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qui a fait suivre à son enfant la rééducation en écriture


mlca66

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Mon fils a aussi eu des séances avec la rééducatrice qui est sur Paris...

Il a un an d'avance, a sauté le CP et n'a jamais vraiment appris à former correctement les lettres... Il a toujours détesté colorier et dessiner, encore maintenant ses dessins sont très rares...

Il était en conflit avec la maîtresse de CE2, jusqu'à refuser totalement d'écrire... Donc nous avons fait plusieurs séances, des exercices réguliers entre, ça l'a beaucoup aidé. La rééducatrice est aussi maman d'EIP, elle en a aussi parlé avec mon loulou, je pense que ça l'a fait réfléchir sur la place de l'écrit, des savoirs....

Il est entré en 6° cette année, plus de souci pour écrire, même si son écriture reste "grosse" (ses lettres dépassent des lignes), il tient bien son crayon et n'a plus de douleurs....

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bonjour

merci pour ta réponse,

effectivement les cahiers de début de CP sont bizarre, une espèce de seyès agrandi, ça ne doit pas aider...

je vais en parler à la rééducatrice car du coup pour nepas le perturber j'ai acheté le même "bizarre" mais de vais demander à la réééducatrice tout à l'heure

Si, si, le seyès agrandi, c'est bien. C'est le "double rail" qui pose problème, parce que c'est un peu trop grand, et puis il n'y a rien pour "poser" les d et les t. Et ça fait se réadapter ensuite au Seyès, c'est ce que Julie a voulu dire (enfin, je crois, je suis gonflée de parler en son nom après tout).

Je pense que tu as bien fait. On ne peut pas écrire directement sur du Seyès normal, c'est trop petit.

Je confirme pour l'absence de la troisième ligne, qui est gênante pour le t et le d. Et effectivement, le seyès agrandi est gênant quand on a déjà fait le chemin jusqu'au Seyès. Il est passé par le Seyès agrandi (mais avec tous les interlignes ... cependant, je n'ai trouvé ça que chez Clairefontaine, donc très cher) avant de passer au Seyès.

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La rééducatrice est aussi maman d'EIP,

:sleep: et le courant est passé parfaitement avec mes zippés à moi ;) Mais bon, ce n'est pas le sujet non plus ...

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  • 1 mois plus tard...
La rééducatrice est aussi maman d'EIP,

:sleep: et le courant est passé parfaitement avec mes zippés à moi ;) Mais bon, ce n'est pas le sujet non plus ...

Est-ce possible d'avoir les coordonnées de cette personne sur Paris s'il vous plait ???? Par MP.

Merci beaucoup.

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je me suis mal expliquée ce n'est pas comme du seyès agrandi, là on dirait qu'il manque des interlignes, un seyès incomplet ? je ne sais pas comment être plus claire

un cahier de musique ? :angel_not:

Il est passé par le Seyès agrandi (mais avec tous les interlignes ... cependant, je n'ai trouvé ça que chez Clairefontaine, donc très cher) avant de passer au Seyès.

Vous pouvez les trouver moins chers sur les catalogues NLU, LIRA, PICHON, ..., enfin, les fournisseurs des écoles primaires.

Il y a du seyes agrandi 4 mm (pour la mater), 3 mm, et 2.5 mm (mon préféré !). Mais bon, en 6è, c'est un peu tard, non ?

Ce que je ne comprends pas (et veux bien qu'on m'explique, car c'est juste une question :wink: ), c'est pourquoi un enfant en avance partout ailleurs aurait plus de difficultés en écriture ?

J'ai eu des élèves de MS qui sont passés directement en CP (ou des GS passés directement en CE1), mais on a travaillé l'écriture avant de les lancer dans le grand bain ! :blink: L'écriture me semble aussi noble que la lecture et les mathématiques.

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Ce que je ne comprends pas (et veux bien qu'on m'explique, car c'est juste une question :wink: ), c'est pourquoi un enfant en avance partout ailleurs aurait plus de difficultés en écriture ?

J'ai eu des élèves de MS qui sont passés directement en CP (ou des GS passés directement en CE1), mais on a travaillé l'écriture avant de les lancer dans le grand bain ! :blink: L'écriture me semble aussi noble que la lecture et les mathématiques.

D'abord, tous les enfants précoces n'ont pas de problème en écriture. (D'une manière générale, les filles précoces ont moins de mal avec l'écriture que les garçons).

Ensuite, il est rare qu'un enfant soit en avance partout: Un enfant intellectuellement précoce de 6 ans avec 130 de QI a un age mental de plus de 7 ans et demi. Pour une partie des compétences intellectuelles, on peut considérer qu'il est au même niveau qu'un enfant de son age mental. Par contre, certaines compétences ne dépendent que de l'âge chronologique . La motricité fine en fait partie. Pour écrire, l'enfant a des petites mains de 6 ans.

A cela s'ajoute fréquemment le perfectionnisme: L'enfant arrive à imaginer l'objectif à atteindre: une belle production du niveau de celle que ferait un enfant non précoce plus âgé. Mais quand il veut faire ce qu'il se représente, la main est trop maladroite. Il ressent de la frustration, de la déception. Même si on lui dit "c'est très bien", il sait que ça n'a rien à voir avec ce qu'il voulait faire. Alors l'enfant va se mettre à éviter cette activité qui lui procure un sentiment d'échec. Et c'est le cercle vicieux qui s'enclenche. Je n'aime pas parce que je n'y arrive pas, j'évite donc je ne progresse pas, je n'y arrive pas donc je n'aime pas.

Enfin, à la précocité se greffe parfois des troubles dys, des soucis de concentration, d'hyperactivité... Dans ce cas, je pense que ce sont ces troubles qui sont à l'origine des problèmes d'écriture et de motricité fine. Le soucis est que fréquemment, chez les enfants "doublement exceptionnels" qui cumulent 2 ou plusieurs différences par rapport à la norme, une différence masque l'autre. La précocité va compenser la dyslexie par exemple et la dyslexie va empêcher la précocité de s'exprimer. On pourra ainsi avoir un loulou de CP qui est à la fois précoce et dyslexique et qui lit ni mieux ni plus mal que le reste de sa classe parce que les 2 phénomènes se compensent.

Sur le sujet de la comparaison d'EIP et d'enfants normaux de même âge mental, il y a un livre passionnant pour ceux que cela intéresse: "Les enfants à haut potentiel: caractéristiques cognitives et développementales" de Pascale Planche. Il en ressort que les EIP ne se développement pas au même rythme que les autres. Ce qui fait qu'ils sont parfois en avance par rapport à des enfants de même âge mental mais qu'il y a aussi des périodes où ils sont en retard. Tout cela est mesuré grâce à certains tests de Piaget.

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Ce que je ne comprends pas (et veux bien qu'on m'explique, car c'est juste une question :wink: ), c'est pourquoi un enfant en avance partout ailleurs aurait plus de difficultés en écriture ?

J'ai eu des élèves de MS qui sont passés directement en CP (ou des GS passés directement en CE1), mais on a travaillé l'écriture avant de les lancer dans le grand bain ! :blink: L'écriture me semble aussi noble que la lecture et les mathématiques.

D'abord, tous les enfants précoces n'ont pas de problème en écriture. (D'une manière générale, les filles précoces ont moins de mal avec l'écriture que les garçons).

Ensuite, il est rare qu'un enfant soit en avance partout: Un enfant intellectuellement précoce de 6 ans avec 130 de QI a un age mental de plus de 7 ans et demi. Pour une partie des compétences intellectuelles, on peut considérer qu'il est au même niveau qu'un enfant de son age mental. Par contre, certaines compétences ne dépendent que de l'âge chronologique . La motricité fine en fait partie. Pour écrire, l'enfant a des petites mains de 6 ans.

A cela s'ajoute fréquemment le perfectionnisme: L'enfant arrive à imaginer l'objectif à atteindre: une belle production du niveau de celle que ferait un enfant non précoce plus âgé. Mais quand il veut faire ce qu'il se représente, la main est trop maladroite. Il ressent de la frustration, de la déception. Même si on lui dit "c'est très bien", il sait que ça n'a rien à voir avec ce qu'il voulait faire. Alors l'enfant va se mettre à éviter cette activité qui lui procure un sentiment d'échec. Et c'est le cercle vicieux qui s'enclenche. Je n'aime pas parce que je n'y arrive pas, j'évite donc je ne progresse pas, je n'y arrive pas donc je n'aime pas.

Enfin, à la précocité se greffe parfois des troubles dys, des soucis de concentration, d'hyperactivité... Dans ce cas, je pense que ce sont ces troubles qui sont à l'origine des problèmes d'écriture et de motricité fine. Le soucis est que fréquemment, chez les enfants "doublement exceptionnels" qui cumulent 2 ou plusieurs différences par rapport à la norme, une différence masque l'autre. La précocité va compenser la dyslexie par exemple et la dyslexie va empêcher la précocité de s'exprimer. On pourra ainsi avoir un loulou de CP qui est à la fois précoce et dyslexique et qui lit ni mieux ni plus mal que le reste de sa classe parce que les 2 phénomènes se compensent.

Sur le sujet de la comparaison d'EIP et d'enfants normaux de même âge mental, il y a un livre passionnant pour ceux que cela intéresse: "Les enfants à haut potentiel: caractéristiques cognitives et développementales" de Pascale Planche. Il en ressort que les EIP ne se développement pas au même rythme que les autres. Ce qui fait qu'ils sont parfois en avance par rapport à des enfants de même âge mental mais qu'il y a aussi des périodes où ils sont en retard. Tout cela est mesuré grâce à certains tests de Piaget.

Plein de bonnes explications, auxquelles on peut ajouter la lenteur inhérente à l'écriture, en décalage avec la rapidité de la pensée. On dit souvent que "la main ne va pas assez vite". Bref : l'écriture est un truc très frustrant, qui résiste (ce à quoi le petit précoce n'est pas forcément habitué ...), au point qu'il puisse y avoir blocage assez rapidement.

Cela dit, quand je vois mes classes de collège, je me dis que les problèmes d'écriture ne concernent pas que les précoces, loin de là. Un élève sur deux, au moins, ne sait pas tenir un crayon, ne sait pas tenir une ligne ou former/enchaîner correctement ses lettres, ce qui donne des écritures sales (pas très grave) ou illisibles (plus grave). Parfois, ils font illusion jusqu'en 5ème, et on voit leurs écritures se détériorer en 4ème, quand la vitesse augmente (y compris chez de bons élèves sérieux ... ce n'est pas le j'm'en-foutisme ado qui passe par là !).

La question de la formation à l'enseignement de l'écriture n'est plus guère à l'ordre du jour, la formation à l'enseignement en général devenant un concept assez éthéré. Ce n'est donc pas demain la veille que les choses vont s'améliorer !

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La question de la formation à l'enseignement de l'écriture n'est plus guère à l'ordre du jour, la formation à l'enseignement en général devenant un concept assez éthéré. Ce n'est donc pas demain la veille que les choses vont s'améliorer !

Je pense ne jamais avoir été formée à l'écriture.

La principale différence entre mes débuts et maintenant (et ça doit être encore plus marquant pour mes collègues aînés d'une dizaine d'année), c'est l'attente des familles par rapport au soin des cahiers en général, et leur indiscipline quant respect du matériel demandé par l'enseignant.

Dans ma jeunesse, la maîtresse demandait des "bics orange" pour écrire sur le cahier de classe, et il ne venait à personne l'idée d'acheter autre chose à son enfant. Elle était exigeante et quelquefois, des pages étaient arrachées, mais les parents étaient en accord.

Et c'est vrai que les cahiers étaient bien mieux tenus que maintenant!

Maintenant, si l'enseignant demande un type de stylo, la moitié des élèves de la classe a autre chose d'emblée, et au cours de l'année, o retrouve des élèves de cp écrivant avec des "engins" aberrants type stylos publicitaires avec des ressorts et des jouets au bout. :blink:

Et si jamais il a le malheur d'être un peu exigeant quant au soin, il se fait ruer dans les brancards !

Alors les jeunes enseignants, qui ont eux-mêmes eu moins de rigueur dans leurs études, ne voient pas forcément l'écriture et le soin comme des apprentissages comme les autres, ou veulent tout simplement la paix, et laissent faire, ce qui donne des catastrophes !

Le recours exclusif aux fichiers en cycle2, y compris pour l'écriture, n'arrange pas les choses.

Donc avant de penser à rééduquer, il me semble qu'il faudrait déjà tout mettre en oeuvre pour éduquer.

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Je pense ne jamais avoir été formée à l'écriture.

(...)

Dans ma jeunesse, la maîtresse demandait des "bics orange" pour écrire sur le cahier de classe, et il ne venait à personne l'idée d'acheter autre chose à son enfant. Elle était exigeante et quelquefois, des pages étaient arrachées, mais les parents étaient en accord.

Et c'est vrai que les cahiers étaient bien mieux tenus que maintenant!

(...)

Alors les jeunes enseignants, qui ont eux-mêmes eu moins de rigueur dans leurs études, ne voient pas forcément l'écriture et le soin comme des apprentissages comme les autres, et laissent faire, ce qui donne des catastrophes !

L'apprentissage de l'écriture ne devrait pas viser à faire "joli", mais à obtenir une écriture efficace, c'est-à-dire lisible, fluide, non douloureuse, permettant plus tard une certaine accélération sans risquer une dégradation inacceptable de la lisibilité. Le stylo bille n'est sans doute pas l'outil le mieux adapté (au niveau de la pression à exercer surtout) et si j'ai accédé aux demandes de l'instit pour ne froisser personne, je suis assez désespérée de savoir que mon loulou va devoir passer au bic dans quelques temps. J'aurais largement préféré qu'il apprenne à manier le stylo plume (oui, je sais, mal manié, c'est sale, et apprendre à le manier peut être assez long !).

Par ailleurs, le fait d'arracher des pages ne peut se faire que si l'enseignement de l'écriture a été au préalable très bien mené, et que l'enfant n'a aucune excuse. L'écriture de mes collégiens me désole, mais quand je les vois en train d'écrire, et l'étendue de leurs "lacunes" en la matière, je me dis que les principaux responsables, ce n'est pas eux. Je leur signale donc une écriture illisible, je tente de leur donner des pistes pour amliorer ce qui doit absolument l'être et, de fait, leurs travaux sont pénalisés plus ou moins directement par ces difficultés, dont nous sommes responsables pourtant. Une réponse illisible ne peut être comptée comme juste, un devoir sale fait mauvaise impression, et cette saleté joue sans doute inconsciemment sur la note finale, quand note il y a ... (je ne note pas mes 6ème cette année, mais il y a un critère "présentation", dans lequel la lisibilité entre en ligne de compte). Bien sûr, j'essaie de leur donner des conseils, de rattraper certains défauts, mais à 11 ou 12 ans, ça devient franchement compliqué quand on n'a pas le temps, ni la formation.

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La question de la formation à l'enseignement de l'écriture n'est plus guère à l'ordre du jour, la formation à l'enseignement en général devenant un concept assez éthéré. Ce n'est donc pas demain la veille que les choses vont s'améliorer !

Donc avant de penser à rééduquer, il me semble qu'il faudrait déjà tout mettre en oeuvre pour éduquer.

éduquer tiens ça c'est bien dit

mais quand en début de CP je constate (ou re constate)

que mon fils tient son crayon la main recroquevillée vers lui

qu'il semble ambidextre pour beaucoup de choses mais décidé (?) pour l'écriture à utiliser la main droite

que mon fils fait les lettres rondes ("a","o" "g"...) en partant du bas et dans le sens de l'horloge (à l'envers donc par rapport au tracé normal)

que mon fils fait les lettres baton ("t","i","l"...) en partant du bas et en remontant

qu'il me dit au bout de 2 jours d'école, d'un air désemparé (ce qui n'est pas du tout son style) "maman explique moi comment on attache les lettres parce que je ne comprends pas"

que très vite après la rentrée il commence à se bloquer sur l'école

que l'année dernière sa maitresse de GS a été absente au moins 3 semaines entre chaque période de vacances scolaires (pas pour raison de santé, mais à chaque fois qu'elle se frittait avec la directrice), pas toujours remplacée, sans continuité pédagogique,

que je l'ai rencontrée l'an dernier au moins 4 fois (à ma demande) pour ces histoires d'écriture / graphisme car je voyais sur les cahiers et à la maison que ça me semblait moyen moyen, et qu'elle me disait de ne pas m'inquiéter, qu'il n'aurait jamais une belle écriture mais que ça finirait par venir

que lundi dernier (soit juste après la 3ème séance de rééducation) j'ai croisé la maitresse de CP qui me dit qu'il a fait des progrès, que c'est "sans commune mesure avec le début" (je cite) et que maintenant il finit à temps

quand je vois la différence d'écriture entre le début de l'année et maintenant

quand je vois mon petit garçon qui après la séance quotidienne de rééducation me montre spontanément ce qu'il écrit, me demande comment tel mot ou telle lettre s'écrit en cursive bref, je le sens s'approprier le geste et le plaisir de l'écriture...je me dis que j'ai l'impression qu'on est passé juste à côté d'un beau gâchis

...je remercie enviedespoir (elle saura pourquoi... on se croise sur un autre forum)et la rééducatrice :wub:

...je regrette que certains cahiers (hein enviedespoir !) ne soient pas obligatoires en maternelle

...je regrette que certains (pas tous, inutile de me tirer à boulets rouges dessus !) enseignants n'aillent pas chercher un peu plus loin que les méthodes habituelles...

peut être que d'autres façons de faire fonctionnent mais cette rééducation semble la bonne pour mon fils et c'est tout ce qui m'importe

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Il y a effectivement davantage de part de responsabilité des éducateurs (enseignants mais également parents, car on n'écrit pas qu'à l'école, enfin, on ne devrait pas) que de celle des enfants, mais personnellement, lorsque j'ai eu des classes de CP, alors que j'ai mis un point d'honneur à faire de véritables leçons d'écritures, j'ai pu trop souvent déplorer l'attitude des parents qui n'encourageaient pas leurs enfants à s'appliquer, à se dépasser. Pourtant, on ne peut pas dire que je les stressais ! :wink:

Et je n'ai pas souvenir qu'à mon époque, on écrivait beaucoup à l'école maternelle. On apprenait réellement au cours préparatoire ... et à la maison.

On prenait le temps de former les lettres dans le bon sens, de les lier peu à peu.

Par contre, les enseignants étaient bien plus exigeants et ne laissaient pas passer autant de manque de soin et d'application.

J'en ai eu, des pages arrachées, au CE1, mais qu'est-ce que je remercie ma maîtresse ! :D

Elle m'a appris que mieux vaut prendre le temps de s'appliquer, plutôt que d'avoir à recommencer, et ça me sert énormément depuis.

JulieMarmotte, je citais le stylo, pour donner un exemple, mais je pense qu'en début de CP, le crayon à papier est préférable.

Quand au stylo-plume ... euh, abandonne tes collégiens et viens t'occuper de 25 CP à qui tu confieras cet outil, et ... on en reparlera.

Personnellement, j'aime bien le stylo pointe fine, j'assume, car son écriture fine rend jolies et lisibles les écritures les plus hésitantes.

(faites un essai comparatif avec un stylo pointe moyenne)

Je veux bien voir une page de ce cahier miracle, pour comprendre ce qu'il a de plus. :wink:

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