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dépression et crises d'angoisse - je ne veux pas reprendre en sept


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Posté(e)

En effet, savoir que telle situation est "pire" que la sienne n'aide en rien du tout la personne qui se trouve en détresse!

La dépression, j'ai connu; les crises d'angoisse et l'anxiété font partie de mon quotidien et quand quelqu'un me dit " mais regarde autour de toi, il y a pire" , hé bien, au lieu de m'aider, cette remarque m'enfonce davantage.

Donc moi je pense que pour enseignante25, le fait d'avoir changé d'école l'a déstabilisée et lui a fait perdre ses repères ; ce changement peut paraître anodin pour certains mais pas pour d'autres, la preuve!

Certaines personnes sont paralysées à l'idée de prendre le volant alors que cela parait facile et faisant partie du quotidien pour la plupart des gens.

De la même façon, aller au travail dans une nouvelle école quand on est déjà en fragilité peut s'avérer très compliqué.

Courage :wub:

Posté(e)

Tout d'abord, enseignante25, bienvenue à toi dans ce forum (sic)...(gloups)

Sinon, nénuphar, je pense qu'il faut faire très attention quand on ne connait pas bien la personne ou qu'on est pas thérapeute, avant de décider de secouer la personne pour la faire réagir.

J'ai secoué une personne de mon entourage ultra proche un bon coup, il y a quelques années mais je savais ce que je faisais et que c'était le moment où il fallait le faire, et que j'étais la seule à pouvoir oser le faire...Avec succès, mais ce n'était pas que ma décision. Le médecin généraliste et sa psychothérapeute n'attendaient que cela, et du reste deux personnes qui vivaient avec, au courant, l'ont "surveillée"... Bref j'en dirai pas plus vu que cela ne me concerne pas uniquement.

Je pense que pour enseignante 25, cette réaction suite à un "simple" changement a servi de révélateur d'un mal être ou de quelque chose. Et tu ne dois quand même pas avoir assez confiance en toi pour avoir demandé ta mut par encouragements de proches pour ne pas t'encrouter. Qui étaient ces personnes? Bref.

enseignante25, bon courage à toi aussi. On a le droit de faire une dépression, même quand en apparence tout va bien, parce que la dépression est une maladie et qu'elle vous tombe dessus comme la grippe ou autres. Enfin moi c'est mon avis.

Et tant qu'à faire le même courage pour Korrie, qui grace au témoignage d'de "enseignante25" a eu envie de s'exprimer, et à qui ça a eu l'air de faire du bien d'ailleurs.

Posté(e)

Effectivement, la dépression est une maladie TRES sournoise et malheureusement, très peu de gens la considèrent vraiment comme une maladie ...

Je pense que je suis en train d'en sortir (je touche du bois !!) et j'ai eu la chance d'avoir un médecin généraliste qui a su tout de suite la diagnostiquer.

Lorsqu'il m'a dit que j'étais en pleine dépression, au début, je n'ai pas voulu le croire. Je me suis dit que je traversais simplement une grosse baisse de morale. J'ai tenté de me booster toute seule en me disant que quand même, ce n'est pas au bagne que j'allais, que beaucoup de gens paieraient très cher pour avoir ma place ... mais au final, je me suis rendue compte que j'avais besoin d'aide.

Mon médecin a vraiment été super. Après 3 mois d'arrêt, quand j'ai repris il m'a dit "surtout n'oubliez pas que vous êtes en convalescence, ménagez-vous"

Après coup, je pense que je me suis trop investie dans mon métier, c'est à dire corps et âme, et je n'ai pas vu que ce métier m'engloutissait.

A présent, quand je vais travailler, je ne peux pas dire que j'y vais par envie comme il y a quelques années. Ca reviendra peut-être, ou pas.

Je fais un travail permanent sur moi, la personne qui est en classe ce n'est pas moi, ce n'est que la fonction que j'ai. Je ne fais que mon boulot et je ne peux que constater tous les dysfonctionnements de l'éducation nationale et je ne pourrais rien y changer ...

Cette année, j'ai choisi un poste de ZIL. Psychologiquement ça m'aide beaucoup. Je ne fais que remplacer les collègues en essayant de rester au plus proche de ce qu'ils ont commencé, s'il n'y a rien, je fais à ma sauce. Mais je n'ai plus de classe et ceci me permet de garder le recul dont j'ai besoin pour ne plus être happée par notre métier.

Ce long message pour dire que, Nenuphar, enseignante 25 cherchait simplement à partager son désarroi et non à être bousculer.

Elle dit elle-même qu'elle est suivie par plusieurs médecins. Ce suivi médical est basé sur une apparition de symptômes et non sur un coup de blues.

Encore un gros dysfonctionnement de l'éducation nationale : elle ne prend en compte ni la santé physique et ni la santé morale de ses agents .... bref, l'éducation nationale se voile les yeux, tout va bien !!

Posté(e)

Alors là ça me souffle... Il ne s'agit pas d'un concours...

Je ne crois pas qu'il soit forcément nécessaire d'avoir un cancer ou autre grave maladie ou problème familial pour aller mal et angoisser...

Et je crois que curieusement savoir ou voir qu'il y a des situations pires que la sienne ça ne remonte pas du tout le moral :sweatingbullets:

En tout cas je suis sûre que les auteurs des derniers messages sont touché(e)s par ta sollicitude :devil:

Qu'est-ce qui te souffle ? Que quelqu'un se permette de dire que certains événements de la vie doivent pouvoir se mesurer à l'aune d'autres en terme de gravité ?

Il ne s'agit pas de sollicitude ou de je ne sais quoi d'autre mais seulement de bon sens...

Posté(e)

et ce que j'en pense, nénuphar, tu en penses quoi?

En terme de maladie il n'est pas question de bon sens même pour chercher les causes: une amie à moi est décédée d'un cancer des poumons à 32 ans...Elle habitait à la campagne (pas de pollution spécialement n'a pas été confrontée à l'amiante, n'a jamais fumé, même un joint pour essayer, et était championne départementale de marathon....Alors à priori pourquoi cancer dit "du fumeur".

Ben pour la dépression, reconnue comme maladie, et les addictologie, on sait qu'il y a hélas un terrain génétique propice à ce que certains patients soient malades et pas d'autres. Ensuite le subconscient, des chocs non analysés et refoulés peuvent aussi expliquer que certains soient malades.

Forcément dans notre société que je trouve malsaine d'ailleurs, quelqu'un qui est sensible est un faible, quelqu'un qui pleure est un faible, quelqu'un sensible à l'art est un faible, quelqu'un qui esprime ses sentiments est un faible...Faudrait juste que les gens prennent un peu le temps de se poser pour s'analyser et analyser un peu les petites choses qui lui arrivent, et aussi être bienveillant à ce qui peut arriver aux autres.

Il ne s'agit ni de sollicitude ni de bon sens, mais un peu de compassion (voir l'étymologie du mot)

Terence: "Homo sum ; humani nihil a me alienum puto "; (Je suis un homme, et rien de ce qui est humain ne m'est étranger.)

Et puisque tu aimes les animaux, je te mets de mémoire aussi donc peut-être petites fautes "Il y aura toujours un chien perdu quelquepart qui m'empêchera d'âtre heureuse" (Anouilh)

Je t'ai déjà lue sur le forum, je pense que tu étais un peu énervée quand tu as écrit ce message parce que je te sais bien plus mesurée d'ordinaire dans tes propos.

Voilà, je répète ce que j'avais écrit plus haut puisqu'apparemment tu n'as pas lu mon message: secouer quelqu'un sans précaution peut être dangereux. En plus c'était son premier message: bravo pour l'accueil des nouveaux...

Posté(e)

et ce que j'en pense, nénuphar, tu en penses quoi?

En terme de maladie il n'est pas question de bon sens même pour chercher les causes: une amie à moi est décédée d'un cancer des poumons à 32 ans...Elle habitait à la campagne (pas de pollution spécialement n'a pas été confrontée à l'amiante, n'a jamais fumé, même un joint pour essayer, et était championne départementale de marathon....Alors à priori pourquoi cancer dit "du fumeur".

Ben pour la dépression, reconnue comme maladie, et les addictologie, on sait qu'il y a hélas un terrain génétique propice à ce que certains patients soient malades et pas d'autres. Ensuite le subconscient, des chocs non analysés et refoulés peuvent aussi expliquer que certains soient malades.

Forcément dans notre société que je trouve malsaine d'ailleurs, quelqu'un qui est sensible est un faible, quelqu'un qui pleure est un faible, quelqu'un sensible à l'art est un faible, quelqu'un qui esprime ses sentiments est un faible...Faudrait juste que les gens prennent un peu le temps de se poser pour s'analyser et analyser un peu les petites choses qui lui arrivent, et aussi être bienveillant à ce qui peut arriver aux autres.

Il ne s'agit ni de sollicitude ni de bon sens, mais un peu de compassion (voir l'étymologie du mot)

Terence: "Homo sum ; humani nihil a me alienum puto "; (Je suis un homme, et rien de ce qui est humain ne m'est étranger.)

Et puisque tu aimes les animaux, je te mets de mémoire aussi donc peut-être petites fautes "Il y aura toujours un chien perdu quelquepart qui m'empêchera d'âtre heureuse" (Anouilh)

Je t'ai déjà lue sur le forum, je pense que tu étais un peu énervée quand tu as écrit ce message parce que je te sais bien plus mesurée d'ordinaire dans tes propos.

Voilà, je répète ce que j'avais écrit plus haut puisqu'apparemment tu n'as pas lu mon message: secouer quelqu'un sans précaution peut être dangereux. En plus c'était son premier message: bravo pour l'accueil des nouveaux...

Je ne pense pas avoir tenu des propos si terribles que cela... Pour l'accueil, je ne lui ai pas déroulé le tapis rouge en la caressant dans le sens du poil c'est vrai. Mais que veux-tu, je trouve que nous présenter la cause de sa dépression comme étant dû son changement d'école est quand même un poil fort de café.... Car c'est bien de cela qu'il s'agit. Dans ces conditions que peut-on lui dire : "Oh ma pauvre, c'est vraiment trop terrible ce qu'il t'arrive, tu as fait le mouvement volontairement, on a exaucé ton vœu de changement, tu as obtenu une école où tu as déjà des copines, c'est vraiment terrible. Rien d'étonnant que tu déprimes, que tu ne puisses plus exercer et tu veuilles changer de métier".

Voilà ce qu'il aurait fallu écrire pour être adoubée ? Ce ne serait pas avoir de la compassion mra que de faire ça, ce serait friser le ridicule.

Désolé encore pour ma franchise mais quand je vois la situation de certains collègues et qui sont quand même fidèles au poste chaque matin, je compare et je me dis que non, on ne fait pas une dépression pour un motif aussi futile.

Cela étant posé, je ne nie pas qu'enseignante25 a peut-être d'autres soucis d'ordre psy, cela est un autre débat.

Posté(e)

La dépression est une maladie que beaucoup de patients( je dis patient parce qu'il faut vraiment avoir de la patience avec soi-même quand on est malade) "contiennent" ou "réduisent" en adoptant un mode de vie sécurisant protecteur.

Dans le travail des enseignants qui est très fragilisant de ce point de vue , certains mettent en place un rythme , une régularité, une "habitude" qui convient et qui permet de vivre son métier "normalement".

Quand une des conditions d'exercice change, l'équilibre est rompu et la maladie réapparait violente, incontrolable.

Oui enseignante 25 a demandé sa nouvelle affectation volontairement, ce qu'elle ne mesurait pas c'est que la dépression était là contenue, gérée, elle s'est pris de plein fouet le choc qu'elle n'attendait pas puisque tout allait bien.

Je comparerais volontiers cette situation à un batiment qui a subit un seisme. On met un étayage, un échafaudage, il tient tout va bien....

Avec le temps qui passe, parce qu'un échaffaudage tout le monde pense qu'il doit disparaitre, le propriétaire enlève l'échaffaudage. Et voilà le batiment qui paraissait solide qui commence à trembler. On avait oublié le seisme à la longue ....

enseignante 25, doko, nadege, carrie, bernamoise et pardon à tous ceux que j'oublie, prenez soin de vous, il n'y a que vous qui sachiez votre souffrance et la douceur nécessaire pour y apporter remède.

Posté(e)

Bonjour , je suis nouvelle sur ce forum même si je le lis depuis un petit moment !!! En effet, je suis enseignante de CP depuis 14 ans . J'aimais mon métier, j'avais un côté assez perfectionniste (voir un peu trop !!!), j'étais appréciée des enfants et des parents. Toujours dans le même établissement depuis mon début de carrière, j'ai évoluer en toute confiance . Depuis quelques années, mon entourage me disait de changer d'établissement, j'ai pris 3 ans pour me décider et me suis dit après tout, je tourne peut-être en rond, allez je fais le saut !!! Donc en mars demande de changement, puis mutation acceptée dans un très gros établissement cp/ce1, où j'avais des amies qui y travaillaient déjà. Mon départ de mon ancienne école a été un réel déchirement. Pendant les vacances, loin de tout, je me suis sentie bien. Mais de retour dans ma région, quand il a fallu me projeter dans la nouvelle classe, dans les nouveaux bouqins etc ..., j'ai commencé à ressentir les crises d'angoisses monter (je connais cela depuis plus de dix ans !!!). Malgré un suivi médicamenteu et psy, les angoisses se sont faites de plus en plus fortes !!! J'essayais de travailler mais j'étais en panique complète et au lieu d'avancer, je me bloquais devant l'ordinateur !!! Je me perdais dans les livres, les compétences, les sites internet, bref, j'étais complétement perdue !!! J'ai voulu faire la pré-rentrée, et dix minutes à peine dans les lieux, j'aii fait une méga crise d'angoisse et je me suis retrouvée dans l'infirmerie en larmes, je ne voulais plus travailler, tout me remonter en pleine figure !!!! Mon médecin m'a arrêtée pour 15 jours dans un premier temps . Les premiers jours ont été affreux, j'ai culpabilisé, je me suis dit que je devais arrêter le métier, bref, je m'angoissais de tout et rester chez moi (même si je suis entourée !!!) m'angoissais davantage. Je suis donc suivi par le médecin , un psychiatre et à présent un psy comportementaliste !!! Au fur et à mesure, j'ai repris contact avec mes nouveaux collègues, essayé de relire les méthodes et livres, je sens que le contact social me manque et le matin je me lève comme si je retournais dans mon ancienne école !!!! Mon arrêt est prolongé de 15 jours, alors je m'occupe en faisant diverses actvités !!! Ce matin, je me suis mise devant l'ordi, pour essayer de remettre l'emploi du temps, le cahier journal à plat, mais je sens que je m'angoisse à nouveau en me disant : "mais que vais-je mettre , vais-je arriver à me remttre au travail de prep tous les jours ????" Bref, je suis un peu perdue, je me pose beaucoup de questions et j'ai vraiment très peur de mon avenir !!!!

NENUPHAR, je pense que personne ici n'est là pour être adoubé, c'est une pratique qui n'a plus court. :D

Cependant je pense que lorsque tu as lu le message d'enseignante25 tu n'as pas vu ce que j'ai mis en gras. Et surtout le fait que cela fait longtemps qu'elle souffre d'une dépression qui "ne demande qu'à se réveiller".

Après tu sais moi aussi quand j'écris à carrie dans la page d'avant qu'il ne faut pas qu'elle mette trop de détails puissant l'identifier, je prends le risque de la bloquer, et ce n'est pas très sympa. Sauf que si certains détails se retournent contre elle, justement, je m'en mordrais les doigts de pas l'avoir dit. C'est pas toujours évident, la communication humaine ;) ;) Et moi je suis un peu brut de décoffrage aussi :sweatingbullets:

Je me demande, moi, qui peuvent être les membres de son entourage qui l'ont encouragée à changer comme ça de lieu alors que cela se passait bien. Pour faire une expérience? Ben bravo c'est réussi.

Une personne dépressive a besoin de repères et de stabilité,non?

Posté(e)

Je rencontre de plus en plus d'enseignant(es) dans ce cas là... Moi même, je ne vais plus travailler avec le même entrain et le pire c'est que quand arrivent les week-end ou mercredi, je me sens déprimée. C'est à n'y plus rien comprendre.

Courage à vous, prenez soin de vous, parlez-en tant que vous en aurez besoin...

Posté(e)

Bon j'espère qu'enseignante25 repassera par là quand même.

6_1.jpg

Et Doko aussi

441584d3.jpg

Ainsi que Carrie

Fleurs_des_champs.jpg

Posté(e)

L'image de l'échafaudage de PepetteBond me parle beaucoup. :blush::hug:

Je garde les miens aux fenêtres et dans la cave.

(Pas prête de changer d'école du coup... et pas que pour une histoire de points! )

:wub: à toutes celles et ceux qui ne passent pas sur ce fil par hasard.

Posté(e)

Merci aux personnes qui ont lu mon message . Je ne tenais pas à ce que mon mail fasse autant de débats !!! J'ai bien relu la réponse de nénuphar et en effet, je comprends que ma situation semble vraiment futile à ses yeux et qu'il se dise que c'est un peu un caprice de ma part . Je voudrais lui répondre que personnellement lorsque les crises d'angoisses sont revenues en cette fin du mois d'août, que les vomissements étaient journaliers , les nuits sans sommeil se sont enchaînés, les anti dépresseurs ont été remonté par le médecin, je me suis dit dans un premier temps :"Allez, secoue toi, cela va passer, c'est juste de l'appréhension !!!!". Toutes les personnes qui me connaissent me disaient cela fait 14 ans que tu fais classe, les enfants t'adorent, les parents d'élèves t'apprécient, bref, tout va bien se passer , il suffit de te lancer et cela va se dérouler normalement !!!! Lors de cette pré-rentrée, lorsque j'ai fait un malaise et me suis retrouvée en arrêt, je peux te dire "Nénuphar" que j'ai bien culpabilisé !!!! Je me suis dit que je n'étais pas forte, pas capable de gérer mes émotions, pas capable d'assumer mon choix de changement, plus capable d'enseigner, donc plus capable d'exister ! Car ma vie, c'était mon métier !!!!! Alors, nénuphar, tu vois que moi_même , j'ai eu le même raisonnement que toi !!!!

Ah oui, je sais que ce n'est pas un concours à passer, mais je ne sais pas si tu as déjà connu des crises d'angoisses, de paniques, de la dépression sans comprendre ce qui t'arrive et bien , je peux te dire que ce n'est vraiment pas drôle et que la phase de culpabilité , arrête de t'écouter etc ...., on se le dit sans cesse dans sa tête et pourtant rien y fait !!!

Je peux comprendre les situations les plus compliquées d'autres enseignants et si tu savais comme je me répète : "Il y a des gens plus malheureux, toi tu as un boulot, tu vis sous un toit, pourquoi tu ne vas pas bien ?????".

Je ne t'en veux pas nénuphar car ton raisonnement est celui que j'ai depuis le début de ce mal être !!!! Mais, ce n'est pas en pensant ainsi que je vais avancer !!!! J'ai beaucoup aimé l'image de ce mur que l'on consolide pour qu'il tienne! Et en effet, je crois que cela fait plusieurs années que je travaille comme une perfectionniste frénésique , faisant des heures et des heures, prenant des responsabilités pour l'enseignement, répondant oui pour aider les autres (ceux qui démarrent), j'en faisait plus, toujours plus, ainsi je ne pensais qu'à l'école !!!! Je craquais souvent aux vacances !!!! L'école, je vivais avec elle, pour elle, je l'avais dans la tête en permanence !!!! Je pense que cette frénésie au travail( on ne fait plus d'activités extérieures, on ne trouve pas le temps de voir sa famille, ses amis ) cachait en effet un mal être (dont je ne trouve pas la définition !!!!) ! Mais tout était sous contrôle car j'avais mes repères, mes habitudes etc ..... Et je pense donc en effet qu'en déplacant mes repères, mon échaffaudage s'est écroulé !!!!

Je remercie encore les personnes qui ont pris le temps de me lire et de me comprendre !!!

J'accepte la version de nénuphar, chacun est libre de penser comme il l'entend.

Je continuerai de lire ce forum . Je souhaite à tous ceux qui sont également dans le doute en ce moment de retrouver leur équilibre. Moi, je cherche encore , je veux trouver un équilibre serein de vie. Merci encore pour vos messages.

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