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Posté(e)

oui,

J'ai bien aimé.

Terminé la trilogie Verhoeven de Lemaître.

J'ai soupçonné le méchant et son mobile dès le début , mais j'ai apprécié quand même.

Merci.

Il y a un tome 4 pour info ;) bien plus petit cependant. Rosy & John.

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Malakime

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Posté(e)

Quelqu'un a lu "La vérité sur l'affaire Harry Quebert"?

Je l'ai lu il y a un moment déjà.Il avait été présenté avec enthousiasme au cercle littéraire que je fréquente chaque mois .

J'ai beaucoup aimé ce livre : je te le conseille volontiers!

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Super! Merci Lamed!

Posté(e)

J'ai terminé le jour où les destin s'entremêlent.

Cela tourne autour des violences conjugales. C'est certainement un peu gnangnan mais ça ne m'a pas dérangé, je l'ai lu rapidement. Il ne va pas me marquer plus que ça mais bon...

J'ai commencé Vampires de Jonquet.

En réalité c'est un "brouillon" inachevé car c'est le dernier manuscrit qu'il avait envoyé à son éditeur. A voir donc si je suis frustrée ou pas de ne pas avoir la fin de l'histoire. :lol:

Par contre, c'est très "noir" avec dès le début une description... comment dire... très hard ! :fear::heat: Âmes sensibles s'abstenir, donc.

Pour l'Affaire Harry Quebert je l'avais beaucoup aimée aussi.

Posté(e)

Mes dernières lectures :

Pause, Susan Manshart

Comment trois ados hyperconnectés et leur mère (qui dormait avec son smartphone) ont survécu à six mois sans le moindre média électronique : un témoignage à la portée universelle ! Vous avez trois cents amis sur Facebook, mais à quand remonte le dernier dîner en famille où vous avez eu une vraie conversation avec vos enfants ? Le monde va-t-il s’arrêter de tourner si vous éteignez votre iPhone ? C’est le genre de questions que Susan Maushart se pose quand elle embarque ses trois adolescents dans une cure de déconnexion. Après quelques semaines totalement sans électricité, pour commencer par un électrochoc, ils font disparaître de la maison tous les écrans. Petit à petit, les effets de cette confrontation au réel, à la « Vraie Vie », se font sentir. L’ennui stimule la créativité des ados qui se mettent à lire, à cuisiner, à bavarder autour de la table, à manger de façon plus équilibrée, à combler leur dette de sommeil, à progresser scolairement, à faire de la musique… La vie de famille quotidienne reprend une consistance. L’alternance entre récit autobiographique et réflexion de fond, où sont convoquées des sources objectives (statistiques, recherches, articles), donne une portée universelle au témoignage de cette famille qui se reconnecte au bout de six mois, métamorphosée.

Mouais, beaucoup de longueurs ...

Les hommes naissent libres et égaux, et les femmes ... Sylvie Tenenbaum

En France
1 femme meurt tous les trois jours sous les coups de son conjoint.
1 femme est violée toutes les sept minutes.
Les femmes occupent 60 % des emplois non qualifiés.
Elles assurent 70 % des tâches domestiques.

Loin d’avoir gagné l’égalité, les femmes sont en réalité en train de perdre beaucoup de terrain. Et le combat est loin d’être terminé car les mentalités – au féminin comme au masculin – n’ont pas évolué au rythme des avancées du siècle dernier. Dans les rares pays où ils ont été obtenus, les acquis sont régulièrement attaqués et la situation des femmes se dégrade : droit à l’avortement, contraception, santé, emploi, salaires, éducation, violence…

Que faire pour changer cette situation avant qu’il ne soit trop tard ?

La libération des femmes ne peut se poursuivre que grâce à une plus grande responsabilisation des femmes face à leur destin et à leur devenir. Elles doivent prendre en main leurs conditions de vie et de travail. Elles ne doivent plus jouer les victimes ou se cacher derrière leur rôle de mère. Le combat continue pour le féminisme, non contre les hommes mais avec eux, pour vivre ensemble, de mieux en mieux, et pour qu’un jour, les droits des femmes soient les mêmes que ceux des hommes.

Très facile à lire, et on apprend plein de choses

L'insolente de Kaboul, Chebeka Hachemi

C’est l’histoire d’une femme qui a traversé une montagne seule quand elle était enfant. Et en a soulevé mille depuis. Chekeba Hachemi est née en 1974 à Kaboul dans une famille bourgeoise et influente. Elle a onze frères et sœurs. Son père était gouverneur, un homme proche du peuple, qui est mort quand elle avait deux ans, mais qui a toujours incarné son modèle.
À l’âge de onze ans, alors que sa mère décide que leur tour est venu de fuir l’occupation soviétique, Chekeba se trouve séparée d’elle et va traverser la passe de Khaibar avec un passeur menaçant. Onze jours de terreur, dans les montagnes, qui lui ouvriront les yeux sur la réalité de la violence de l’occupation russe.
En 1999, Chekeba décide qu’il est temps de rencontrer ce Massoud pour lequel l’association qu’elle a créée, trois ans plus tôt, récolte des fonds en vue d’ouvrir des écoles dans le Panshir. Elle redécouvre son pays plongé dans la guerre et devient proche du célèbre commandant, qui voit en elle une aide précieuse pour sensibiliser la communauté internationale à la lutte contre les talibans.

Bien aimé

La femme à 1000°, Hallgrimur Helgason

Herbjörg Maria Björnsson. Un nom imprononçable que vous n’êtes pas près d’oublier.
Condamnée à vivre dans un garage avec pour seule compagnie son ordinateur portable, une provision de cigarettes et une grenade datant de la fin de la Seconde Guerre mondiale, une octogénaire islandaise atteinte d’un cancer en phase terminale revient sur sa vie en attendant la mort.
Car Herra, comme on l’appelle, a beaucoup de choses à raconter. Petite-fille du premier président d’Islande, fille d’une paysanne et du seul nazi islandais avéré, elle a, au fil de son existence mouvementée, vécu la guerre et l’exil, connu beaucoup d’hommes, parfois célèbres, et vu la mort, de bien trop près.
Avant de s’envoyer en l’air pour de bon, elle passe en revue son passé et celui de son pays, l’occasion pour elle de régler au passage quelques comptes.

Commencé, j'ai arrêté, ça me fait penser au vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire version féminine, je le reprendrai un jour.

Là, je lis :

Femmes libres, la résistance de 14 femmes dans le monde, Hélène Jullien, Aurine Crémieu

14 femmes : Aïssata A., Sihem Bensedrine, Vera Chirwa, Christine C., Angela Davis, Viviana Diaz, Asma Jahangir, Eliza Moussaeva, Ita Fatia Nadia, Arundhati Roy, Ngowang Sangdrol, Leïla Shahid, Sofia Y. et Leyla Zana, disent ici leur combat pour la liberté. Elles ont été de toutes les luttes, de la peine de mort aux mutilations génitales, des crimes d'honneur aux crimes de guerre. Qu'elles soient originaires de Tunisie, du Malawi, de France, des États-Unis, du Chili, du Pakistan... ces femmes sont exemplaires parce qu'elles ont refusé d'être des victimes et choisi de dire non. Bâillonnées, emprisonnées, mutilées, battues, ou encore menacées, elles ont résisté, souvent la peur au ventre, et continuent encore aujourd'hui à lutter au nom de la liberté. Aurine Crémieu et Hélène Jullien, journalistes et membres d'Amnesty International, les ont rencontrées. Elles nous les font découvrir à travers des portraits justes où la parole de chacune a un goût de force et de liberté.

De courts portraits, facile à lire, et piouf, une claque quand même : on se rend compte de notre liberté ici !

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Mes dernières lectures :

Pause, Susan Manshart

Mouais, beaucoup de longueurs ...

J'avais bien aimé, moi, pour l'humour, le parti-pris non moralisateur, et l'intérêt de l'expérience parce que, oui, l’hyper-connexion a aussi ses effets pervers, relationnels et familiaux.

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J'ai terminé et apprécié Non stop de Frédéric Mars:

9 septembre 2012, Manhattan. Un homme ordinaire reçoit une enveloppe anonyme et se met à marcher en direction du métro. À peine s’est-il arrêté sur le quai de la station qu’il explose, semant la mort autour de lui. Très vite, les mises en marche et explosions de ce genre se multiplient à une allure folle. Sam Pollack et Liz Mc Geary, les deux agents chargés de l’enquête, doivent admettre qu’ils sont confrontés à une attaque terroriste d’une envergure inouïe. Une attaque non revendiquée et d’autant plus difficile à contrer qu’elle transforme des innocents en bombes humaines, faisant d’eux les agents de ce scénario apocalyptique. Tous se sont vu implanter un pacemaker piégé dans les deux dernières années. Tous reçoivent ces fameuses enveloppes kraft et se mettent à marcher. S'ils s’arrêtent, la charge explosive se déclenche, où qu’ils soient. Quels que soient leur âge, leur sexe et leur couleur de peau. La cavale sans fin de ceux qu'on appelle les Death Walkers, les marcheurs de la mort, ne fait que commencer.

Posté(e)

Mes dernières lectures :

Pause, Susan Manshart

Mouais, beaucoup de longueurs ...

J'avais bien aimé, moi, pour l'humour, le parti-pris non moralisateur, et l'intérêt de l'expérience parce que, oui, l’hyper-connexion a aussi ses effets pervers, relationnels et familiaux.

Bah en fait, je crois que j'en attendais trop de ce livre, et que j'ai été déçue !

Mais je trouve le concept génial !

Posté(e)

auriez vous les livre de john gray: mars et vénus

j'ai le premier je cherhce les suivant

merci

Posté(e)

Just beaucoup aimé aussi :)

Et j'aime bcp Delphine de Vigan aussi!

Posté(e)

Just beaucoup aimé aussi :)

Et j'aime bcp Delphine de Vigan aussi!

J'adore Delphine de Vigan moi aussi!!! J'ai été extrêmement émue par "No et moi" donc j'ai enchaîné avec tous autres.

Posté(e)

Bin comment as tu fais pour papoter à ce point avec elle?

j'attends marie d'en haut qui est en réimpression. j'ai adoré les deux autres!

Invité
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