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Posté(e)

En fait non, cela ne donne pas de réponse.

Nos syndicats nous ont vendu un moment l'égalité entre professeurs. Je me rappelle de la suppression du mot "instituteur" au profit du superbe "professeur des écoles".

Egalité que nous avons payée au prix de la perte du logement de fonction, de la perte de concours départementaux, de la perte de la retraite à 55 ans, de la perte de notre statut d'instituteur apprécié et reconnu.

Alors nous ne devrions pas nous poser de questions. Pourquoi nous en posons-nous ?

Ce n'est pas de la faute de nos collègues professeurs, mais bien celle de ceux qui devaient défendre notre profession et qui ont vendu le peu que nous avions et continue à le faire.

Notons d'ailleurs que les mêmes, sous le mot progrès, sont en train de faire subir une traitement identique aux professeurs de collèges et de lycées.

Je souhaite bon courage à ces enseignants.

Posté(e)

En quoi un prof certifié a-t'il réussi un concours de plus haut niveau qu'un prof des écoles?

Le fait que vous posiez la question donne la réponse...

Un concours de plus haut niveau ???? Et pourquoi donc ? Que l'agreg soit un concours difficile, oui, mais je ne comprendrai jamais pourquoi ce titre (car c'est un titre à vie) donne des avantages à vie. Il y a déjà eu des posts à ce sujet, mais la France est malade de ses diplômes. On a toujours privilégié les diplômes à tout le reste, alors que l'agrégation n'est pas une garantie infaillible en termes de transmission des connaissances... Quant au CAPES, ou au CAPET/CAPLP, je ne vois vraiment pas en quoi ce sont des concours de plus haut niveau au regard du CAPE.....alors oui, un certifié de lettres a plus de connaissance en lettres qu'un PE, mais aussi qu'un certifié de maths ou d'anglais, c'est certain ! Mais un PE a plus de connaissances en maths qu'un certifié d'allemand ou un PLP de maintenance industrielle.

Les grilles indiciaires sont en principe les mêmes, les statuts similaires. Matériellement, rien ne justifie les écarts entre les profs du secondaire et ceux du primaire depuis 1989.

Posté(e)

... l'agrégation n'est pas une garantie infaillible en termes de transmission des connaissances.

La connaissance est la condition nécessaire mais pas suffisante de l'exercice du métier d'enseignant. Ce qui signifie qu'un enseignant doit être sélectionné d'abord sur ses connaissances, et ensuite sur sa capacité à les transmettre.

Qu'on soit obligé de rappeler une telle évidence, qui ferait se retourner dans sa tombe le père de Marcel Pagnol, illustre bien l'état de déliquescence de la pensée au sujet de l'école. Pour le moment, cet éloge de l'obscurantisme, réduisant le métier d'enseignant à de la didactique, reste confiné aux élites intellectuelles progressistes de l'éducation et à leurs émules, mais le peuple garde encore largement, et c'est tant mieux, tout son bon sens.

Posté(e)

Enseignement

Si vous voulez devenir prof, 5 années d’études vous attendent. Mais seules les 2 dernières années sont professionnalisantes : elles vous préparent au concours et au métier.

La première étape, pour devenir enseignant, est de décrocher une licence. Toutes les disciplines sont envisageables, le mieux étant de privilégier une matière enseignée dans le primaire ou le secondaire (histoire, langues, lettres, maths, etc.). La seconde étape : vous inscrire en master (le concours de recrutement a lieu au cours de vos années d'études en master, mais l'obtention du diplôme est indispensable pour exercer le métier). Vous avez la possibilité de continuer vos études dans la discipline étudiée en licence. Mais l'idéal est d'opter pour un master MEEF (métiers de l'enseignement, de l'éducation et de la formation).

Un concours en fin de M1

Les masters sont proposés au sein des ESPE (écoles supérieures du professorat et de l'éducation). Celles-ci remplacent, depuis la rentrée 2013, les IUFM (instituts uni­versitaires de formation des ­maîtres). La première année du master MEEF est axée sur la préparation du concours qui aura lieu à la fin de l'année universitaire. Les différents concours auxquels vous avez accès en fin de M1 permettent d'enseigner dans le premier degré (écoles maternelles et primaires) ou le secondaire (collèges et lycées), dans le public ou dans le privé.

Au programme de tous ces concours : 2 épreuves écrites d'admissibilité (une dissertation et une analyse de documents) et 2 épreuves orales (une mise en situation professionnelle et un entretien). Remaniées au printemps 2013, ces épreuves sont plus axées qu'auparavant sur les connaissances disciplinaires. Si tout se passe bien (vous êtes admis au concours et vous avez décroché votre M1), vous poursuivez vos études en seconde année de MEEF (si vous échouez au M1 mais pas au concours, vous gardez le bénéfice du concours une année).

En cas d'échec au concours, vous pouvez envisager une réorientation dans un autre master (au niveau M1 ou M2 selon que vous ayez réussi vos examens). Vous avez aussi la possibilité de repasser le concours.

La seconde année du master MEEF est considérée comme une année de formation en alternance. En parallèle de vos cours au sein de l'ESPE, vous travaillez comme enseignant dans un établissement scolaire l'équivalent d'un tiers-temps, tout en étant rémunéré l'équivalent d'un mi-temps. Il faudra, bien sûr, valider votre M2 pour être affecté à la rentrée suivante, à plein temps, devant des élèves.

Même niveau d’études, donc OUI, notre travail mérite les mêmes avantages financiers

( prime,…) !!!

Posté(e)

...alors oui, un certifié de lettres a plus de connaissance en lettres qu'un PE, mais aussi qu'un certifié de maths ou d'anglais, c'est certain ! Mais un PE a plus de connaissances en maths qu'un certifié d'allemand ou un PLP de maintenance industrielle.

Les grilles indiciaires sont en principe les mêmes, les statuts similaires. Matériellement, rien ne justifie les écarts entre les profs du secondaire et ceux du primaire depuis 1989.

Mais le métier d'un certifié d'allemand ou un PLP de maintenance industrielle n'est pas d'enseigner les maths ou l'anglais !

Vous voulez quoi ? qu'un professeur d'école touche le même salaire qu'un professeur d'université ? C'est l'inverse qui se passerait, et ce n'est pas en rabaissant la condition du professeur d'université à celle du professeur d'école que l'enseignement s'en trouverait amélioré. L'égalité salariale entre enseignants n'est qu'un miroir aux alouettes. Beaucoup ont déjà été attrapés en glissant du statut d'instituteur à celui de professeur d'école, où nous avons perdu nombre d'avantages. Mais c'est aussi l'essence même du métier d'enseignant qui serait par ce biais dénaturé, car la hiérarchie des connaissances, qui permet de récompenser le talent et le mérite dans l'ordre des savoirs, est essentielle au recrutement d'un corps d'enseignants de qualité.

Posté(e)

...alors oui, un certifié de lettres a plus de connaissance en lettres qu'un PE, mais aussi qu'un certifié de maths ou d'anglais, c'est certain ! Mais un PE a plus de connaissances en maths qu'un certifié d'allemand ou un PLP de maintenance industrielle.

Les grilles indiciaires sont en principe les mêmes, les statuts similaires. Matériellement, rien ne justifie les écarts entre les profs du secondaire et ceux du primaire depuis 1989.

Mais le métier d'un certifié d'allemand ou un PLP de maintenance industrielle n'est pas d'enseigner les maths ou l'anglais !

Vous voulez quoi ? qu'un professeur d'école touche le même salaire qu'un professeur d'université ? Ce n'est pas en rabaissant la condition du professeur d'université à celle du professeur d'école que l'enseignement s'en trouvera amélioré. L'égalité salariale entre enseignants n'est qu'un miroir aux alouettes. Beaucoup ont déjà été attrapés en glissant du statut d'instituteur à celui de professeur d'école, où nous avons perdu nombre d'avantages. Mais c'est aussi l'essence même du métier d'enseignant qui serait par ce biais dénaturé, car la hiérarchie des connaissances, qui permet de récompenser le talent et le mérite dans l'ordre des savoirs, est essentielle au recrutement d'un corps d'enseignants de qualité.

Et dans l'autre sens, le métier d'un professeur certifié d'allemand n'est pas d'apprendre aux élèves le français, les mathématiques, les sciences, l'histoire.....

Les professeurs des écoles ont des connaissances dans tous les domaines, certes moins étendues que les professeurs certifiés, mais ceux-ci ont surtout des connaissances dans un domaine.

J'aurais pu choisir de passer le concours pour devenir professeur de sciences, de mathématiques ou même professeur de biotechnologie, j'ai préféré choisir le professorat des écoles à cause de cet éclectisme. Le CRPE, le CAPES.... sont aussi difficiles. A tant rabaisser le professorat des écoles, on arrive à la situation d'aujourd'hui, un métier peu attractif, que plus personne ou presque ne veut faire.

Et pourquoi penses-tu que nous voulons rabaisser "la condition du professeur d'université" ? Le but serait plutôt de redonner au professeur des écoles la place qu'il mérite.

Il s'agit peut-être d'une comparaison simpliste, mais je préfère vivre dans une maison qui a de bonnes fondations que dans une maison dont les fondations sont fragiles, c'est pareil pour les élèves, avant de vouloir les pousser au collège et au lycée, donnons-leur des bases solides, et pour ça il faut donner les moyens à l'école primaire et donc des meilleurs salaires aux professeurs.

Posté(e)

...alors oui, un certifié de lettres a plus de connaissance en lettres qu'un PE, mais aussi qu'un certifié de maths ou d'anglais, c'est certain ! Mais un PE a plus de connaissances en maths qu'un certifié d'allemand ou un PLP de maintenance industrielle.

Les grilles indiciaires sont en principe les mêmes, les statuts similaires. Matériellement, rien ne justifie les écarts entre les profs du secondaire et ceux du primaire depuis 1989.

Mais le métier d'un certifié d'allemand ou un PLP de maintenance industrielle n'est pas d'enseigner les maths ou l'anglais !

Vous voulez quoi ? qu'un professeur d'école touche le même salaire qu'un professeur d'université ? Ce n'est pas en rabaissant la condition du professeur d'université à celle du professeur d'école que l'enseignement s'en trouvera amélioré. L'égalité salariale entre enseignants n'est qu'un miroir aux alouettes. Beaucoup ont déjà été attrapés en glissant du statut d'instituteur à celui de professeur d'école, où nous avons perdu nombre d'avantages. Mais c'est aussi l'essence même du métier d'enseignant qui serait par ce biais dénaturé, car la hiérarchie des connaissances, qui permet de récompenser le talent et le mérite dans l'ordre des savoirs, est essentielle au recrutement d'un corps d'enseignants de qualité.

Les professeurs des écoles ont des connaissances dans tous les domaines, certes moins étendues que les professeurs certifiés, mais ceux-ci ont surtout des connaissances dans un domaine.

Je ne suis pas d'accord.

Pour être prof des écoles, j'ai une licence de bio. Ma meilleure amie a aussi une licence de bio et elle est prof certifiée. Je n'ai pas l'impression d'être moins calée qu'elle.

Je trouve cette phrase très réductrice. A croire que les connaissances ne dépendent donc que d'un diplome...

Mais je suis d'accord sur les fondations. ;-)

Posté(e)

Et pourquoi penses-tu que nous voulons rabaisser "la condition du professeur d'université" ? Le but serait plutôt de redonner au professeur des écoles la place qu'il mérite.

L'abaissement de la condition des enseignants dans le premier degré (pouvoir d'achat, retraite, avantages, considération) est concomitante de l'égalisation des statuts par leur entrée dans la catégorie A des fonctionnaires, ainsi que de l'égalité requise de diplôme pour pouvoir enseigner. C'est au nom de l'égalité que nous avons perdu tout cela, et c'est aussi au nom de l'égalité que le niveau d'ensemble de nos élèves s'est effondré. C'est un nivellement social et intellectuel par le bas.

Ces deux aspects sont liés et à mettre en rapport avec le tournant idéologique pris par la civilisation capitaliste à la fin du XXe siècle. Et ça ne fait que commencer : demain, c'est au nom de l'égalité avec les autres travailleurs que l'enseignement passera au mains des potentats locaux, et que l'enseignant deviendra corvéable et jetable à merci. La prolétarisation du métier d'enseignant et la dévalorisation des savoirs à travers l'égalitarisme sont déjà bien avancées. Au nom de l'égalité, on monte les enseignants du premier degré contre ceux du second degré, on monte les travailleurs du privé contre les fonctionnaires, et les chômeurs contre les salariés. Ceux qui hurlent avec les loups aujourd'hui seront les proies de demain.

Je le répète, on doit récompenser le talent et le mérite dans la hiérarchie des savoirs. Et cela n'a évidemment rien à voir avec l'importance et la considération dues aux enseignants, quel que soit leur niveau d'enseignement.

Posté(e)

Et pourquoi penses-tu que nous voulons rabaisser "la condition du professeur d'université" ? Le but serait plutôt de redonner au professeur des écoles la place qu'il mérite.

L'abaissement de la condition des enseignants dans le premier degré (pouvoir d'achat, retraite, avantages, considération) est concomitante de l'égalisation des statuts par leur entrée dans la catégorie A des fonctionnaires, ainsi que de l'égalité requise de diplôme pour pouvoir enseigner. C'est au nom de l'égalité que nous avons perdu tout cela, et c'est aussi au nom de l'égalité que le niveau d'ensemble de nos élèves s'est effondré. C'est un nivellement social et intellectuel par le bas.

Ces deux aspects sont liés et à mettre en rapport avec le tournant idéologique pris par la civilisation capitaliste à la fin du XXe siècle. Et ça ne fait que commencer : demain, c'est au nom de l'égalité avec les autres travailleurs que l'enseignement passera au mains des potentats locaux, et que l'enseignant deviendra corvéable et jetable à merci. La prolétarisation du métier d'enseignant et la dévalorisation des savoirs à travers l'égalitarisme sont déjà bien avancées. Au nom de l'égalité, on monte les enseignants du premier degré contre ceux du premier degré, on monte les travailleurs du public contre les fonctionnaires, et les chômeurs contre les salariés. Ceux qui hurlent avec les loups aujourd'hui seront les proies de demain.

Je le répète, on doit récompenser le talent et le mérite dans la hiérarchie des savoirs. Et cela n'a évidemment rien à voir avec l'importance et la considération dues aux enseignants, quel que soit leur niveau d'enseignement.

Je ne comprends pas ce que tu entends par hiérarchie des savoirs

Posté(e)

...alors oui, un certifié de lettres a plus de connaissance en lettres qu'un PE, mais aussi qu'un certifié de maths ou d'anglais, c'est certain ! Mais un PE a plus de connaissances en maths qu'un certifié d'allemand ou un PLP de maintenance industrielle.

Les grilles indiciaires sont en principe les mêmes, les statuts similaires. Matériellement, rien ne justifie les écarts entre les profs du secondaire et ceux du primaire depuis 1989.

Mais le métier d'un certifié d'allemand ou un PLP de maintenance industrielle n'est pas d'enseigner les maths ou l'anglais !

Vous voulez quoi ? qu'un professeur d'école touche le même salaire qu'un professeur d'université ? Ce n'est pas en rabaissant la condition du professeur d'université à celle du professeur d'école que l'enseignement s'en trouvera amélioré. L'égalité salariale entre enseignants n'est qu'un miroir aux alouettes. Beaucoup ont déjà été attrapés en glissant du statut d'instituteur à celui de professeur d'école, où nous avons perdu nombre d'avantages. Mais c'est aussi l'essence même du métier d'enseignant qui serait par ce biais dénaturé, car la hiérarchie des connaissances, qui permet de récompenser le talent et le mérite dans l'ordre des savoirs, est essentielle au recrutement d'un corps d'enseignants de qualité.

Les professeurs des écoles ont des connaissances dans tous les domaines, certes moins étendues que les professeurs certifiés, mais ceux-ci ont surtout des connaissances dans un domaine.

Je ne suis pas d'accord.

Pour être prof des écoles, j'ai une licence de bio. Ma meilleure amie a aussi une licence de bio et elle est prof certifiée. Je n'ai pas l'impression d'être moins calée qu'elle.

Je trouve cette phrase très réductrice. A croire que les connaissances ne dépendent donc que d'un diplome...

Mais je suis d'accord sur les fondations. ;-)

Excuse-moi, je me suis mal exprimée, je voulais surtout dire qu'on demandait aux professeurs certifiés des connaissances étendues sur une matière, alors que pour nous, professeurs des écoles, on nous demande des connaissances sur toutes les matières.

Bien sûr, je suis d'accord avec toi, les connaissances ne dépendent pas d'un diplôme, on acquiert des nouvelles connaissances tout au long de notre vie et tant mieux.

Posté(e)

Je ne comprends pas ce que tu entends par hiérarchie des savoirs.

Bon, je m'y pencherai plus tard ! :)

Je dois aller manger, ensuite j'irai faire du vélo parce qu'il fait un soleil magnifique chez moi, après il y aura France-Irlande et ici, dans le Midi, le rugby c'est sacré ! et enfin je devrai me mettre à ma répétition quotidienne de clarinette !

Posté(e)

...alors oui, un certifié de lettres a plus de connaissance en lettres qu'un PE, mais aussi qu'un certifié de maths ou d'anglais, c'est certain ! Mais un PE a plus de connaissances en maths qu'un certifié d'allemand ou un PLP de maintenance industrielle.

Les grilles indiciaires sont en principe les mêmes, les statuts similaires. Matériellement, rien ne justifie les écarts entre les profs du secondaire et ceux du primaire depuis 1989.

Mais le métier d'un certifié d'allemand ou un PLP de maintenance industrielle n'est pas d'enseigner les maths ou l'anglais !

Vous voulez quoi ? qu'un professeur d'école touche le même salaire qu'un professeur d'université ? Ce n'est pas en rabaissant la condition du professeur d'université à celle du professeur d'école que l'enseignement s'en trouvera amélioré. L'égalité salariale entre enseignants n'est qu'un miroir aux alouettes. Beaucoup ont déjà été attrapés en glissant du statut d'instituteur à celui de professeur d'école, où nous avons perdu nombre d'avantages. Mais c'est aussi l'essence même du métier d'enseignant qui serait par ce biais dénaturé, car la hiérarchie des connaissances, qui permet de récompenser le talent et le mérite dans l'ordre des savoirs, est essentielle au recrutement d'un corps d'enseignants de qualité.

Les professeurs des écoles ont des connaissances dans tous les domaines, certes moins étendues que les professeurs certifiés, mais ceux-ci ont surtout des connaissances dans un domaine.

Je ne suis pas d'accord.

Pour être prof des écoles, j'ai une licence de bio. Ma meilleure amie a aussi une licence de bio et elle est prof certifiée. Je n'ai pas l'impression d'être moins calée qu'elle.

Je trouve cette phrase très réductrice. A croire que les connaissances ne dépendent donc que d'un diplome...

Mais je suis d'accord sur les fondations. ;-)

Excuse-moi, je me suis mal exprimée, je voulais surtout dire qu'on demandait aux professeurs certifiés des connaissances étendues sur une matière, alors que pour nous, professeurs des écoles, on nous demande des connaissances sur toutes les matières.

Bien sûr, je suis d'accord avec toi, les connaissances ne dépendent pas d'un diplôme, on acquiert des nouvelles connaissances tout au long de notre vie et tant mieux.

;)

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