montagny Posté(e) 10 novembre 2016 Posté(e) 10 novembre 2016 il y a une heure, haku a dit : S'engage alors un travail de réflexion sur l'objectif du LSU : "Les bilans périodiques constituent, comme les bulletins ou les livrets actuels, une synthèse pour communiquer avec les familles. Il ne s’agit pas d’un outil de suivi pédagogique des élèves. D’autres éléments peuvent toujours être communiqués en parallèle aux familles : « relevés de notes », « bulletins de compétences », « cahiers d’évaluation »… (source: https://ecolededemain.wordpress.com/2016/11/04/lsu-lsun-foire-aux-questions/) La plupart des collègues s'imaginent un outil pour reporter en détail chacune de leurs évaluations... Il y a donc tout une prise de conscience à réaliser sur ce premier point. Depuis 1990 on parle d'enseigner par compétence. Lors des formations de formateurs on me demande d'impulser un changement de pratique dans ce sens (et je ne parle pas du socle commun qui complique encore la chose) or je ne connais personne qui enseigne vraiment par compétence et qui pourrait témoigner, me donner du contenu à présenter aux collègues... Dans le même sens, je répète à mes collègues que le LSUN est un outil de communication alors que jusqu'alors on communiquait aux parents notre outil professionnel de suivi des élèves ; il paraît impératif, avec cet outil, de déconnecter, dans la forme, l'outil de nos gestes professionnels (tableau de bord) de notre outil de communication, le LSUN. D'où l'intérêt des Sacoche Edumov et consorts, qui permettront de traduire nos suivis en outils de communication. Personnellement, le moyen qui m'a permis de travailler et d'enseigner par compétences est l'autoévaluation et l'explicitation métacognitive. Si l'on demande aux élèves quelles compétences on peut évaluer après une séquence ou une période alors on évalue ces compétences et uniquement celles-ci. Un autre intérêt est l'arrêt des évaluations périodiques car les évaluations reflétant le travail des élèves est fait régulièrement.
borneo Posté(e) 10 novembre 2016 Posté(e) 10 novembre 2016 Merci Il y a donc des conseillers pédagogiques mieux renseignés que d'autres. Personnellement, une seule croix en lecture ou en langage oral, ça ne me gêne pas du tout. Les catalogues de compétences, ça m'a toujours semblé artificiel, car ça ne reflète pas vraiment le niveau de l'élève.
Pimouss Posté(e) 10 novembre 2016 Posté(e) 10 novembre 2016 il y a une heure, haku a dit : Conseiller pédagogique, j'ai cette année la chance de passer une journée avec chaque équipe car chaque école a le droit à une journée de stage. Le carnet de suivi est au coeur des préoccupations des collègues de maternelle et le LSU pour les collègues d'élémentaire. Dans une semaine je dois présenter durant 90 minutes le LSU à tous les directeurs de la circonscription donc je suis en plein dedans. Déjà dès la mise en ligne des tutos fin aout et à l'ouverture du LSU le 12 septembre je me suis jeté dessus pour dompter la bête. Et elle est féroce ! Lors des stages, j'ai donc l'opportunité d'observer les réactions des équipes quand je leur présente le LSU. On passe souvent de l'enchantement (prise en main rapide, aide à la saisie) au désenchantement car arrive la croix unique pour 10 items de maths ou d'étude de la langue travaillés. Ce qui va inciter à faire des bilans périodiques à chaque période pour limiter le nombre d'items. S'engage alors un travail de réflexion sur l'objectif du LSU : "Les bilans périodiques constituent, comme les bulletins ou les livrets actuels, une synthèse pour communiquer avec les familles. Il ne s’agit pas d’un outil de suivi pédagogique des élèves. D’autres éléments peuvent toujours être communiqués en parallèle aux familles : « relevés de notes », « bulletins de compétences », « cahiers d’évaluation »… (source: https://ecolededemain.wordpress.com/2016/11/04/lsu-lsun-foire-aux-questions/) La plupart des collègues s'imaginent un outil pour reporter en détail chacune de leurs évaluations... Il y a donc tout une prise de conscience à réaliser sur ce premier point. Une fois ce cap passé arrive la saisie des éléments du programme. Les collègues ont tendance a utiliser l'aide à la saisie. Exemple : Ici que cochez-vous? Cycle 2 - Francais - Langage oral Écouter pour comprendre un message oral, un propos, un discours, un texte lu Parler en prenant en compte son auditoire Participer à des échanges dans des situations diversifiées Adopter une attitude critique par rapport au langage produit 95% des collègues sélectionnent les 4 items car ils sont travaillés régulièrement en classe. Idem pour la plupart des items en francais. Conséquence directe : les items seront toujours les mêmes à chaque période et d'une année sur l'autre. Si on suit ce principe on arrive à des livrets de 4 pages pour chaque période. Avec la première page entièrement consacrée au francais et avec seulement 4 croix (oral, lecture, écriture, étude de la langue). Cela provoque une perte d'intérêt importante : celle d'indiquer sur le LSU ce qui a été spécifiquement travaillé et évalué. Ainsi c'est la façon d'enseigner et d'évaluer qui est aussi remise en question. Pourquoi par exemple ne pas envisager sur la période 2 faire une séquence spécifique sur "Parler en prenant en compte son auditoire"? Il y a un contenu didactique important comme par exemple : » Prise en compte des récepteurs ou interlocuteurs » Mobilisation de techniques qui font qu’on est écouté (articulation, débit, volume de la voix, intonation, posture, regard, gestualité...) » Organisation du discours Ainsi dans le LSU on ne mettrait que "Parler en prenant en compte son auditoire" et la croix associé. On partirait alors de la compétence pour créer le contenu et non pas l'inverse. Depuis 1990 on parle d'enseigner par compétence. Lors des formations de formateurs on me demande d'impulser un changement de pratique dans ce sens (et je ne parle pas du socle commun qui complique encore la chose) or je ne connais personne qui enseigne vraiment par compétence et qui pourrait témoigner, me donner du contenu à présenter aux collègues... Je fais état ici de ma réflexion actuelle. Je trouve vraiment dommage que les équipes enseignantes doivent toutes à leur niveau deviner la logique de conception et d'utilisation du LSU. Pourquoi des indications n'ont pas été communiquées par les créateurs du LSU ou les académies pilotes de l'année dernière????? Plusieurs choses m'interpellent dans ce que tu as écrit: "95% des collègues sélectionnent les 4 items car ils sont travaillés régulièrement en classe. Idem pour la plupart des items en francais. Conséquence directe : les items seront toujours les mêmes à chaque période et d'une année sur l'autre. Si on suit ce principe on arrive à des livrets de 4 pages pour chaque période. Avec la première page entièrement consacrée au francais et avec seulement 4 croix (oral, lecture, écriture, étude de la langue). Cela provoque une perte d'intérêt importante : celle d'indiquer sur le LSU ce qui a été spécifiquement travaillé et évalué." 95% sélectionnent ces items car 95% des collègues n'évaluent pas à chaque période! Ces items sont forcément travaillés sur au moins 2 périodes minimum....Je trouve du coup "dangereux" cette idée que le lsu devrait être remplie toutes les 8 semaines. Sérieusement, tu es cpc aujourd'hui mais en tant que pe te rends-tu compte de la charge de travail que cela ajouterait? Dans quel but? A quoi sert-il sérieusement de tant évaluer? C'est à mon sens un réel paradoxe avec l'idée de "laisser" le temps aux élèves d'apprendre. Ce n'est pas en 7 ou 8 semaines qu'un élève apprendra à "Parler en prenant en compte son auditoire" ( maîtrise du vouvoiement, lexique spécifique à acquérir, syntaxe, gn à enrichir). Ce travail se fait sur le long terme. Quant aux items qui restent les mêmes: pour moi c'est essentiel Comment constater les progrès des élèves si à chaque fois on change de compétences? En plus cela voudrait dire que si X "rate" ou n'est pas prêt à un instant T et bien tant pis? Comment des parents non éclairés pourraient parvenir à savoir où en est leur enfant? Les progrès ne peuvent être constatés que sur le long terme sur de nombreuses compétences ( surtout à l'oral). On peut faire 35 séances didactiques sur l'oral, la maturité de l'élève entre également énormément en jeu. L'oral s'enrichit de situations "réelles" travaillées à chaque instant qui sont bien plus enrichissantes. Pour faire une analogie: pour apprendre une langue vivante vous pourrez avoir 100 séances didactiques (avec belle fiche de prép), rien ne vaudra une immersion dans un pays anglo-phone. Le lsu, je trouve qu'en tant que "bulletin" à rendre aux parents et à transmettre aux collègues est un très bon outil. Si sa vocation est de devenir un outil contraignant à remplir toutes les 8 semaines pour qu'au final personne n'y comprenne rien, très peu pour moi. Pour le suivi réel des élèves, concrètement un cahier du jour ou autres suivis continus sont amplement suffisants.
haku Posté(e) 11 novembre 2016 Posté(e) 11 novembre 2016 Il y a 4 heures, pimouss690 a dit : 95% sélectionnent ces items car 95% des collègues n'évaluent pas à chaque période! Ces items sont forcément travaillés sur au moins 2 périodes minimum....Je trouve du coup "dangereux" cette idée que le lsu devrait être remplie toutes les 8 semaines. Sérieusement, tu es cpc aujourd'hui mais en tant que pe te rends-tu compte de la charge de travail que cela ajouterait? Dans quel but? A quoi sert-il sérieusement de tant évaluer? C'est à mon sens un réel paradoxe avec l'idée de "laisser" le temps aux élèves d'apprendre. Ce n'est pas en 7 ou 8 semaines qu'un élève apprendra à "Parler en prenant en compte son auditoire" ( maîtrise du vouvoiement, lexique spécifique à acquérir, syntaxe, gn à enrichir). Ce travail se fait sur le long terme. Quant aux items qui restent les mêmes: pour moi c'est essentiel Comment constater les progrès des élèves si à chaque fois on change de compétences? En plus cela voudrait dire que si X "rate" ou n'est pas prêt à un instant T et bien tant pis? Comment des parents non éclairés pourraient parvenir à savoir où en est leur enfant Je n'ai pas écrit 95% en pensant que c'était illogique ou anormal. Je ne juge pas mes collègues. J'essaye juste de les aider en tentant de comprendre avec eux la logique de ce nouvel outil à notre disposition. Quand nous voyons qu'au final le LSU trimestre 1 sera à quelques exceptions près le même que T2 et T3, avec les collègues on s'interroge sur notre façon de le remplir, de le penser... d'autant que la mise en page crée par cette superposition de compétences est loin d'être idéale pour communiquer avec les parents. J'essayerai de mettre une capture d'écran prochainement. La première page avec : que du français, avec une colonne de compétences dense puis un grand vide pour la case commentaire et 4 petites croix dans de hautes cases agrandies à cause des listes de compétences à rallonge... ce n'est pas harmonieux... ce n'est pas parlant pour les parents, c'est décevant. Et quand je vois cette déception dans le regard des collègues mon rôle est de réfléchir à pourquoi on en arrive là et quelles conclusions en tirer. Même CPC je reste un PE et je compte bien retrouver une classe prochainement. J'ai juste du temps pour créer des outils que je partage, des synthèses que je rédige, je le fais pour faire gagner du temps à mes collègues, pour clarifier les choses afin de leur faire gagner du temps et rendre plus efficace leurs actions en classe. Donc là j'essaye de comprendre avec eux la logique du LSU pour faire gagner du temps aux autres collègues de la circo. Je ne suis pas contre le LSU, j'essaye de trouver une manière de le remplir, de l'utiliser pour que cela soit efficace, non chronophage, parlant pour les collègues, les élèves, les parents. Bref que tout le monde s'y retrouve. Or le mode d'emploi n'est pas fourni. Comme je l'ai dit dans mon message précédent, on doit deviner nous-mêmes en tâtonnant. Je te rejoins sur toutes tes remarques. Même si je trouve que l'oral est souvent le parent pauvre car soit disant il est travaillé en faisant autre chose... "Mobiliser des techniques qui font qu’on est écouté" certes c'est une question de maturité, une question de situations réelles vécues. Toutefois construire avec les élève ces techniques et les rendre explicites via des situations d'apprentissages spécifiques me semble être un axe de travail important pour éviter de les placer en situation de stress ou de baisse de l'estime de soi. Mettre un élève en situation réelle est lui dire "parle plus fort ou clairement si tu veux que tous tes camarades t'entendent" peut avoir un effet négatif. Et ce n'est pas parce qu'il revit cette situation chaque semaine avec toujours la même remarque qu'il va prendre confiance, comprendre le sens de cette nécessité de parler plus fort ou prendre conscience que sa manière de s'exprimer ne permet pas d'être entendu... L'oral mériterait d'avoir sa place dans les emplois du temps autrement que par des temps de récitation, d'exposés, de débats, d'échanges. Les programmes parlent bien de "Jeux sur le volume de la voix, la tonalité, le débit, notamment pour préparer la mise en voix de textes (expression des émotions en particulier)", d'enregistrement et d'écoute ou visionnement de sa propre prestation ou d’autres prestations... Bref des situations qui préparent à celles plus réelles que que tu évoques et qui pour le coup deviendraient enrichissantes pour tous, car elles permettraient de réinvestir les techniques, de se mettre en confiance. => Comme précisé dans mon message précédent c'est ma réflexion actuelle, je n'ai pas de point de vue arrêté sur ce sujet. Je m'interroge car je ne connais pas la vérité. Or le LSU par sa logique de remplissage et même par le choix des éléments présents dans l'aide à la saisie semble vouloir définir une vérité, et vouloir nous engager dans une logique plus globale... celle de la refondation de l'école, de notre façon d'enseigner et d'évaluer. Oui selon moi cela incite à revoir sa manière d'évaluer. Comme avec le carnet de suivi des apprentissages en maternelle, la clé est peut être d'évaluer d'avantage quotidiennement. Évaluer non pas les apprentissages mais POUR les apprentissages. Évaluer serait mettre en valeur les apprentissages des élèves et ainsi leur montrer la prochaine étape. L'auto évaluation semble indispensable à mettre en place. Je ne conseille pas de faire un LSU par période. C'est juste que certains collègues se disent qu'ils vont faire ainsi pour limiter le nombre d'items par domaine, et ainsi être plus précis au niveau de l'objectif d'apprentissage atteint par rapport à ces items.
haku Posté(e) 11 novembre 2016 Posté(e) 11 novembre 2016 Il y a 12 heures, montagny a dit : Dans le même sens, je répète à mes collègues que le LSUN est un outil de communication alors que jusqu'alors on communiquait aux parents notre outil professionnel de suivi des élèves ; il paraît impératif, avec cet outil, de déconnecter, dans la forme, l'outil de nos gestes professionnels (tableau de bord) de notre outil de communication, le LSUN. D'où l'intérêt des Sacoche Edumov et consorts, qui permettront de traduire nos suivis en outils de communication. Personnellement, le moyen qui m'a permis de travailler et d'enseigner par compétences est l'autoévaluation et l'explicitation métacognitive. Si l'on demande aux élèves quelles compétences on peut évaluer après une séquence ou une période alors on évalue ces compétences et uniquement celles-ci. Un autre intérêt est l'arrêt des évaluations périodiques car les évaluations reflétant le travail des élèves est fait régulièrement. Merci pour ce message fort enrichissant @montagny.
Maethina Posté(e) 11 novembre 2016 Posté(e) 11 novembre 2016 Il y a 12 heures, borneo a dit : Ils vont faire deux livrets, et ceux qui ne feront que le LSUN vont passer pour des glandus. Bravo les collègues ! +1 ! Tu l'as dit Bornéo ! La glandue de service ça va être moi .... ça me fatigue ....
Maethina Posté(e) 11 novembre 2016 Posté(e) 11 novembre 2016 @haku Je te remercie de ton éclairage très intéressant. Effectivement je te rejoins sur la réelle nécessité d'associer davantage les élèves à leur évaluation (critères, marges de progrès etc...), également sur le fait qu'il faudrait qu'on évalue davantage au fil de l'eau (comme en maternelle). Ça nécessite de mettre peut-être en place des grilles d'observables... En tout cas, j'aurais aimé avoir une CPC comme toi, qui prend le temps de réfléchir à la question, qui est dans la critique constructive. C'est loin d'être le cas ici ....
Pimouss Posté(e) 11 novembre 2016 Posté(e) 11 novembre 2016 Bonjour haku , merci pour ta réponse. Donc au final nous nous rejoignons. Le lsu n est pas un produit "suffisant" et "pertinent" pour le suivi des eleves d un point de vue pédagogique. Je reste persuadée également que les évaluations périodiques sont à proscrire. Moi même plus haut dans ce post, j expliquais que le lsu ne me servirait que de support "d appreciation" formel et qu un outil de suivi POUR les élèves restait à mon sens indispensable ( l enfant doit savoir ce qu il apprend et où il en est dans ses apprentissages). Mais je reste qd même sur ma position sur le lsu quant à la nécessité de cette simplification : pour ne rien vous cacher, l année dernière j ai expérimenté un bulletin ultra simplifié : je n ai fait qu un commentaire pour le français maths et le domaine général. J insistais sur les progrès et les difficultés persistantes. J ai demandé aux parents leurs avis et les invitaient à prendre un rdv si nécessaire. 100% des parents ont estimés le bulletin suffisant et clair. Simplement car grâce l outil de suivi des élèves au fil de l eau et bien ils savaient très bien où en était leur enfant. Cette simplification a plutôt gêné. ...mes collègues qui ont l habitude de tout détailler.. Le lsu est donc à mon sens un "bulletin formel" qui doit être couplé à un outil pédagogique pour les élèves et non à un deuxième livret pour détailler et commenter à nouveau... 1
borneo Posté(e) 11 novembre 2016 Posté(e) 11 novembre 2016 Ce que vous appelez "évaluations périodiques" c'est les évaluations sur feuilles qu'on fait à chaque fin de trimestre ? Merci de me donner un argument pour abandonner ce fonctionnement que je n'ai jamais aimé.
Pimouss Posté(e) 11 novembre 2016 Posté(e) 11 novembre 2016 il y a 6 minutes, borneo a dit : Ce que vous appelez "évaluations périodiques" c'est les évaluations sur feuilles qu'on fait à chaque fin de trimestre ? Merci de me donner un argument pour abandonner ce fonctionnement que je n'ai jamais aimé. Oui c est ça. En plus d être chronophage pour les élèves et les enseignants, ce système sanctionne l acquisition ou non d une compétence à un instant T et les variables de réussite sont trop nombreuses (consigne, état de l éleve, moment de la journée ). Nous avons tous eu des élèves dont on savait que c était acquis et qui ratait l évaluation de fin de période poyr une raison X ou Y. ..
borneo Posté(e) 11 novembre 2016 Posté(e) 11 novembre 2016 il y a 40 minutes, pimouss690 a dit : Oui c est ça. En plus d être chronophage pour les élèves et les enseignants, ce système sanctionne l acquisition ou non d une compétence à un instant T et les variables de réussite sont trop nombreuses (consigne, état de l éleve, moment de la journée ). Nous avons tous eu des élèves dont on savait que c était acquis et qui ratait l évaluation de fin de période poyr une raison X ou Y. .. Sans parler des élèves qui trouvent les réponses chez leur voisins de table.
haku Posté(e) 11 novembre 2016 Posté(e) 11 novembre 2016 Voici une capture d'un LSU rempli au minimum (peu d'items par domaine). Ce n'est pas moi qui l'ai fait je l'ai obtenu via un parcours m@gistère sur le sujet. On voit qu'il n'y a que 4 compétences renseignées en Français or nous aurions tendance a en mettre 4 fois plus. Exemple à suivre dans mon prochain message.
Messages recommandés
Créer un compte ou se connecter pour commenter
Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire
Créer un compte
Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !
Créer un nouveau compteSe connecter
Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.
Connectez-vous maintenant