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Revue de presse sur les rythmes


dameoiselle

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http://www.lexpress.fr/education/rythmes-scolaires-offensive-de-l-ump-et-reunion-de-crise-a-l-elysee_1287138.html

Réunion de crise pour le gouvernement.

L'UMP essaie de faire de la récupération politique et se dévoile :

"L'UMP joue ici une partition délicate, car la réflexion sur le retour à quatre jours et demi a bien été initiée par le gouvernement Fillon. Le ministre Luc Chatel avait même soumis le scénario d'une réforme d'ampleur à Nicolas Sarkozy, réforme enterrée "par prudence" à la veille de la campagne présidentielle. Interrogé, l'entourage de Luc Chatel se défend de toute amnésie sur le sujet. "Certes nous avons une communauté de vue avec les socialistes sur le sujet, mais ce que nous souhaitions c'est augmenter le nombre de jours travaillés des enseignants et réduire les vacances scolaires", souligne Jonathan Derai, qui fut le directeur de cabinet de Luc Chatel à l'Education nationale. "Notre réflexion allait de pair avec une refonte du statut des enseignants", ajoute-t-il."

Ca a le mérite d'être clair !!!!!

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http://www.lexpress.fr/education/rythmes-scolaires-offensive-de-l-ump-et-reunion-de-crise-a-l-elysee_1287138.html

Réunion de crise pour le gouvernement.

L'UMP essaie de faire de la récupération politique et se dévoile :

"L'UMP joue ici une partition délicate, car la réflexion sur le retour à quatre jours et demi a bien été initiée par le gouvernement Fillon. Le ministre Luc Chatel avait même soumis le scénario d'une réforme d'ampleur à Nicolas Sarkozy, réforme enterrée "par prudence" à la veille de la campagne présidentielle. Interrogé, l'entourage de Luc Chatel se défend de toute amnésie sur le sujet. "Certes nous avons une communauté de vue avec les socialistes sur le sujet, mais ce que nous souhaitions c'est augmenter le nombre de jours travaillés des enseignants et réduire les vacances scolaires", souligne Jonathan Derai, qui fut le directeur de cabinet de Luc Chatel à l'Education nationale. "Notre réflexion allait de pair avec une refonte du statut des enseignants", ajoute-t-il."

Ca a le mérite d'être clair !!!!!

Il manque une partie: en ne leur donnant pas un fifrelin d'augmentation, faut pas déconner non plus.

Sinon, réduire les vacances est aussi un objectif du PS.

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Réunion de crise pour le gouvernement.

L'UMP essaie de faire de la récupération politique et se dévoile :

"L'UMP joue ici une partition délicate, car la réflexion sur le retour à quatre jours et demi a bien été initiée par le gouvernement Fillon. Le ministre Luc Chatel avait même soumis le scénario d'une réforme d'ampleur à Nicolas Sarkozy, réforme enterrée "par prudence" à la veille de la campagne présidentielle. Interrogé, l'entourage de Luc Chatel se défend de toute amnésie sur le sujet. "Certes nous avons une communauté de vue avec les socialistes sur le sujet, mais ce que nous souhaitions c'est augmenter le nombre de jours travaillés des enseignants et réduire les vacances scolaires", souligne Jonathan Derai, qui fut le directeur de cabinet de Luc Chatel à l'Education nationale. "Notre réflexion allait de pair avec une refonte du statut des enseignants", ajoute-t-il."

Ca a le mérite d'être clair !!!!!

Il manque une partie: en ne leur donnant pas un fifrelin d'augmentation, faut pas déconner non plus.

Sinon, réduire les vacances est aussi un objectif du PS.

Le résultat sera le même mais les objectifs annoncés sont différents.. Faut vraiment croire que les électeurs sont nombreux à nous en vouloir pour qu'à droite on présente le projet comme ça...

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Réunion de crise pour le gouvernement.

L'UMP essaie de faire de la récupération politique et se dévoile :

"L'UMP joue ici une partition délicate, car la réflexion sur le retour à quatre jours et demi a bien été initiée par le gouvernement Fillon. Le ministre Luc Chatel avait même soumis le scénario d'une réforme d'ampleur à Nicolas Sarkozy, réforme enterrée "par prudence" à la veille de la campagne présidentielle. Interrogé, l'entourage de Luc Chatel se défend de toute amnésie sur le sujet. "Certes nous avons une communauté de vue avec les socialistes sur le sujet, mais ce que nous souhaitions c'est augmenter le nombre de jours travaillés des enseignants et réduire les vacances scolaires", souligne Jonathan Derai, qui fut le directeur de cabinet de Luc Chatel à l'Education nationale. "Notre réflexion allait de pair avec une refonte du statut des enseignants", ajoute-t-il."

Ca a le mérite d'être clair !!!!!

Il manque une partie: en ne leur donnant pas un fifrelin d'augmentation, faut pas déconner non plus.

Sinon, réduire les vacances est aussi un objectif du PS.

Le résultat sera le même mais les objectifs annoncés sont différents.. Faut vraiment croire que les électeurs sont nombreux à nous en vouloir pour qu'à droite on présente le projet comme ça...

La peste ou le choléra, donc...

JBB

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JT France 3 Ile de France du 1/10/13 à 19h30 :

- reportage à 6'30

- interview de Jérôme Lambert du SNUI-pp Paris à 9'40

http://pluzz.francetv.fr/videos/jt_1920_paris_ile_de_france_,89549848.html

(si le message "vidéo indisponible" apparaît, relancez la page.)

Modifié par prof désécol
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J'aime bien cet "article"... et surtout sa conclusion !!

> http://www.se-unsa.org/spip.php?article5874

Comment dit-on ? MDR ??

Voici l'article :

Rythmes scolaires : le SE-Unsa exigeant ! :noellaugh:
[Comprendre : le gouvernement remercie le SE-Unsa pour son soutien sans faille...]
Article publié le lundi 30 septembre 2013.

La mise en œuvre de la réforme des rythmes bouscule l’organisation de l’école. Ce n’est donc pas en quelques semaines que le nouveau dispositif trouvera sa « vitesse de croisière » [Non, attendons donc Noël pour constater que les enfants et les enseignants sont occis]. À trois semaines de la rentrée, il est plus que prématuré de tirer quelque bilan que ce soit. Ceux qui s’y risquent restent dans la subjectivité ou s’inscrivent dans des stratégies politiques [Peillon doit bénir l'aide indéfectible de l'Unsa et la clique de ses sympathisants qui y officient ; mais bien sûr, là, ce n'est pas politique...] ou syndicales bien éloignées des conditions d’apprentissage des élèves.

Ce qui est au cœur de cette évolution, c’est bien l’intérêt des élèves [biendézenfants, toussa...]. Avec une journée de classe raccourcie et une semaine sur cinq matinées plutôt que quatre, ce dispositif se préoccupe avant tout des élèves les plus fragiles dans leurs apprentissages. Si les nouveaux rythmes ne règlent pas tout, ils représentent un levier bénéfique pour tous les élèves. [Ce petit refrain, plus grand monde n'ose le chantonner, à part l'Unsa qui ne craint pas le ridicule...]

De toute évidence, des « réglages » ["petits couacs", "réglages", "petites améliorations", "léger dysfonctionnement", mais sur le fond, tout va bien, évidemment...] doivent encore être opérés et des problèmes en suspens résolus. Il reste en effet des difficultés (sorties scolaires ponctuelles ou régulières qui empiètent sur le temps périscolaire par exemple [Ah oui, ça préoccupe tout le monde, c'est sûr...], manque de locaux, difficulté à positionner les APC dans le nouvel emploi du temps des élèves, sieste des élèves en maternelle…), qu’il convient désormais de solutionner. [Et comment, les bisounours ?]

Pour ce faire, il faut pouvoir regarder les problèmes en face sans faux procès envers aucune des parties prenantes. [Ah si, il faut accuser, car ces problèmes étaient prévus et annoncés dès le début et que les responsables ont choisi de mettre des oeillères en passant outre les mises en gardes.]

Pour le SE-Unsa, il est temps de dépasser les oppositions pour passer à la coproduction. Les DASEN doivent réunir les comités de suivi départementaux et leur faire jouer pleinement leur rôle de régulateur [On se demande bien comment, sachant qu'ils n'ont pratiquement aucun pouvoir sur le temps périscolaire et ont avalisé à peu près tout et son contraire en matière de dispositif]. Les organisations retenues doivent offrir à la fois de meilleures conditions d’apprentissage aux élèves et de meilleures conditions de travail aux personnels [être viré de sa classe par un animateur, à l'Unsa, on aime !]. La réalité du terrain nous montre que là où la concertation a joué à plein, les nouveaux rythmes se mettent en œuvre dans la sérénité. [super ! Et... c'est où ?]

Honte au SE-Unsa qui se couvre de ridicule.

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