Sarri Posté(e) 2 octobre 2014 Posté(e) 2 octobre 2014 Et pourquoi ne pas ................... cette "consultation" sur le site prévu à cet effet?...c'est anonyme non?... Anonyme ou pas, pour ma part c'est fait. La réciprocité du foutage de gueule est une propriété que je m'impose désormais....
Mirobolande Posté(e) 3 octobre 2014 Posté(e) 3 octobre 2014 J'ai e,ntendu dire que le lien qu'on recevait sur sa boite pro était personnel, mais s'il y a un lien où on peut s'exprimer anonymement je veux bien participer à l'effort en disant tout le bien que je pense de l'EN....Allez, sur des heures de bénévolat... Parce que 3 heures pour lire 27 pages puis répondre au questionnaire, rien que ça c'est du foutage de gueule.
audrey62710 Posté(e) 3 octobre 2014 Posté(e) 3 octobre 2014 J'ai e,ntendu dire que le lien qu'on recevait sur sa boite pro était personnel, mais s'il y a un lien où on peut s'exprimer anonymement je veux bien participer à l'effort en disant tout le bien que je pense de l'EN....Allez, sur des heures de bénévolat... Parce que 3 heures pour lire 27 pages puis répondre au questionnaire, rien que ça c'est du foutage de gueule. J'ai e,ntendu dire que le lien qu'on recevait sur sa boite pro était personnel, mais s'il y a un lien où on peut s'exprimer anonymement je veux bien participer à l'effort en disant tout le bien que je pense de l'EN....Allez, sur des heures de bénévolat... Parce que 3 heures pour lire 27 pages puis répondre au questionnaire, rien que ça c'est du foutage de gueule. Bonjour, Sur quel boîte avez-vous reçu le lien ? Ca n'a rien à voir avec celui du ministère ?? Merci pour votre réponse. Audrey
prof désécol Posté(e) 3 octobre 2014 Posté(e) 3 octobre 2014 À Paris, l'UNSA appelle à la grève le mercredi 15 octobre ! http://www.unsa-paris.fr/animation/?p=1448 "L’Académie de Paris vient de décider que le mercredi 15 octobre il n’y aurait pas de classe : les enseignants seront en « concertation » durant la matinée. Et bien sûr, la Ville de Paris décide d’ouvrir un Centre de loisirs toute la journée, à charge pour nous de nous organiser, d’anticiper le nombre d’enfants potentiellement présents, de trouver les animateurs… La décision tombe – sans aucune concertation – trois semaines avant le jour concerné, les animateurs sont invités à travailler une demi-journée de plus, et comme d’habitude l’animation sert de variable d’ajustement et de bouche-trou. Seulement, et cela doit être très clair, cette habitude, nous n’en voulons plus : le calendrier scolaire, avec éventuellement ses journées « spéciales », doit être prévu largement en amont, et non pas modifié d’office par l’un de nos partenaires à la dernière minute. [...]" Ah oui, précision : il s'agit de l'UNSA-Animation...
prof désécol Posté(e) 3 octobre 2014 Posté(e) 3 octobre 2014 Au passage, la gestion de la rentrée périscolaire par la municipalité parisienne est bien écornée sur ce lien : "[...] Cette improvisation est la goutte qui fait déborder le vase ! Déjà, la manière dont s’est passée cette rentrée est inacceptable : toutes les informations sont arrivées en dernière minute, y compris les attributions d’associations, la valse des associations a été la règle et continue dans certains secteurs, les accompagnateurs n’étaient pas souvent au rendez-vous, les outils soi-disant performants fonctionnent mal ou ne fonctionnent pas… La charge de travail pour les REV et les DPA en particulier a été et est toujours énorme, due en grande partie à ces improvisations et à ces approximations de l’administration, auxquelles s’ajoutent les réunions, les remplacements, les formations, les notations, les commandes, Eudonet… Pourtant, malgré tous ces handicaps, cette rentrée a été réussie : les personnels ont fait la preuve qu’ils constituent la charpente du dispositif ARE, encaissent les variations de charges inhérentes et garantissent son adaptabilité en temps réel. Ils ont répondu présents et ont porté à bout de bras l’organisation pratique de la rentrée. Mais la charge de travail ne baisse jamais ! Les REV et les DPA, des RPA et animateurs, ont travaillé bien au-delà de leurs heures de travail, et notre syndicat demande donc que les primes exceptionnelles octroyées l’an passé soient renouvelées cette année. Ce ne serait que la juste contrepartie du travail effectué. [...]"
Freepaille Posté(e) 3 octobre 2014 Posté(e) 3 octobre 2014 À Paris, l'UNSA appelle à la grève le mercredi 15 octobre ! http://www.unsa-paris.fr/animation/?p=1448 "L’Académie de Paris vient de décider que le mercredi 15 octobre il n’y aurait pas de classe : les enseignants seront en « concertation » durant la matinée. Et bien sûr, la Ville de Paris décide d’ouvrir un Centre de loisirs toute la journée, à charge pour nous de nous organiser, d’anticiper le nombre d’enfants potentiellement présents, de trouver les animateurs… La décision tombe – sans aucune concertation – trois semaines avant le jour concerné, les animateurs sont invités à travailler une demi-journée de plus, et comme d’habitude l’animation sert de variable d’ajustement et de bouche-trou. Seulement, et cela doit être très clair, cette habitude, nous n’en voulons plus : le calendrier scolaire, avec éventuellement ses journées « spéciales », doit être prévu largement en amont, et non pas modifié d’office par l’un de nos partenaires à la dernière minute. [...]" Ah oui, précision : il s'agit de l'UNSA-Animation... Quelle blagueuse !!!!
Zarko Posté(e) 4 octobre 2014 Auteur Posté(e) 4 octobre 2014 Au passage, la gestion de la rentrée périscolaire par la municipalité parisienne est bien écornée sur ce lien : "[...] Cette improvisation est la goutte qui fait déborder le vase ! Déjà, la manière dont s’est passée cette rentrée est inacceptable : toutes les informations sont arrivées en dernière minute, y compris les attributions d’associations, la valse des associations a été la règle et continue dans certains secteurs, les accompagnateurs n’étaient pas souvent au rendez-vous, les outils soi-disant performants fonctionnent mal ou ne fonctionnent pas… La charge de travail pour les REV et les DPA en particulier a été et est toujours énorme, due en grande partie à ces improvisations et à ces approximations de l’administration, auxquelles s’ajoutent les réunions, les remplacements, les formations, les notations, les commandes, Eudonet… Pourtant, malgré tous ces handicaps, cette rentrée a été réussie : les personnels ont fait la preuve qu’ils constituent la charpente du dispositif ARE, encaissent les variations de charges inhérentes et garantissent son adaptabilité en temps réel. Ils ont répondu présents et ont porté à bout de bras l’organisation pratique de la rentrée. Mais la charge de travail ne baisse jamais ! Les REV et les DPA, des RPA et animateurs, ont travaillé bien au-delà de leurs heures de travail, et notre syndicat demande donc que les primes exceptionnelles octroyées l’an passé soient renouvelées cette année. Ce ne serait que la juste contrepartie du travail effectué. [...]" C'est impossible puisque notre ministre a dit que la rentrée avait été très sereine sur l'ensemble du territoire, la preuve : pas de grèves !
Zarko Posté(e) 4 octobre 2014 Auteur Posté(e) 4 octobre 2014 J'ai pas envie d'y aller rien que de voir les doc !
Zarko Posté(e) 4 octobre 2014 Auteur Posté(e) 4 octobre 2014 Ecoles fermées le 7 octobre après-midi: incompréhension et colère chez les parents d'élèves Le 04 octobre à 6h00 par I. B. | Mis à jour il y a 2 heures Mardi après-midi, il n'y aura pas classe. Pour réfléchir sur les enseignements, les professionnels de l'éducation se réunissent. Et les élèves sont renvoyés à la maison. Mardi après-midi, les élèves scolarisés dans les maternelles, élémentaires et collèges publics feront l'école buissonnière… sur ordre de l'Éducation nationale ou plus exactement du rectorat pour l'académie de Montpellier. Une aubaine ? Pas vraiment, au goût de nombre de parents qui doivent trouver une solution pour faire garder leurs enfants lors de cette journée dite 'banalisée'. Une directive du ministère de l'Éducation nationale a lancé "une consultation sur le socle commun de connaissances, de compétences et de culture, qui définit la culture commune que chaque élève doit acquérir au cours de la scolarité obligatoire et sur le projet de programme de l'école maternelle". En résumé, il s'agit d'échanger avec les professionnels et de recueillir les avis et propositions sur les projets du Conseil supérieur des programmes (CSP). Ainsi, ce 7 octobre, les enseignants ne seront dans leurs classes que le matin dans nombre de communes du département et les enfants pourront, en général, être accueillis à la cantine. À charge pour les parents de les récupérer avant 14 h, les écoles fermant leurs portes. "Pourquoi pas le mercredi ?" Une situation qui suscite incompréhension et colère chez les parents : "Comment le ministère veut d'un coup récolter l'avis des enseignants sur le programme éducatif, alors que depuis de nombreux mois il fait la sourde oreille sur ce que pense la majorité des enseignants et parents au sujet des nouveaux rythmes scolaires ?", tempête ce parent délégué, avant d'ajouter : "Pourquoi banaliser un mardi après-midi ? Pourquoi pas le mercredi ?", rappelant que les parents travaillent et "ne peuvent pas se permettre eux de 'banaliser' leur journée". Face à cette levée de boucliers, des communes ont choisi de mettre en place, à leur frais, des services de garderie pour cette demi-journée… Mais pas toutes. Alors, les parents concernés par cette après-midi sans classe doivent faire appel au système 'débrouille' avec les grands-parents et amis, une nouvelle fois sollicités pour assurer la garde des bambins. Et pour ceux qui le peuvent la prise d'une RTT. Pourvu que le soleil soit de la partie ! http://www.lindependant.fr/2014/10/04/ecole-le-7-octobre-ca-coince,1937720.php
prof désécol Posté(e) 4 octobre 2014 Posté(e) 4 octobre 2014 Quelle blagueuse !!!! Tu veux dire "blagueur" ?
Goëllette Posté(e) 4 octobre 2014 Posté(e) 4 octobre 2014 Quelle blagueuse !!!! Tu veux dire "blagueur" ? Tu devrais être flatté d'avoir été pris pour une femme !
ColdTurkey Posté(e) 4 octobre 2014 Posté(e) 4 octobre 2014 J'ai pas envie d'y aller rien que de voir les doc ! En lisant bien (enfin un peu entre les lignes), on peut découvrir : L’exercice du métier d’inspecteur repose sur une éthique professionnelle. Il suppose une forte ambition pour chaque enseignant, une confiance dans ses capacités, une écoute et une prise en compte respectueuses de son point de vue et de celui de ses collègues. Par son expertise professionnelle, l’inspecteur reconnaît en chaque enseignant un professionnel et un interlocuteur à part entière, quel que soit son âge. Son attitude est décisive : elle est le vecteur des progrès des enseignants. La réussite des enseignants demande des compétences spécifiques et suppose une attitude réflexive de l’inspecteur vis‐à‐vis de ses propres pratiques. Il sait mettre en valeur les compétences des enseignants, leurs essais et leurs réussites. Il leur donne les moyens de les exprimer et de les développer par ses interventions et par la conception et l’organisation des activités de la circonscription. Il s’appuie sur l’observation des enseignants. Il interprète leur travail en termes de formations afin de les faire progresser. À l’école, les enseignants rencontrent des inspecteurs qui prennent appui sur ce qu’ils savent faire et ce qu’ils connaissent pour leur faire découvrir à la fois leur propre richesse et celles d’univers d'enseignement multiples et ouverts.
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