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Remplaçant et réforme des rythmes ?


clairette28

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il y a une heure, Nanméo a dit :

Surtout, note bien tes heures.

Le rattrapage des ces heures n'est pas si évident. J'ai bien dû me battre pour récupérer 3 heures (un mercredi matin libre) sur les 6h supplémentaires que j'ai effectué depuis le début d'année.

:secret: pour les 3 autres heures je me venge sur les heures de réunions ni vu ni connu.

même s'ils/elles ont commencé la semaine par deux jours
dans une école à 4 jours. La/le collègue pourra être prévenu-e jusqu'au mardi soir de ce replacement.

pour l'avoir vécu cette année c'est difficile. On fait donc deux fois 6h environ plus les APC plus le mercredi avec du temps de route bien sûr.  Non les remplaçants ne sont pas corvéables à merci. :blink:

 

Vous l'aurez compris e quitte mon poste (que j'aimais pourtant)

 

Bonjour

J'ai bien pensé quitter le poste sauf que je viens de l'avoir, qu'il y a beaucoup de fermetures et des postes libres dont je ne veux pas . Je vais voir un an et puis je verrai... De toute façon ils vont rendre ces postes assez abominables pour que personne n'en veuille afin de recruter des contractuels !

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il y a 45 minutes, abel27 a dit :

Enfin, chez moi, l'inscription au centre de loisirs ne se fait pas au dernier moment. Ça ne change pas le fait qu'il devrait y avoir un délai minimum. Ou une rotation des tr pour être dispos certains mercredis.

Non c'est sûr il y a des taux d'encadrement à respecter c'est normal. C 'est plus que je ne sais pas encore si l'alsh sera dans ma commune ou dans la commune à côté (com com).

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il y a 58 minutes, Nävis a dit :

De toutes façons, vu que tu peux remplacer à la semaine, période... dans une école à 4.5j, tu dois avoir un moyen de garde sous le coude...

[je n'ai pas dit que c'était "bien" ou "juste", mais ça fiat désormais partie des contraintes à connaitre]

Il n'y a que 24h devant élèves, pourquoi devrais-tu en faire 26 ! ?

 

Ici, si tu fais un remplacement long dans une école à 4j, on ne t’appelle pas les mercredis, même si tu es rattachée à une école à 4.5j (vu que tu fais tes 24h devant élèves déjà).

Pas de problème pour récupérer pour le moment (l'an dernier, j'ai fini 1 jour en avance, celle d'avant, j'ai eu une aprem qui ne dérangeait pas trop les collègues de mon long remplacement, cette année, j'ai déjà eu 3 mercredis - pas de remplacement fixe les mercredis)

Oui c'est pour ça que j'ai envisagé l'alsh directement . Je vais rappeler un syndicat il me semble bien avoir entendu 26 heures (réunions comprises?) . Apparement ici il ya encore beaucoup d'écoles à 4.5 jours d'où le dépassement.C'est apparemment propre à la Bretagne.

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Il y a 6 heures, Helem a dit :

Bonjour

Je ne sais pas si Goëllette répond à la place de bouzou49.
Je ne sais pas dans quels départements vous exercez.
Je sais que la notion d'astreinte n'existe pas (pas encore !) dans le premier degré, et cela m'étonne que l'on puisse dire que les syndicats "laissent faire".
Pour ma part, je peux lire ici ( Remplaçant-es : astreinte ? ) des choses réglementaires de fond.
Pour synthétiser : il existe une règlementation nationale régie par décret. Cette règlementation est mise en oeuvre par les services déconcentrés (Dsden) au moyen de modes de gestion locaux.
Si les modes de gestion laissent faire des choses interdites par la règlementation nationale, c'est que les collègues (syndiqué·es ou non) laissent faire : il faudrait alors effectivement rappeler les textes aux gestionnaires locaux.

Je réagis à la remarque d'Abel...

Je trouve ahurissant que les syndicats laissent les collègues se dém... seuls dans leur coin depuis que cette problématique est apparue, la première année où certaines écoles sont passées à 4 jours et demi.

Peux-tu préciser à quelle réglementation nationale tu fais allusion et donner les références ?

 

 

Il y a 3 heures, bouzou49 a dit :

Bon c'est officiel donc il faudra bien que je prévois de mettre mes enfants en garde puisque  les inscriptions alsh se font du samedi au mercredi. C'est de l'astreinte déguisée!

réponse du dasen le 20 mars :

Nous  avons  enfin  abordé  la  problématique  des  remplaçant-e-s,  amenés  à  intervenir  dans  des  écoles  aux  rythmes
différents. Il nous a été indiqué que les brigades pourront être appelé-e-s pour un remplacement le mercredi matin,
même s'ils/elles sont rattaché-e-s à une école à 4 jours et même s'ils/elles ont commencé la semaine par deux jours
dans une école à 4 jours. La/le collègue pourra être prévenu-e jusqu'au mardi soir de ce replacement.
Cela laisse en
suspend plusieurs questions (temps de travail hebdomadaire, organisation de la garde des enfants, organisation de
son temps libre sur la semaine...) que la CGT ne souhaite pas laisser sans réponses. 

(je copie ici un mail du syndicat, je ne suis pas syndiquée)

 

Ce qui est fou (outre l'orthographe inclusive insupportable à lire), c'est qu'il n'y a aucune empathie pour les collègues en question ...

 

il y a une heure, Nanméo a dit :

 

 

Vous l'aurez compris e quitte mon poste (que j'aimais pourtant)

 

Je crois hélas que c'est le but. Avec la complicité de ceux qui laissent faire.

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Bonsoir

Dans mon message initial, le lien inséré envoie vers un article qui référence quelques textes importants :

  • notion "d'astreinte" dans la fonction publique.
  • décret sur les remplacements.
  • note de service du MEN sur la récupération des heures effectuées en trop.

Pour ma part, je n'ai pas connu de syndicat qui ait laissé les collègues se débrouiller tout seuls.

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il y a 5 minutes, Helem a dit :

Bonsoir

Dans mon message initial, le lien inséré envoie vers un article qui référence quelques textes importants :

  • notion "d'astreinte" dans la fonction publique.
  • décret sur les remplacements.
  • note de service du MEN sur la récupération des heures effectuées en trop.

Pour ma part, je n'ai pas connu de syndicat qui ait laissé les collègues se débrouiller tout seuls.

Pour ma part c'est ce que j'ai ressenti, c'est comme ça et débrouille toi. En gros tu as pris le poste, les galères avec.

Je n'ai peut-être pas contacté le bon syndicat...

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il y a 59 minutes, Helem a dit :

Bonsoir

Dans mon message initial, le lien inséré envoie vers un article qui référence quelques textes importants :

  • notion "d'astreinte" dans la fonction publique.
  • décret sur les remplacements.
  • note de service du MEN sur la récupération des heures effectuées en trop.

Pour ma part, je n'ai pas connu de syndicat qui ait laissé les collègues se débrouiller tout seuls.

Ok, pas le temps de lire ce soir le premier texte cité, mais le second, c'est le décret de 2017 qui, justement, permet l'astreinte gratuite, si je ne m'abuse.

Et ce passage de l'article, sans marque d'empathie (je suppose que son auteur n'apprécierait pas de ne pas savoir le mardi midi s'il va travailler ou non le lendemain, alors que cela lui fera dépasser ses heures ...), n'augure rien de bon :

Citation

Exemples :

  • Le collègue X est rattaché à une école à quatre jours et demi. Lorsqu’il n’est pas affecté à une mission de remplacement, il est à disposition dans son école y compris les mercredis.
  • Le collègue Y est rattaché à une école à quatre jours. En dehors des périodes de remplacement il est à disposition de l’école de rattachement. 
    Si son remplacement finit mardi soir et qu’aucun remplacement n’a été programmé, il n’a pas à être à disposition de l’administration le mercredi matin, celui-ci est vaqué comme pour les autres collègues de l’école de rattachement.

Jusqu'à quand ce syndicat trouve-t-il acceptable qu'un TR puisse être prévenu s'il va travailler le lendemain ?

Quid de la garde de ses enfants, ses rendez-vous médicaux voire ses loisirs ?

Je trouve inadmissible que les représentants syndicaux ne soient pas plus exigeants, au minimum, sur l'organisation, dans chaque circonscription, d'un véritable service d'astreinte (par exemple, un TR, par roulement, chaque mercredi sait, depuis au moins une semaine, qu'il sera d'astreinte ET QUE CES HEURES SERONT COMPTÉES DANS SON TEMPS DE TRAVAIL MÊME S'IL N'EST APPELÉ ! Et plus généralement pour interdire qu'un TR, y compris ceux sur des congés courts, ne sache pas le vendredi soir s'il va ou non travailler le mercredi suivant, et revendiquer qu'ils puissent tous réellement choisir quand ils vont pouvoir rattraper leurs heures "trop faites".

Un jeune TR de la circonscription d'à coté, cette année, rattaché à une école à quatre jours, ne sait toujours pas ce qu'il doit faire le mercredi (on est en mars quand même), donc il ne peut rien prévoir rien et attend près du téléphone, sans avoir la certitude que les heures effectuées en trop lui seront rendues. Et on ne parle même pas que ça se fasse quand ça l'arrange !

 

Le décret de 2017, en facilitant la création de zones de remplacement à la place des circonscriptions, a créé la faille permettant d’éloigner tous les TR de leurs gestionnaires et de totalement déshumaniser leurs conditions de travail. Alors que la secrétaire de circonscription connait ses 20 ZIL et peut organiser une petite réunion de rentrée pour en discuter avec eux, le gestionnaire DSDEN qui, la plupart du temps, n'a jamais mis un pied dans les écoles où il envoie ses Brigades, pourra se contenter d'envoyer un message ambigu, les laissant en proie au doute, puis les affectera d'autorité le mardi soir 17h pour le mercredi sans même se poser de question, et les TR auront des problèmes si par malheur ils n'y vont pas ... et plein d'angoisses ! 

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Il y a 1 heure, bouzou49 a dit :

 Je vais rappeler un syndicat il me semble bien avoir entendu 26 heures (réunions comprises?) . Apparement ici il ya encore beaucoup d'écoles à 4.5 jours d'où le dépassement.

C'est 24h devant élèves, si tu dépasses, ca compte comme heure à rattraper.

Pour le réunions et l'APC, tu comptes tes heures dans les 108h comme les autres enseignants. Quand tu as fait ton quotas d'heures, tu dis "stop" (sans aucun scrupule).

Icic aussi, c'est moitié -moitié, donc on dépasse souvent, mais on rattrape assez vite (entre 2 remplacements si besoin).

 

D'accord avec vous sur le fait que les syndicats ne se penchent pas trop sur la question..

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Il y a 7 heures, Goëllette a dit :

Ok, pas le temps de lire ce soir le premier texte cité, mais le second, c'est le décret de 2017 qui, justement, permet l'astreinte gratuite, si je ne m'abuse.

Et ce passage de l'article, sans marque d'empathie (je suppose que son auteur n'apprécierait pas de ne pas savoir le mardi midi s'il va travailler ou non le lendemain, alors que cela lui fera dépasser ses heures ...), n'augure rien de bon :

Jusqu'à quand ce syndicat trouve-t-il acceptable qu'un TR puisse être prévenu s'il va travailler le lendemain ?

Quid de la garde de ses enfants, ses rendez-vous médicaux voire ses loisirs ?

Je trouve inadmissible que les représentants syndicaux ne soient pas plus exigeants, au minimum, sur l'organisation, dans chaque circonscription, d'un véritable service d'astreinte (par exemple, un TR, par roulement, chaque mercredi sait, depuis au moins une semaine, qu'il sera d'astreinte ET QUE CES HEURES SERONT COMPTÉES DANS SON TEMPS DE TRAVAIL MÊME S'IL N'EST APPELÉ ! Et plus généralement pour interdire qu'un TR, y compris ceux sur des congés courts, ne sache pas le vendredi soir s'il va ou non travailler le mercredi suivant, et revendiquer qu'ils puissent tous réellement choisir quand ils vont pouvoir rattraper leurs heures "trop faites".

Un jeune TR de la circonscription d'à coté, cette année, rattaché à une école à quatre jours, ne sait toujours pas ce qu'il doit faire le mercredi (on est en mars quand même), donc il ne peut rien prévoir rien et attend près du téléphone, sans avoir la certitude que les heures effectuées en trop lui seront rendues. Et on ne parle même pas que ça se fasse quand ça l'arrange !

 

Le décret de 2017, en facilitant la création de zones de remplacement à la place des circonscriptions, a créé la faille permettant d’éloigner tous les TR de leurs gestionnaires et de totalement déshumaniser leurs conditions de travail. Alors que la secrétaire de circonscription connait ses 20 ZIL et peut organiser une petite réunion de rentrée pour en discuter avec eux, le gestionnaire DSDEN qui, la plupart du temps, n'a jamais mis un pied dans les écoles où il envoie ses Brigades, pourra se contenter d'envoyer un message ambigu, les laissant en proie au doute, puis les affectera d'autorité le mardi soir 17h pour le mercredi sans même se poser de question, et les TR auront des problèmes si par malheur ils n'y vont pas ... et plein d'angoisses ! 

Bonjour

Mon intervention initiale sur ce fil tenait au fait que j'avais le sentiment que la "base" règlementaire semblait méconnue. C'est pourquoi je citais cet article qui est destiné à remettre les choses à leur place. De ce que j'en sais, cet article comprend des extraits d'une note juridique établie par un cabinet d'avocats pour le syndicat concerné. Ce n'est pas très "glamour" comme lecture, mais l'objectif unique de l'article me semble être "informatif".
Pour aller plus loin dans le "revendicatif", toujours sur le même site, il existe d'autres liens :
Organisation des remplacements
Enseignants remplaçants ou en services partagés : Décret du 20 août 2014

Mais sans doute, ce fil n'est alors plus le meilleur lieu pour en débattre.
Quant à la question du bien-fondé de la mise en place d'une "astreinte" pour les enseignant·es du premier degré, cela mérite un débat approfondi mesurant au plus juste tous les tenants et aboutissants... Pour le coup, je ne pense pas qu'il y ait un seul syndicat qui ait mené ce débat là ...

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Le 25/03/2018 à 23:10, Goëllette a dit :

Ok, pas le temps de lire ce soir le premier texte cité, mais le second, c'est le décret de 2017 qui, justement, permet l'astreinte gratuite, si je ne m'abuse.

Et ce passage de l'article, sans marque d'empathie (je suppose que son auteur n'apprécierait pas de ne pas savoir le mardi midi s'il va travailler ou non le lendemain, alors que cela lui fera dépasser ses heures ...), n'augure rien de bon :

Jusqu'à quand ce syndicat trouve-t-il acceptable qu'un TR puisse être prévenu s'il va travailler le lendemain ?

Quid de la garde de ses enfants, ses rendez-vous médicaux voire ses loisirs ?

Je trouve inadmissible que les représentants syndicaux ne soient pas plus exigeants, au minimum, sur l'organisation, dans chaque circonscription, d'un véritable service d'astreinte (par exemple, un TR, par roulement, chaque mercredi sait, depuis au moins une semaine, qu'il sera d'astreinte ET QUE CES HEURES SERONT COMPTÉES DANS SON TEMPS DE TRAVAIL MÊME S'IL N'EST APPELÉ ! Et plus généralement pour interdire qu'un TR, y compris ceux sur des congés courts, ne sache pas le vendredi soir s'il va ou non travailler le mercredi suivant, et revendiquer qu'ils puissent tous réellement choisir quand ils vont pouvoir rattraper leurs heures "trop faites".

Un jeune TR de la circonscription d'à coté, cette année, rattaché à une école à quatre jours, ne sait toujours pas ce qu'il doit faire le mercredi (on est en mars quand même), donc il ne peut rien prévoir rien et attend près du téléphone, sans avoir la certitude que les heures effectuées en trop lui seront rendues. Et on ne parle même pas que ça se fasse quand ça l'arrange !

 

Le décret de 2017, en facilitant la création de zones de remplacement à la place des circonscriptions, a créé la faille permettant d’éloigner tous les TR de leurs gestionnaires et de totalement déshumaniser leurs conditions de travail. Alors que la secrétaire de circonscription connait ses 20 ZIL et peut organiser une petite réunion de rentrée pour en discuter avec eux, le gestionnaire DSDEN qui, la plupart du temps, n'a jamais mis un pied dans les écoles où il envoie ses Brigades, pourra se contenter d'envoyer un message ambigu, les laissant en proie au doute, puis les affectera d'autorité le mardi soir 17h pour le mercredi sans même se poser de question, et les TR auront des problèmes si par malheur ils n'y vont pas ... et plein d'angoisses ! 

Bonjour

J'ai lancé la conversation sur ça ce midi. Deux collègues m'ont répondu que c'était normal après tout j'étais remplaçante et puis j'allais récupérer mes heures. A la limite c'est vrai j'ai fait un choix de poste c'est comme ça. Mais ce que je trouve fou c'est que la dégradation des postes de brigade n'est qu'un morceau de toutes les dégradations qui vont suivre. Beaucoup de collègues pensent que tant qu'on ne touche pas à leurs petites affaires tout va bien. Chacun pour soi et ce n'est surtout pas comme ça qu'on va changer les choses. Les conditions vont se dégrader mais tout le monde regarde son nombril .  J'avais envie de quitter l'en mais je crois que ça va être un projet!

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il y a 19 minutes, bouzou49 a dit :

J'ai lancé la conversation sur ça ce midi. Deux collègues m'ont répondu que c'était normal après tout j'étais remplaçante et puis j'allais récupérer mes heures. A la limite c'est vrai j'ai fait un choix de poste c'est comme ça. Mais ce que je trouve fou c'est que la dégradation des postes de brigade n'est qu'un morceau de toutes les dégradations qui vont suivre. Beaucoup de collègues pensent que tant qu'on ne touche pas à leurs petites affaires tout va bien. Chacun pour soi et ce n'est surtout pas comme ça qu'on va changer les choses. Les conditions vont se dégrader mais tout le monde regarde son nombril .  J'avais envie de quitter l'en mais je crois que ça va être un projet!

Je suis complément d'accord.
En ce moment, la grande mode ici c'est d'organiser des classes découvertes tout en étant au courant d'une grossesse... Du coup, manque de chance quand vient le moment d'aller en classe découverte ben... c'est le remplaçant qui doit s'y coller.

Je suis désolée mais dans ces cas là, je refuse au risque de paraître pénible. C'est un investissement avec nuitée pour lequel je ne me suis pas engagée. Je remplaçais justement à la journée dans une école et les collègues en parlait. Une collègue sait qu'elle est prévue pour la classe découverte mais enceinte elle n'y participera pas. Je me suis pris un "c'est au remplaçant d'assumer " :blink: euh non. Si il veut bien oui sinon il a toute la liberté de refuser.

Je le répète nous ne sommes pas corvéable parce que remplaçant.

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