fixer: diminuer les candidateures donc les frais d'organisation du concours . Mais y aura --t-il beaucoup de places pour la troisième voie , c'est mois sûr aussi.

Sinon, peux-tu me dire de quelle page 7 tu parles, car j'essaye de retrouver le lien mais je n'y arrive pas.

merci

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Je ne comprends pas bien votre polémique sur les dispenses de diplômes.

Si je relis la note mis en lien en page 7, les mères de trois enfants et les troisièmes concours seront juste "dispensés de licence" et devront effectuer ensuite les 2 ans du master ("qui seront aménagés"). Donc autant dire qu'il n'y aura pas foule. Parce que faire 2 ans non rémunérées, cela me semble difficile !!!

salut on a pas dû lire la même note.

qui dit dispense de diplomes dit pas de master...

les formations qui seraient misent en place dans les facs seraient soit non diplomantes soit specifiques au personnes en reconversion et dispensées de diplomes.Ces formations existaient deja au sein de certains iufms afin d'aider les candidats ne pouvant pas acceder via un cursus type scolaire (pe1) a une preparation au concours

..... a aucun endroit , il n'est stipuler qu'ils leurs faudra ensuite intégrer un master..( c'est une dispense de diplome et non de licence:wink: )

voir la circulaire: ( c'est le paragraphe en bas de la page 2)

http://www.cafepedagogique.net/lesdossiers...rsEducation.pdf

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Bonjour,

Dans le Monde de l'Education de novembre 2008 (je suis abonné donc je le reçois un peu en avance), il y a un article sur le nouveau concours. Les scanns étant trop lourds, j'ai dû les héberger sur un serveur (free.fr). Les liens pour accéder à ces scanns sont ci-dessous :

Article 1ère partie :

http://dl.free.fr/qtWTwjWgP

Article 2ème partie :

http://dl.free.fr/qkfHydt1W

N'oubliez pas de cliquer sur les scanns (dans la nouvelle fenêtre qui s'ouvre) pour zoomer et pouvoir lire!

Bonne lecture

Stéphane

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Je ne comprends pas bien votre polémique sur les dispenses de diplômes.

Si je relis la note mis en lien en page 7, les mères de trois enfants et les troisièmes concours seront juste "dispensés de licence" et devront effectuer ensuite les 2 ans du master ("qui seront aménagés"). Donc autant dire qu'il n'y aura pas foule. Parce que faire 2 ans non rémunérées, cela me semble difficile !!!

salut on a pas dû lire la même note.

qui dit dispense de diplomes dit pas de master...

les formations qui seraient misent en place dans les facs seraient soit non diplomantes soit specifiques au personnes en reconversion et dispensées de diplomes.Ces formations existaient deja au sein de certains iufms afin d'aider les candidats ne pouvant pas acceder via un cursus type scolaire (pe1) a une preparation au concours

..... a aucun endroit , il n'est stipuler qu'ils leurs faudra ensuite intégrer un master..( c'est une dispense de diplome et non de licence:wink: )

voir la circulaire: ( c'est le paragraphe en bas de la page 2)

http://www.cafepedagogique.net/lesdossiers...rsEducation.pdf

Disons que comme désormais il n'y plus de formation après le concours, mais une avant (en 2 ans) et que dans cette fameuse page (bas de la page 2), il parle "d'aménagement de formation" et pas de concours accessible en candidat libre... c'était mon impression perso, mais peut-être que je me trompe !! Et j'aimerais mieux !!!!

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thanks!

Moi j'ai ça :

Main basse sur l’école publique :

un essai salutaire Xavier Darcos veut-il démanteler l’école publique ? OUI, répondent les auteurs d’un livre paru chez Demopolis Pour l’enseignant Eddy Khaldi et la journaliste Muriel Fitoussi, l’actuel ministre de l’Education nationale entend saper les bases de l’école publique républicaine et pousser peu à peu classes moyennes et supérieures vers le privé.

Leur livre, "Main basse sur l’école publique", est, malheureusement, aussi étayé que convaincant.

Les auteurs se sont penchés sur la généalogie des idées qui marquent ce gouvernement, en matière d’éducation nationale. Celles-ci vont puiser dans un vivier idéologiquement marqué, qui emprunte aussi bien au Club de l’Horloge

(extrême-droite) qu’à l’Opus Dei.

Catholiques conservateurs et droite ultra-libérale se sont rejoints, expliquent Eddy Khaldi et Muriel Fitoussi, pour prôner "le chèque éducation" (aux Etats-Unis, "school voucher") : un coupon donné à l’école de son choix. L’école remet

le coupon au gouvernement, qui le convertit en argent. On se doute des conséquences d’une telle mesure : appauvrissement

de l’école publique, enrichissement des écoles privées les plus prisées, baisse générale du niveau des enseignants,

fin de toute mixité sociale.

Xavier Darcos s’est bien gardé, expliquent les auteurs, d’appliquer d’emblée une mesure si brutale. Pour affaiblir l’école

publique et préparer les esprits, mieux vaut avancer masqué. Il s’agit d’abord, martèle le gouvernement, de faire des

économies. Sans guère susciter de réaction, deux heures d’enseignement ont ainsi été supprimées cette année dans le

primaire (le samedi matin). Suppression également de 11.200 postes d’enseignants dans l’Education nationale (13.500

prévus l’an prochain). Détail rarement souligné, mais relevé par nos auteurs (pages 69 et 7 : le gouvernement a ôté, en

proportion, moins de postes dans le privé (les enseignants des écoles sous contrat sont payés par l’Etat), que dans le

secteur public.

Insidieusement, l’argent public s’oriente de plus en plus vers l’enseignement privé, en particulier catholique. Et le

mouvement ne date pas d’aujourd’hui : la loi sur la décentralisation du 13 août 2004 "impose aux communes de

contribuer aux frais de scolarité des élèves qui résident sur leur territoire et sont inscrits dans une école privée située

sur une autre commune". Une loi impulsée par Jean-Pierre Raffarin qui aurait prononcé en juin 1994, devant des

personnels d’établissement catholique de Poitou-Charentes, cette phrase ahurissante : "Je ne serai pas le complice du

développement de l’enseignement public" (page 142).

Autre concession de taille à la droite la plus réactionnaire : la suppression des IUFM, dénoncés depuis longtemps par

celle-ci comme un nid de "pédagogistes" malfaisants. "L’économie réalisée par une telle opération se chiffre à près de

30.000 emplois de stagiaires, le volet IUFM du budget de l’education nationale étant purement et simplement

supprimé, puisque la formation dispensée aux élèves-professeurs ne serait plus rémunérée". Conséquence incroyable :

l’enseignement devient le seul métier qui ne nécessite pas de formation spécifique.

A ranger dans le même rayon, la pseudo-suppression de la carte scolaire. Comme il est difficile de pousser les murs,

lycées et collèges publics cotés n’accueillent pas plus d’enfants. L’annonce gouvernementale d’"aménagement" de la

carte scolaire a surtout multiplié les parents déçus, qui se sont rabattus (quand ils ont pu) sur les lycées et les collèges

privés. Une déception qui ne doit rien au hasard : si l’on en croit les auteurs du livre, tel était le but de la manoeuvre.

"Devant le naufrage annoncé et comme précipité de l’Education nationale, ... l’école privée, bien que porteuse de

ségrégation sociale, est en passe de devenir le nouvel eldorado de familles séduites par les slogans des marchands

d’école, à longueur de palmarès et d’articles élogieux que, pourtant les statistiques officielles démentent."

Autant lire au plus vite cet ouvrage salutaire qui met en garde l’ensemble des parents contre l’asphyxie programmée

de l’école républicaine. Certes, celle-ci ne saurait être exempte de critique et ne parvient pas toujours à mener à bien

toutes ses missions. Mais elle tente de le faire, avec de moins en moins de moyens. L’école publique est encore un lieu

de mixité sociale, et elle est seule à garantir un enseignement laïc, gratuit et obligatoire. Un héritage en voie de liquidation.

> "Main basse sur l’école publique" Eddy Khaldi et Muriel Fitoussi (Demopolis, 20 euros)

http://www.main-basse-sur-ecole-publique.com/

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