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Posté(e)

Est-ce que quelqu'un peut m'expliquer pourquoi certains obtiennent une "mutation" avec 26 points tandis que d'autres n'obtiennent pas leur "permutation" avec bien plus de points, sortant du même département et entrant dans le même ?

Je me suis trompée: je ne pense pas que ce soit possible que ce soit le même département d'origine, mais en tout cas, entrer avec 26 points, oui c'est possible sans permut.. alors pourquoi?

Posté(e)

la permutation, je crois que c'est vraiment un système d'échange, mais même si y'a le nombre parfait, les départements doivent ouvrir les vannes et autorisent un certain nombre

la mutation c'est un autre système

après ça dépend d'où tu viens, et où tu vas ...ça aussi c'est très important

Posté(e)

C'est parce que les départements acceptent un certains nombre de déficit et donc laissent parfois assez peu sortir. L'année dernière, le 95 a paramétré à peu près - 63, je crois (chiffres qui sont décidés avec le ministère). Tu as à peine une trentaine de personne qui le demandaient : elles l'ont donc toutes eu. Par contre, ça n'a laissé que 90 sorties donc. Du coup, même des personnes demandant des départements déficitaires où on peut rentrer avec 21 points (ce qui était mon cas) ne mutent pas parce qu'elles n'arrivent pas à sortir du département. Et il faut arrêter de se taper les uns sur les autres : c'est le ministère qui choisit les paramétrages, c'est le ministère qui redéfinit les règles d'INEAT/EXEAT (jusqu'à l'année dernière, le 95 donnaient un exeat aux dispo en rapprochement de conjoint avec enfant par exemple, puisque perdu pour perdu : l'année dernière ils n'ont pu eu cette latitude et devaient suivre une règle commune : nombre d'année de séparation, etc...). Et si les mutations ne fonctionnent plus (alors qu'elles fonctionnaient correctement dans le primaire jusqu'à il y a 3-4 ans au moins pour les départements assez peu demandés), c'est parce que chaque année on met des paramétrages de plus en plus restrictifs qui empêchent le mouvement.

Posté(e)

C'est parce que les départements acceptent un certains nombre de déficit et donc laissent parfois assez peu sortir. L'année dernière, le 95 a paramétré à peu près - 63, je crois (chiffres qui sont décidés avec le ministère). Tu as à peine une trentaine de personne qui le demandaient : elles l'ont donc toutes eu. Par contre, ça n'a laissé que 90 sorties donc. Du coup, même des personnes demandant des départements déficitaires où on peut rentrer avec 21 points (ce qui était mon cas) ne mutent pas parce qu'elles n'arrivent pas à sortir du département. Et il faut arrêter de se taper les uns sur les autres : c'est le ministère qui choisit les paramétrages, c'est le ministère qui redéfinit les règles d'INEAT/EXEAT (jusqu'à l'année dernière, le 95 donnaient un exeat aux dispo en rapprochement de conjoint avec enfant par exemple, puisque perdu pour perdu : l'année dernière ils n'ont pu eu cette latitude et devaient suivre une règle commune : nombre d'année de séparation, etc...). Et si les mutations ne fonctionnent plus (alors qu'elles fonctionnaient correctement dans le primaire jusqu'à il y a 3-4 ans au moins pour les départements assez peu demandés), c'est parce que chaque année on met des paramétrages de plus en plus restrictifs qui empêchent le mouvement.

Ce n'est pas histoire de se taper dessus mais de rêver au contraire ! si on ne voyait que des 500 points muter, on aurait le moral à zéro

Posté(e)

Est-ce que quelqu'un peut m'expliquer pourquoi certains obtiennent une "mutation" avec 26 points tandis que d'autres n'obtiennent pas leur "permutation" avec bien plus de points, sortant du même département et entrant dans le même ?

Je me suis trompée: je ne pense pas que ce soit possible que ce soit le même département d'origine, mais en tout cas, entrer avec 26 points, oui c'est possible sans permut.. alors pourquoi?

Ca dépend d'où l'on sort et où on veut aller.

Exemple: du 60 vers le 80 il faut quasiment 700 points alors que du 80 vers le 60 22 points suffisent car beaucoup de monde veulent faire le chemin inverse...

Posté(e)

Est-ce que quelqu'un peut m'expliquer pourquoi certains obtiennent une "mutation" avec 26 points tandis que d'autres n'obtiennent pas leur "permutation" avec bien plus de points, sortant du même département et entrant dans le même ?

Je me suis trompée: je ne pense pas que ce soit possible que ce soit le même département d'origine, mais en tout cas, entrer avec 26 points, oui c'est possible sans permut.. alors pourquoi?

Ca dépend d'où l'on sort et où on veut aller.

Exemple: du 60 vers le 80 il faut quasiment 700 points alors que du 80 vers le 60 22 points suffisent car beaucoup de monde veulent faire le chemin inverse...

Merci, je comprends mieux. Les permutations ne se font qu'entre deux départements (un qui entre, un qui sort) ou bien c'est bien plus compliqué?

Posté(e)

C'est parce que les départements acceptent un certains nombre de déficit et donc laissent parfois assez peu sortir. L'année dernière, le 95 a paramétré à peu près - 63, je crois (chiffres qui sont décidés avec le ministère). Tu as à peine une trentaine de personne qui le demandaient : elles l'ont donc toutes eu. Par contre, ça n'a laissé que 90 sorties donc. Du coup, même des personnes demandant des départements déficitaires où on peut rentrer avec 21 points (ce qui était mon cas) ne mutent pas parce qu'elles n'arrivent pas à sortir du département. Et il faut arrêter de se taper les uns sur les autres : c'est le ministère qui choisit les paramétrages, c'est le ministère qui redéfinit les règles d'INEAT/EXEAT (jusqu'à l'année dernière, le 95 donnaient un exeat aux dispo en rapprochement de conjoint avec enfant par exemple, puisque perdu pour perdu : l'année dernière ils n'ont pu eu cette latitude et devaient suivre une règle commune : nombre d'année de séparation, etc...). Et si les mutations ne fonctionnent plus (alors qu'elles fonctionnaient correctement dans le primaire jusqu'à il y a 3-4 ans au moins pour les départements assez peu demandés), c'est parce que chaque année on met des paramétrages de plus en plus restrictifs qui empêchent le mouvement.

Ce n'est pas histoire de se taper dessus mais de rêver au contraire ! si on ne voyait que des 500 points muter, on aurait le moral à zéro

Mais dans certains départements c'est le cas ! Avec mes 366 points en rapprochement de conjoint avec enfant (mais en dispo), je sais que je ne sortirai pas du val d'oise ! Mais certains parlent régulièrement du fait que certains ont des 800 points qui ne "seraient" pas juste, etc. La vérité c'est que ce sont les paramétrages du ministère qui ont bloqués les mutations. Et rêver c'est bien mais encore faut-il prendre en compte la réalité. Sortir de certains départements est devenu mission impossible, encore plus quand on conjugue le fait de vouloir aller dans des départements demandés. Autant le savoir avant d'aller passer le concours à l'autre bout de la France.

Posté(e)

Est-ce que quelqu'un peut m'expliquer pourquoi certains obtiennent une "mutation" avec 26 points tandis que d'autres n'obtiennent pas leur "permutation" avec bien plus de points, sortant du même département et entrant dans le même ?

Je me suis trompée: je ne pense pas que ce soit possible que ce soit le même département d'origine, mais en tout cas, entrer avec 26 points, oui c'est possible sans permut.. alors pourquoi?

Ca dépend d'où l'on sort et où on veut aller.

Exemple: du 60 vers le 80 il faut quasiment 700 points alors que du 80 vers le 60 22 points suffisent car beaucoup de monde veulent faire le chemin inverse...

Merci, je comprends mieux. Les permutations ne se font qu'entre deux départements (un qui entre, un qui sort) ou bien c'est bien plus compliqué?

Il peut y avoir des chaines beaucoup plus longues, j'ai mis cet exemple car il me concerne (bloquée dans le 60 depuis 5 ans, 6 ans avec la PE2, je veux retourner dans mon département d'origine, là où j'ai passé le concours, même académie... mais je sais que ça ne sera pas encore pour cette année... :( )

Posté(e)

Quand je vois que l'année dernière sur la même académie mais dans un autre département (77) certains sont partis avec 41 points et moi qui suis dans le 93 je n'ai pas eu ma mut' avec 108 points!

C'est d'autant plus rageant de savoir qu'il y a de telles disparités au sein d'une même académie. Cette année j'ai 493 points et j'ai la certitude de ne pas l'avoir!

Posté(e)

Le se unsa a fait une fiche pour expliquer le système:

Version:1.0 StartHTML:0000000167 EndHTML:0000007344 StartFragment:0000000454 EndFragment:0000007328

Le SE-UNSA a demandé à plusieurs reprises, au Ministère, qu’une fiche claire sur le fonctionnement du logiciel soit fournie aux candidats mais rien n’a été fait. Au SE-UNSA, nous estimons que cette information vous est due. C’est pour cela que, grâce aux éléments que nous avons récoltés, nous nous proposons de vous donner les principaux algorithmes de ce logiciel.

1ère phase : les mutations

Elles reposent sur un « calibrage », fixé de manière négociée entre le MEN et les IA (en lien avec les Recteurs). Ce calibrage résulte d’un solde d’entrants et de sortants pour chaque département. Il est intimement dépendant de la situation prévisionnelle en nombre d’emplois pour la rentrée scolaire suivante.

Chaque candidat est classé par barème décroissant. Tous ses vœux sont examinés (pas de priorité sur le voeu1).

Pour que le mouvement fonctionne, il faut faire partie des x calibrés pour sortir ET des y calibrés dans le département d’accueil pour entrer (c’est un peu le même principe que les ineat/exeat).

En toute logique, c’est donc les plus forts barèmes qui passent dans cette phase, à concurrence des candidats de tous les autres départements qui veulent aussi intégrer ce même département.

Dans cette phase, les vœux liés sont traités chacun séparément. Si une possibilité se dégage pour un des vœux (et pour les 2 candidats), le logiciel retient le vœu le moins bien classé pour les 2. Si un des 2 n’obtient rien, aucun des 2 n’obtient satisfaction.

Particularité pour ceux qui font plusieurs vœux : s’ils obtiennent dans cette phase un vœu inférieur au vœu 1, ils sont «temporairement » affectés sur ce département et rejouent, dans la deuxième phase (voir § suivant sur les permutations), pour essayer d’obtenir, à partir de ce nouveau département obtenu, une permutation vers leur vœu 1.

Ainsi, ils se retrouvent à concurrence des candidats du département obtenu et non plus du département d’origine (ce qui rend impossible toute comparaison entre candidats originaires, au départ, d’un même département).

Exemple :

Deux collègues venant du 78 demandent en vœu 1 le 33 mais le deuxième candidat demande aussi en vœu 2 le 24. Il est possible que sur la 1ère phase, le deuxième soit muté sur le 24. Dans la phase des mutations, il est à nouveau examiné mais cette fois-ci au départ du 24 vers le 33 et plus au départ du 78 vers le 33. Cela peut grandement faciliter les choses vu que la phase des permutations résulte d’un chaînage …

2ème phase : les permutations

Il s’agit cette fois d’une toute autre logique, car à la fin de cette opération, il doit y avoir autant d’entrants que de sortants dans chaque département. Autrement dit cela ne coûte rien, en emplois, aux IA.

Tous ceux qui n’ont pas obtenu satisfaction en 1ère phase ainsi que tous ceux qui ont obtenu un vœu moins bien classé que le vœu 1 sont injectés dans cette phase.

Les résultats reposent sur la définition, par l’algorithme, de la chaîne de mouvements qui satisfait le plus grand nombre de candidats.

Cette fois-ci le barème n’intervient quasiment pas. Ce qui est en jeu c’est l’attractivité des départements et leur volume de flux (il faut que des candidats veuillent entrer dans mon département pour pouvoir en sortir ET il faut que des candidats du département convoité veuillent en sortir …).

Trois phases dans le même programme informatique :

- 1ère phase : Le candidat "A" qui a le barème le plus élevé au plan national est extrait du fichier et chacun de ses vœux est testé. Le logiciel mesure les possibilités d'accueil dans l'un des départements sollicités, c'est-à-dire que l'on recherche s'il existe un collègue "B" dans un de ces départements, qui postule lui-même sur le département du candidat "A" et qui doit en plus posséder le barème le plus élevé au niveau national parmi tous ceux qui veulent aussi intégrer le département du collègue "A". Vu la somme de conditions à réunir, les résultats sont dérisoires.

- 2ème phase : L'ordinateur établit la chaîne qui satisfait le plus grand nombre de candidats au plan national. Le barème intervient pour départager, entre eux, les candidats d'un même département.

 Système le plus efficace mais uniquement sur le vœu 1 : attention !

- 3ème phase : Toutes les demandes non satisfaites lors des 2 premières phases sont à nouveau réétudiées. Le logiciel évalue s'il est encore possible d'effectuer un échange simple entre 2 départements, en effectuant une recherche sur la totalité des vœux. C'est le barème le plus élevé qui départage les candidats. Très peu de satisfaits.

Posté(e)

Le se unsa a fait une fiche pour expliquer le système:

Version:1.0 StartHTML:0000000167 EndHTML:0000007344 StartFragment:0000000454 EndFragment:0000007328

Le SE-UNSA a demandé à plusieurs reprises, au Ministère, qu’une fiche claire sur le fonctionnement du logiciel soit fournie aux candidats mais rien n’a été fait. Au SE-UNSA, nous estimons que cette information vous est due. C’est pour cela que, grâce aux éléments que nous avons récoltés, nous nous proposons de vous donner les principaux algorithmes de ce logiciel.

1ère phase : les mutations

Elles reposent sur un « calibrage », fixé de manière négociée entre le MEN et les IA (en lien avec les Recteurs). Ce calibrage résulte d’un solde d’entrants et de sortants pour chaque département. Il est intimement dépendant de la situation prévisionnelle en nombre d’emplois pour la rentrée scolaire suivante.

Chaque candidat est classé par barème décroissant. Tous ses vœux sont examinés (pas de priorité sur le voeu1).

Pour que le mouvement fonctionne, il faut faire partie des x calibrés pour sortir ET des y calibrés dans le département d’accueil pour entrer (c’est un peu le même principe que les ineat/exeat).

En toute logique, c’est donc les plus forts barèmes qui passent dans cette phase, à concurrence des candidats de tous les autres départements qui veulent aussi intégrer ce même département.

Dans cette phase, les vœux liés sont traités chacun séparément. Si une possibilité se dégage pour un des vœux (et pour les 2 candidats), le logiciel retient le vœu le moins bien classé pour les 2. Si un des 2 n’obtient rien, aucun des 2 n’obtient satisfaction.

Particularité pour ceux qui font plusieurs vœux : s’ils obtiennent dans cette phase un vœu inférieur au vœu 1, ils sont «temporairement » affectés sur ce département et rejouent, dans la deuxième phase (voir § suivant sur les permutations), pour essayer d’obtenir, à partir de ce nouveau département obtenu, une permutation vers leur vœu 1.

Ainsi, ils se retrouvent à concurrence des candidats du département obtenu et non plus du département d’origine (ce qui rend impossible toute comparaison entre candidats originaires, au départ, d’un même département).

Exemple :

Deux collègues venant du 78 demandent en vœu 1 le 33 mais le deuxième candidat demande aussi en vœu 2 le 24. Il est possible que sur la 1ère phase, le deuxième soit muté sur le 24. Dans la phase des mutations, il est à nouveau examiné mais cette fois-ci au départ du 24 vers le 33 et plus au départ du 78 vers le 33. Cela peut grandement faciliter les choses vu que la phase des permutations résulte d’un chaînage …

2ème phase : les permutations

Il s’agit cette fois d’une toute autre logique, car à la fin de cette opération, il doit y avoir autant d’entrants que de sortants dans chaque département. Autrement dit cela ne coûte rien, en emplois, aux IA.

Tous ceux qui n’ont pas obtenu satisfaction en 1ère phase ainsi que tous ceux qui ont obtenu un vœu moins bien classé que le vœu 1 sont injectés dans cette phase.

Les résultats reposent sur la définition, par l’algorithme, de la chaîne de mouvements qui satisfait le plus grand nombre de candidats.

Cette fois-ci le barème n’intervient quasiment pas. Ce qui est en jeu c’est l’attractivité des départements et leur volume de flux (il faut que des candidats veuillent entrer dans mon département pour pouvoir en sortir ET il faut que des candidats du département convoité veuillent en sortir …).

Trois phases dans le même programme informatique :

- 1ère phase : Le candidat "A" qui a le barème le plus élevé au plan national est extrait du fichier et chacun de ses vœux est testé. Le logiciel mesure les possibilités d'accueil dans l'un des départements sollicités, c'est-à-dire que l'on recherche s'il existe un collègue "B" dans un de ces départements, qui postule lui-même sur le département du candidat "A" et qui doit en plus posséder le barème le plus élevé au niveau national parmi tous ceux qui veulent aussi intégrer le département du collègue "A". Vu la somme de conditions à réunir, les résultats sont dérisoires.

- 2ème phase : L'ordinateur établit la chaîne qui satisfait le plus grand nombre de candidats au plan national. Le barème intervient pour départager, entre eux, les candidats d'un même département.

 Système le plus efficace mais uniquement sur le vœu 1 : attention !

- 3ème phase : Toutes les demandes non satisfaites lors des 2 premières phases sont à nouveau réétudiées. Le logiciel évalue s'il est encore possible d'effectuer un échange simple entre 2 départements, en effectuant une recherche sur la totalité des vœux. C'est le barème le plus élevé qui départage les candidats. Très peu de satisfaits.

Pas compliqué du tout...lol

Posté(e)

Tuxtla, comment passer de 108 à 493 en une année ?

Avec ce barème j'espère qu'on laisse sortir du 93 !

Invité
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