elisab Posté(e) 8 juin 2012 Posté(e) 8 juin 2012 Lointain souvenir de la peau de Russell Banks C'est un livre très bien écrit, qui ne traite pas d'un sujet ordinaire.
nathaliedub Posté(e) 8 juin 2012 Posté(e) 8 juin 2012 Quant à moi je lis définitivement de la chick lit... http://nathalu.over-blog.com/ et je termine d'écrire la suite de mon roman...de chick lit...dont le premier est en vente sur TBE... http://www.thebookedition.com/sacree-petite-robe-noire-nathalie-ribierre-dubile-p-79355.html
Gianna Posté(e) 8 juin 2012 Posté(e) 8 juin 2012 J'ai commencé Entretien avec un pirate. Dans l'Antarctique, les baleiniers japonais tuent chaque année plusieurs centaines de cétacés. Pour contourner le moratoire sur la chasse commerciale des baleines, Tokyo pratique cette pêche sous couvert de programmes scientifiques. Pourtant, les écologistes obtiennent des résultats : les pêcheurs japonais, qui avaient l'intention de tuer 850 baleines de Minke, ne sont revenus qu'avec 507 cétacés en 2010 et la Cour internationale de justice (CIJ) a été saisie afin d'obliger le Japon à mettre fin à son programme de chasse.Les campagnes de Sea Shepherd (Berger des mers), contraignent les écologistes à passer plusieurs mois dans l'un des endroits les moins hospitaliers de la planète, pour une expérience que l'organisation déconseille aux grincheux, trouillards et à ceux qui aiment leur matelas...Sea Shepherd Conservation Society a vu le jour en 1981, aux États-Unis, dans l’état de l’Oregon. Mais l’idée même de Sea Shepherd avait déjà germée dans l’esprit du capitaine Paul Watson avec la création de la Earth Force Society en 1977, à Vancouver. Le but premier des deux organisations était la protection et la conservation des mammifères marins, avec pour objectif immédiat de mettre un terme à la chasse illégale des phoques et des baleines, Sea Shepherd s’est ensuite donné pour mission d’élargir son action à toute la faune marine.Sea Shepherd, avec son approche frontrale, est l'organisation écologique la plus efficace. Paul Watson J'ai commencé hier, et je suis rentrée directement dans son témoignage ! Bonne lecture en perspective !
joelafrite Posté(e) 8 juin 2012 Posté(e) 8 juin 2012 Ray Bradbury nous a quittés. Je conseille à ceux qui ne l'ont pas encore lu, le visionnaire Fahrenheit 451. +1 C'était un poète de la SF ... à lire : les recueils de nouvelles comme Chroniques martiennes, à l'ouest d'octobre, ou l'homme illustré
Myrthil Posté(e) 8 juin 2012 Posté(e) 8 juin 2012 Ici j'ai commencé à lire Replay de Ken Grimwood. J'accroche bien pour l'instant ! Mon mari me l'a pris, du coup on est deux sur le bouquin ! Je suis tombée sur ce bouquin par hasard, il me tente bien : http://www.amazon.fr/Nouvelles-contemporaines-Regards-sur-monde/dp/201323287X/ref=pd_sim_b_10 L'avez-vous lu ?
poupoune69 Posté(e) 8 juin 2012 Posté(e) 8 juin 2012 je lis le feuilleton de thésée après avoir lu celui d'hermès:géniaux..
ximixt Posté(e) 13 juin 2012 Posté(e) 13 juin 2012 J'ai terminé Pour qu'il ne meure jamais de Jean Bertolino. J'étais très emballée par la quatrième de couverture mais finalement je n'ai pas trop accroché: Une femme seule défie les seigneurs de la guerre du Triangle d’or Après la mort par overdose de son fils unique, Julian, au Cambodge, Judith n’a qu’une obsession : faire payer le prix du sang à ses assassins. Et pour elle, les assassins, ce sont les mafias du Triangle d’or qui inondent de stupéfiants tout le Sud-Est asiatique. Mais comment cette femme seule pourra-t-elle relever pareil défi ? Comment cette biologiste de profession pourra-t-elle se muer en une guerrière impitoyable ? Sans l’appui providentiel d’un ami de longue date travaillant pour les services secrets, sa mission eût été impensable. Il lui donnera les moyens de recruter quatres mercenaires, aussi inattendus que pittoresques. Avec eux, et le concours d’ethnies opprimées de la région, elle va se lancer dans une traque qui l’amènera des bas-fonds de Phnom-Penh, aux casinos véreux de la frontière birmane, et dans tous les lieux interlopes qui bordent le Mékong. Grâce à ses compagnons, elle parviendra à s’infiltrer au cœur du dispositif ennemi, chez les mafieux les plus cruels du monde, là où aucune police n’a encore osé se risquer. Et pour cause...
genevièveT Posté(e) 13 juin 2012 Posté(e) 13 juin 2012 je lis le feuilleton de thésée après avoir lu celui d'hermès:géniaux.. Ouvrages sublimes et pour ceux-celles qui veulent bosser dessus avec leurs élèves, un petit tour chez Bruce Demaugé (ici : http://bdemauge.free.fr/index_mythes.htm) pour admirer et s'inspirer de son travail fantastique !!!
minou44 Posté(e) 14 juin 2012 Posté(e) 14 juin 2012 De Russel Banks, j'avais adoré "Sous le règne de Bone". SInon un auteur classique que je peux lire et relire sans me lasser: Jean Giono. Mes préférés: "Un de Beaumugnes", "Regain", "que ma joie demeure", "l'homme qui plantait des arbres" Ray Bradbury, un must aussi, farenheit et les chroniques martiennes.
sogna Posté(e) 15 juin 2012 Posté(e) 15 juin 2012 Dernièrement, j'ai lu Et puis Paulette... frais, optimiste, un régal de lecture. Je lis en ce moment Jim Fergus (Mille femmes blanches) dans Marie Blanche. Un récit romancé mais reprenant des épisodes de sa vie. Il évoque sa mère, sa grand-mère. Souvent déroutant mais bien écrit. "Une inoubliable fresque familiale à travers un siècle et trois continents : l'auteur de Mille femmes blanches confirme son exceptionnel talent de conteur et nous offre un chef-d'oeuvre. 1995, région des Grands Lacs. Jim Fergus rend visite à sa grand-mère, Renée, 96 ans. Fille d'aristocrates français désargentés, mariée trois fois, celle-ci a connu un destin hors du commun, qui l'a menée de son petit village natal de la région de Senlis jusqu'aux Etats-Unis, en passant par les sables de l'Egypte. D'un caractère entier, froide et tyrannique, elle a brisé la vie de sa famille, en particulier celle de sa propre fille, Marie-Blanche, la mère de Jim. Pour essayer de la comprendre, et peut-être de lui pardonner, celui-ci va tenter de retracer son parcours. En parallèle, à travers le journal intime de sa mère, l'écrivain nous fait entrer dans l'intimité de celle-ci. Internée en 1966 dans un asile de Lausanne, Marie-Blanche se souvient de sa vie, commencée comme un conte de fées mais qui prit peu à peu des allures de tragédie. Jim Fergus s'inspire ici de son histoire personnelle pour nous offrir une saga familiale bouleversante. A la façon de Dalva, de Jim Harrison, il inscrit l'intime dans l'Histoire et nous présente d'inoubliables portraits de femmes dans la tourmente. On retrouve surtout dans cette fresque qui s'étend sur un siècle et trois continents toute la puissance romanesque de l'auteur de Mille femmes blanches associée à une force d'émotion rare. Marie-Blanche est le troisième roman de Jim Fergus, après Mille femmes blanches (Le Cherche Midi, 2000), vendu à près de 400 000 exemplaires en France, et La Fille sauvage (Le Cherche Midi, 2004). Jim Fergus a consacré cinq années à l'écriture de ce roman, qui est publié en France en exclusivité mondiale."
GoussZIL Posté(e) 15 juin 2012 Posté(e) 15 juin 2012 Je viens de finir deux livres de romanciers islandais, deux polars : Le septième fils d'Arni Thorarinsson, et La cité des jarres d'Arnaldur Indridasson. Verdict : je ne sais pas si les traducteurs ont trahi les auteurs, mais j'ai trouvé ça assez pénible à lire. En outre, pas vraiment d'originalité. Je ne suis pas super fan de polars à la base, et ce ne sont pas ces deux-là qui m'ont convaincue. En gros, c'est bien, mais pas top.
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