gayane87 Posté(e) 23 septembre 2012 Posté(e) 23 septembre 2012 Alors là ça me souffle... Il ne s'agit pas d'un concours... Je ne crois pas qu'il soit forcément nécessaire d'avoir un cancer ou autre grave maladie ou problème familial pour aller mal et angoisser... Et je crois que curieusement savoir ou voir qu'il y a des situations pires que la sienne ça ne remonte pas du tout le moral En tout cas je suis sûre que les auteurs des derniers messages sont touché(e)s par ta sollicitude Qu'est-ce qui te souffle ? Que quelqu'un se permette de dire que certains événements de la vie doivent pouvoir se mesurer à l'aune d'autres en terme de gravité ? Il ne s'agit pas de sollicitude ou de je ne sais quoi d'autre mais seulement de bon sens... C'est le côté très humain de ta réponse qui me souffle et je n'y vois pas spécialement de bon sens dans le genre "tais toi t'as pas de vraie raison de te plaindre il y a pire sur terre" comme si elle ne le savait pas ^^ mais je le répète je crois que dans ces situations bizarrement on ne relativise pas si facilement...
del20170202 Posté(e) 23 septembre 2012 Posté(e) 23 septembre 2012 Merci aux personnes qui ont lu mon message . Je ne tenais pas à ce que mon mail fasse autant de débats !!! J'ai bien relu la réponse de nénuphar et en effet, je comprends que ma situation semble vraiment futile à ses yeux et qu'il se dise que c'est un peu un caprice de ma part . Je voudrais lui répondre que personnellement lorsque les crises d'angoisses sont revenues en cette fin du mois d'août, que les vomissements étaient journaliers , les nuits sans sommeil se sont enchaînés, les anti dépresseurs ont été remonté par le médecin, je me suis dit dans un premier temps :"Allez, secoue toi, cela va passer, c'est juste de l'appréhension !!!!". Toutes les personnes qui me connaissent me disaient cela fait 14 ans que tu fais classe, les enfants t'adorent, les parents d'élèves t'apprécient, bref, tout va bien se passer , il suffit de te lancer et cela va se dérouler normalement !!!! Lors de cette pré-rentrée, lorsque j'ai fait un malaise et me suis retrouvée en arrêt, je peux te dire "Nénuphar" que j'ai bien culpabilisé !!!! Je me suis dit que je n'étais pas forte, pas capable de gérer mes émotions, pas capable d'assumer mon choix de changement, plus capable d'enseigner, donc plus capable d'exister ! Car ma vie, c'était mon métier !!!!! Alors, nénuphar, tu vois que moi_même , j'ai eu le même raisonnement que toi !!!! Ah oui, je sais que ce n'est pas un concours à passer, mais je ne sais pas si tu as déjà connu des crises d'angoisses, de paniques, de la dépression sans comprendre ce qui t'arrive et bien , je peux te dire que ce n'est vraiment pas drôle et que la phase de culpabilité , arrête de t'écouter etc ...., on se le dit sans cesse dans sa tête et pourtant rien y fait !!! Je peux comprendre les situations les plus compliquées d'autres enseignants et si tu savais comme je me répète : "Il y a des gens plus malheureux, toi tu as un boulot, tu vis sous un toit, pourquoi tu ne vas pas bien ?????". Je ne t'en veux pas nénuphar car ton raisonnement est celui que j'ai depuis le début de ce mal être !!!! Mais, ce n'est pas en pensant ainsi que je vais avancer !!!! J'ai beaucoup aimé l'image de ce mur que l'on consolide pour qu'il tienne! Et en effet, je crois que cela fait plusieurs années que je travaille comme une perfectionniste frénésique , faisant des heures et des heures, prenant des responsabilités pour l'enseignement, répondant oui pour aider les autres (ceux qui démarrent), j'en faisait plus, toujours plus, ainsi je ne pensais qu'à l'école !!!! Je craquais souvent aux vacances !!!! L'école, je vivais avec elle, pour elle, je l'avais dans la tête en permanence !!!! Je pense que cette frénésie au travail( on ne fait plus d'activités extérieures, on ne trouve pas le temps de voir sa famille, ses amis ) cachait en effet un mal être (dont je ne trouve pas la définition !!!!) ! Mais tout était sous contrôle car j'avais mes repères, mes habitudes etc ..... Et je pense donc en effet qu'en déplacant mes repères, mon échaffaudage s'est écroulé !!!! Je remercie encore les personnes qui ont pris le temps de me lire et de me comprendre !!! J'accepte la version de nénuphar, chacun est libre de penser comme il l'entend. Je continuerai de lire ce forum . Je souhaite à tous ceux qui sont également dans le doute en ce moment de retrouver leur équilibre. Moi, je cherche encore , je veux trouver un équilibre serein de vie. Merci encore pour vos messages. Je voudrais te dire enseignante25 que mon but (contrairement à ce que pense certains) n'était pas de t'enfoncer mais simplement de replacer ce qui t'arrive sur une échelle de valeurs. J'ai bien lu ton message et franchement, bien que je ne sois pas thérapeute (n'est-ce pas mra ) ce que tu décris me fait plus penser à un burn-out qu'à une dépression. Tu dis que ton métier était ta vie, que tu t'es isolée socialement pour ne te consacrer qu'à lui. Tu as apparemment sacrifié ta vie personnelle à ce métier. Un vrai sacerdoce quoi... jusqu'au craquage. Tu en as trop fait tout simplement. A ta décharge, il faut dire notre job est dévorant si l'on n'y prend pas garde : on peut travailler sans limites (on trouve toujours quelque chose à améliorer et depuis l'arrivée d'internet, puits sans fond de ressources, c'est encore pire), comme on prépare souvent la classe à la maison, pas de séparation d'avec la vie perso, on ne voit pas l'heure tourner, ce qui amène à accumuler les heures de travail. Allez, ne m'en veux pas si j'ai été un peu dure avec toi. Je te souhaite d'aller mieux. Et puis pourquoi pas de ré-obtenir ton ancienne école au prochain mouvement si cela peut t'aider.
mra Posté(e) 23 septembre 2012 Posté(e) 23 septembre 2012 J'ai bien lu ton message et franchement, bien que je ne sois pas thérapeute (n'est-ce pas mra ) Dommage, j'en cherchais un qui me secoue . Moi j'aime qu'on me brusque Le burn out, ouais, y'en a de plus en plus partout partout . Mais c'est pas une forme de dépression? Quoi qu'il en soit, je reste persuadée qu'il y a des solutions. Et c'est cool que vous vous soyiez parlé les filles : les posts qui dégnèrent ça m'asthénise grave
korrie Posté(e) 24 septembre 2012 Posté(e) 24 septembre 2012 Il est en effet difficile de comprendre ce qu'est qu'une dépression ou un mal etre sans le vivre. Dimqnche soir ça n'allait pas beaucoup, j'ai abusé de l'alcool et des médicaments. Du coup ce matin je n'ai pas réussit à me lever. 0 9h20 j'ai pris la route de l'ecole, mais y avait deja une remplaçante et le directeur (vu mon état) m'a dit de rentrer. Jsuis passée voir mon medecin qui m'a arreté la journée. En repartant j'ai eu un accident de voiture, je sais meme pas ce qui s'esg passé, je me suis pris apprement plusieurs trottoirs. Des vehicules m'ont fait des appels de phare sans rien voir<<<<::: <<<<<<<<heureusement que des types m'ont aidé<; <<arrete prolongé jusqu'à mercrei jour de physique de ma psychiatre Desike pour les fautes (pas encire trè net) Rien n'est simple
mra Posté(e) 24 septembre 2012 Posté(e) 24 septembre 2012 Ben zut mon message n'est pas passé! Korrie, tu n'aurais même pas du y aller vu ton état, tu as mis ta vie en jeu. Continue ta thérapie, culpabilise pas pour l'absence. Les enfants ont besoin de te voir sereine et bien dans tes pompes. Courage, tu as des gens dans ton entourage pour que tu ne sois pas tout seule? A bientôt!
Mariine Posté(e) 24 septembre 2012 Posté(e) 24 septembre 2012 Alors là ça me souffle... Il ne s'agit pas d'un concours... Je ne crois pas qu'il soit forcément nécessaire d'avoir un cancer ou autre grave maladie ou problème familial pour aller mal et angoisser... Et je crois que curieusement savoir ou voir qu'il y a des situations pires que la sienne ça ne remonte pas du tout le moral En tout cas je suis sûre que les auteurs des derniers messages sont touché(e)s par ta sollicitude Qu'est-ce qui te souffle ? Que quelqu'un se permette de dire que certains événements de la vie doivent pouvoir se mesurer à l'aune d'autres en terme de gravité ? Il ne s'agit pas de sollicitude ou de je ne sais quoi d'autre mais seulement de bon sens... +1
mra Posté(e) 24 septembre 2012 Posté(e) 24 septembre 2012 Carrie, j'espère que tu auras réussi à trouver le sommeil! Korrie, plein de pensées aussi! enseignante25, Doko et tous les autres, TOUT PAREIL
hamster Posté(e) 25 septembre 2012 Posté(e) 25 septembre 2012 Ton médecin est plein de bon sens, Carrie62!
ame en peine Posté(e) 26 septembre 2012 Posté(e) 26 septembre 2012 Bonjour à tous, Je suis nouvelle sur le forum et comme beaucoup d'autres ici je viens exprimer mes difficultés, ma culpabilité et la honte que j'ai d'être comme je suis. Cela fait presque 20 ans que j'enseigne en maternelle. Jusqu'à l'an passé, j'étais directrice d'une école mater. En même temps je suis un cursus de psycho par correspondance. En même temps j'ai déménagé. Cela faisait beaucoup à gérer mais j'aimais mon travail, l'ambiance de l'école, les parents. J'ai demandé à travailler à temps partiel pour pouvoir allier études et travail mais sans me le dire, mon inspectrice a émis un avis défavorable à ma demande. Je l'ai appris par hasard quand elle est venue inspectée une collègue dans l'école. "Je vous encourage à demander un congé formation" m' a t-elle dit alors. Je voulais juste une journée par semaine et elle m'a dit que cela était possible de demander un tel aménagement de congé formation. Ma demande faite, l'IA me "tombe dessus" en prétendant que ce n'est pas possible et que de toutes façons c'est incompatible avec un poste de direction bénéficiant d'un 1/4 de décharge... Je demande donc après beaucoup d'hésitation un poste d'adjoint en même temps que je maintiens ma demande de congé formation. J'ai obtenu le poste d'adjoint mater que j'avais demandé au mouvement et quand j'appelle l'école (école primaire), on me dit qu'en fait c'est un poste de cycle 3 que je vais avoir. Entre temps, refus de l'IA de m'accorder le congé formation (suis 2° sur liste d'attente). Je ne voulais absolument pas de ce poste de cycle 3 puisque sur mon arrêté il était bien spécifié adjoint pré élémentaire!, J'ai donc fait de nombreux courriers à l'IA, l'IEN, les syndicats... J'explique que plutôt que de chambouler l'organisation d'une école je préfère retourner sur mon poste de direction qui n'avait pas été pourvu au premier mouvement. Résultat: l'IA envoie à la directrice de l'école et à l'IEN un courrier les sommant de me donner le poste mentionné sur mon arrêté. L'entreveue avec la directrice a été au départ très électrique puisqu'en fait c'est elle qui avait le poste que j'aurai du avoir. Ce que je ne savais pas c'est qu'un directeur d'école primaire a forcément un poste en élémentaire. Elle m'explique alors qu'elle enseigne depuis 30 ans en mater et quand on lui a demandé de prendre la direction de cette école, elle ne savait pas qu'en théorie elle ne pouvait garder son poste de mater. Pourtant elle a fait beaucoup de démarche en ce sens. Cette personne est atteinte d'une grave maladie, et est placée en longue maladie, dans l'attente d'un mi-temps thérapeutique. Je culpabilise d'avoir réagi comme je l'ai fait en essayant de défendre mes droits. Depuis le début de la rentrée rien ne va plus...je ne me comprends pas moi même: je m'énerve auprès des enfants, je n'arrive pas gérer ma classe et j'ai des crises d'angoisse. Je suis arrêtée pour 15 jours mais là encore je culpabilise et j'angoisse terriblement à l'idée de reprendre le travail car je ne m'en sens pas capable... Je vais consulter un psy mardi prochain. Je dois reprendre le jeudi suivant mais je ne vois pas comment je peux faire et je panique. Je reste terrée chez moi car mon école est proche de mon domicile et je ne veux pas voir les parents..Je ne sais comment cela va finir..mais c'est terriblement dur à vivre
del20170202 Posté(e) 26 septembre 2012 Posté(e) 26 septembre 2012 Cela fait presque 20 ans que j'enseigne en maternelle. Jusqu'à l'an passé, j'étais directrice d'une école mater. En même temps je suis un cursus de psycho par correspondance. En même temps j'ai déménagé. Cela faisait beaucoup à gérer mais j'aimais mon travail, l'ambiance de l'école, les parents. J'ai demandé à travailler à temps partiel pour pouvoir allier études et travail mais sans me le dire, mon inspectrice a émis un avis défavorable à ma demande.(...) "Je vous encourage à demander un congé formation" m' a t-elle dit alors. Je voulais juste une journée par semaine et elle m'a dit que cela était possible de demander un tel aménagement de congé formation. Ma demande faite, l'IA me "tombe dessus" en prétendant que ce n'est pas possible et que de toutes façons c'est incompatible avec un poste de direction bénéficiant d'un 1/4 de décharge... Je demande donc après beaucoup d'hésitation un poste d'adjoint en même temps que je maintiens ma demande de congé formation. J'ai obtenu le poste d'adjoint mater que j'avais demandé au mouvement et quand j'appelle l'école (école primaire), on me dit qu'en fait c'est un poste de cycle 3 que je vais avoir. Entre temps, refus de l'IA de m'accorder le congé formation (suis 2° sur liste d'attente). Je ne voulais absolument pas de ce poste de cycle 3 puisque sur mon arrêté il était bien spécifié adjoint pré élémentaire!, J'ai donc fait de nombreux courriers à l'IA, l'IEN, les syndicats... J'explique que plutôt que de chambouler l'organisation d'une école je préfère retourner sur mon poste de direction qui n'avait pas été pourvu au premier mouvement. Résultat: l'IA envoie à la directrice de l'école et à l'IEN un courrier les sommant de me donner le poste mentionné sur mon arrêté. L'entreveue avec la directrice a été au départ très électrique puisqu'en fait c'est elle qui avait le poste que j'aurai du avoir. Ce que je ne savais pas c'est qu'un directeur d'école primaire a forcément un poste en élémentaire. Elle m'explique alors qu'elle enseigne depuis 30 ans en mater et quand on lui a demandé de prendre la direction de cette école, elle ne savait pas qu'en théorie elle ne pouvait garder son poste de mater. Pourtant elle a fait beaucoup de démarche en ce sens. Cette personne est atteinte d'une grave maladie, et est placée en longue maladie, dans l'attente d'un mi-temps thérapeutique. Je culpabilise d'avoir réagi comme je l'ai fait en essayant de défendre mes droits. Depuis le début de la rentrée rien ne va plus...je ne me comprends pas moi même: je m'énerve auprès des enfants, je n'arrive pas gérer ma classe et j'ai des crises d'angoisse. Je suis arrêtée pour 15 jours mais là encore je culpabilise et j'angoisse terriblement à l'idée de reprendre le travail car je ne m'en sens pas capable... Je vais consulter un psy mardi prochain. Je dois reprendre le jeudi suivant mais je ne vois pas comment je peux faire et je panique. Je reste terrée chez moi car mon école est proche de mon domicile et je ne veux pas voir les parents..Je ne sais comment cela va finir..mais c'est terriblement dur à vivre Bonjour et bienvenue ici. Alors d'abord deux questions : 1) quel poste occupes-tu finalement ? Adjoint mater comme mentionné sur ton arrêté d'affectation ou élém ? 2) si la directrice de l'école est en longue maladie, qui est placé actuellement sur ce poste de mater ? Une Brigade ? Ensuite mon sentiment : tu es dans ton bon droit. Les règles sont ce qu'elles sont et sont valables pour tout le monde si non ça devient vite la jungle. Tu as en poche un arrêté d'affectation pour un poste d'adjoint pré-élémentaire donc tu exerces en mater, point barre. Cela ne signifie pas que tu "arraches" son poste à ta directrice mais que tu as le droit à un poste en mater dans cet établissement. A l'administration de gérer le souci vu que l'IEN était forcément au courant que la directrice n'avait pas accepté son "transfert" en élémentaire quand elle a pris la direction (mais il y a peut-être une explication, vu la pénurie de directeurs, l'IEN devait être tellement content(e) que quelqu'un accepte la direction qu'il ou elle s'est bien gardé de piper mot...). Quant à ton demande de congé formation aménagé (dispositif qui n'existe pas comme tu l'as découvert...), j'espère que tu avais mentionné dans ton courrier que tu faisais cette demande suite à une entrevue avec ton IEN. Pour que ton IA ne pense pas que tu souhaitais édicter tes propres règles et que ce "bon" conseil venait de plus haut... Relève le menton, tu n'as pas de honte à avoir ni de culpabilité à ressentir. Tu dois juste faire face à un bug administratif avec tout ce qui en découle du point de vue humain malheureusement.
mra Posté(e) 26 septembre 2012 Posté(e) 26 septembre 2012 Pas mieux que nénuphar. Bienvenue dans le forum et ne culpabilise pas pour les erreurs des autres, relève la tête...
ame en peine Posté(e) 26 septembre 2012 Posté(e) 26 septembre 2012 Merci Nénuphar pour cette réponse rapide. Finalement je suis sur un poste mater, adjointe dans l'école que j'avais demandée. La chance (ou malchance) c'est que sur cette école il y a eu une création de poste en mater. ça a bien arrangé la hierarchie comme ça je me retrouve sur ce poste et je n'ai qu'à la "fermer" puisque j'ai un poste en mater comme indiqué sur mon arrêté. Mais d'emblée j'ai posé mes conditions: ok je suis en mater mais si le poste est supprimé pour x ou y raisons l'an pochain je reste sur un poste mater. Seulement voilà, cette histoire m'a ruiné la santé et là je n'en peux plus cela me "tombe" dessus: plus goût à rien, grosse fatigue...c'est vraiment très dur car je suis loin d'être une adepte des congés maladie. Alors oui je culpabilise car au final j'ai obtenu ce que je voulais et rien de va plus... Pour le congé formation, j'ai effectivement expliqué que c'était sur conseil de mon IEN mais visiblement il n'en ont rien eu à faire... Quand je pense que cette IEN a fait appeler sa secrétaire chez moi, alors que j'étais en congé maladie pour que je valide les effectifs sur base élèves! alors que j'ai toujours tenu cette base à jour concernant mon école. Je suis dégoutée++++
Messages recommandés
Créer un compte ou se connecter pour commenter
Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire
Créer un compte
Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !
Créer un nouveau compteSe connecter
Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.
Connectez-vous maintenant