nellou Posté(e) 7 septembre Posté(e) 7 septembre (modifié) Le 07/09/2024 à 10:32, chacha76 a dit : Dans ce livre, l'auteur fait allusion à d'autres livres de la série mais cela n'altère pas la compréhension et il n'est pas nécessaire de les avoir lus pour comprendre l'intrigue. Oui tu comprends l'intrigue quand même mais c'est dommage de se couper de tout un pan de la vie de Servaz ! C'est comme les Sharko, il y a l'intrigue et la vie des personnages récurrents. Il y a 4 Servaz je pense avant Sœurs, le premier est Glacé ! Modifié 8 septembre par nellou
chacha76 Posté(e) 7 septembre Posté(e) 7 septembre il y a 17 minutes, nellou a dit : Oui tu comprends l'intrigue quand même mais c'est dommage de se couper de tout un pan de la vie de Servaz ! C'est comme les Sharko, il y a l'intrigue et la vie des personnages récurrents. Il y a 4 Servaz je pense avant Sœurs. je l'ai pris au hasard dans la boîte à livres. je ne savais pas qu'il faisait parti d'une série, je l'ai compris en le lisant. cela m'a donné envie d'en savoir plus sur Servaz. J'irai à la bibliothèque voir ceux que je trouve.
joelafrite Posté(e) 11 septembre Posté(e) 11 septembre Je viens de lire Les eaux du Danube par Jean Mattern. Un très beau livre sur les secrets de famille, les non-dits, le rapport père - fils, la trahison. Un livre délicat et subtil, assez court (109 pages) mais intense. J'ai beaucoup aimé. Présentation de l'éditeur : Avant cette conversation avec le professeur de philosophie de son fils, les jours s'écoulaient selon un rythme immuable pour le narrateur de ce bref et saisissant roman d'un ébranlement : issu d'une bonne famille lyonnaise, marié depuis près de vingt ans à Madeleine avec qui il est venu s'installer à Sète, Clément Bontemps est un être d'habitude, bon mari et bon père, heureux d'ouvrir à horaires fixes son officine de pharmacien. Il a suffi que le professeur Almassy évoque le désarroi dans lequel le mutisme du père plonge le fils pour que la surface lisse de l'existence de Clément se craquèle. Seul dans la maison familiale en ce mois de juillet, celui qui ne s'est jamais posé de questions, bien trop soucieux de se prémunir contre toute émotion, va peu à peu se retrouver confronté à lui-même, aux silences et aux non-dits de sa propre histoire. Son mariage de convenance, la naissance de son fils avant terme, les origines hongroises de sa mère : autant de sujets qu'il lui faudra aborder, tant sa manière raisonnable de vivre jusque-là ne lui paraît plus suffisante. Georges Almassy, dont le nom dit les racines hongroises elles aussi, lui sera d'une aide providentielle pour assembler les pièces d'un puzzle familial qui, des bords de la Méditerranée, vont le conduire, de manière totalement inattendue, vers les eaux du Danube juste après la deuxième guerre mondiale... Jean Mattern nous rappelle avec brio que la littérature s'écrit sur les vérités enfouies. 1
Babar. Posté(e) 11 septembre Posté(e) 11 septembre il y a 6 minutes, joelafrite a dit : Je viens de lire Les eaux du Danube par Jean Mattern. Un très beau livre sur les secrets de famille, les non-dits, le rapport père - fils, la trahison. Un livre délicat et subtil, assez court (109 pages) mais intense. J'ai beaucoup aimé. Présentation de l'éditeur : Avant cette conversation avec le professeur de philosophie de son fils, les jours s'écoulaient selon un rythme immuable pour le narrateur de ce bref et saisissant roman d'un ébranlement : issu d'une bonne famille lyonnaise, marié depuis près de vingt ans à Madeleine avec qui il est venu s'installer à Sète, Clément Bontemps est un être d'habitude, bon mari et bon père, heureux d'ouvrir à horaires fixes son officine de pharmacien. Il a suffi que le professeur Almassy évoque le désarroi dans lequel le mutisme du père plonge le fils pour que la surface lisse de l'existence de Clément se craquèle. Seul dans la maison familiale en ce mois de juillet, celui qui ne s'est jamais posé de questions, bien trop soucieux de se prémunir contre toute émotion, va peu à peu se retrouver confronté à lui-même, aux silences et aux non-dits de sa propre histoire. Son mariage de convenance, la naissance de son fils avant terme, les origines hongroises de sa mère : autant de sujets qu'il lui faudra aborder, tant sa manière raisonnable de vivre jusque-là ne lui paraît plus suffisante. Georges Almassy, dont le nom dit les racines hongroises elles aussi, lui sera d'une aide providentielle pour assembler les pièces d'un puzzle familial qui, des bords de la Méditerranée, vont le conduire, de manière totalement inattendue, vers les eaux du Danube juste après la deuxième guerre mondiale... Jean Mattern nous rappelle avec brio que la littérature s'écrit sur les vérités enfouies. Ça donne envie ! Merci d'en avoir parlé. 1
Chakana Posté(e) 11 septembre Posté(e) 11 septembre Je suis en tain de lire "le dernier lapon" d'Olivier Truc. Un peu parce que ma fille est en Laponie en ce moment. Un peu parce que mon mari ne lit QUE des romans policiers, et que, bon, ben ... c'est peut être bien... Ben non. Ce n'est pas pour moi 🙄
Tide Posté(e) 11 septembre Posté(e) 11 septembre Le 04/09/2024 à 10:58, Mirobolande a dit : Tu me diras ce que tu en penses @Tide Des longueurs dans la première moitié du roman, mais j'en ai apprécié la lecture.
Tide Posté(e) 11 septembre Posté(e) 11 septembre J'ai lu les premières pages d'enfant de salaaud de Sorj Chalaandon. Trop lourd pour ce soir.
coccinutella Posté(e) 15 septembre Posté(e) 15 septembre Le 30/08/2024 à 07:24, mymily a dit : Jacaranda de G. Faye.... très beau Le 30/08/2024 à 21:09, nellou a dit : Je ne l'ai pas encore lu mais j'ai hâte ! Je viens de le finir ... C'est bouleversant... Comment on a pu laisser faire ça ... C'est dingue 1
Lolita Posté(e) 15 septembre Posté(e) 15 septembre Et j'ai cessé de t'appeler papa - Darian Caroline : j’ai ce livre depuis juillet 2022 et j’ai réalisé il y a peu qu’il s’agissait du livre écrit par la fille de Gisèle Pelicot, la victime du « procès de Mazan » qui se déroule en ce moment. Un témoignage lu très rapidement : il commence la veille de l’arrestation du père de famille et donne le point de vue des victimes, y compris les victimes « collatérales » dont on ne parle que rarement. Une phrase que j’ai trouvé si vraie : « Personne ne mesure le prix du banal tant qu'on ne l'a pas perdu. » Cinq cœurs en sursis – Laure Manel : je m’attendais à un roman léger, un peu « feel good » : pas du tout ! Il était décrit comme « original ». Ce n’est pas si original pour moi : juste que c’est un roman choral. Néanmoins, j’ai beaucoup aimé. J’ai apprécié le fait de ne pas en savoir trop avant de le lire. Le plaisir de la découverte ! Malgré ses près de 400 pages, il se lit vite. Les chapitres sont courts. Le genre de livre où tu as à la fois envie de connaitre la fin, et à la fois de rester avec les personnages.
severuspomfresh Posté(e) 15 septembre Posté(e) 15 septembre J’ai fini 3 voeux de Liane Moriarty. Il y a Lyn, la soeur raisonnable, qui bataille pour trouver un équilibre entre sa vie de mère, de couple et sa vie professionnelle. Cat, dont tout le monde envie le prétendu mariage parfait. Et Gemma, qui change de job et de fiancé comme de chemise. Elles sont soeurs, triplées, soudées. Ensemble, elles ont toujours réussi à surmonter les épreuves de la vie. Jusqu'à cette fête d'anniversaire qui lève le voile sur de dérangeantes vérités. Et menace de les plonger dans le chaos. Un peu déçue, il ne se passe pas grand chose en fait.
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