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Direction d'école


poujohel

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Il y a 12 heures, André Jorge a dit :

Je n'évalue pas la pédagogie des enseignants, j'évalue le respect de leurs obligations de service et leur investissement dans les actions éducatives en faveur des élèves.

Les actions éducatives, ce n'est pas la pédagogie ? Tu rames.

Un projet d'école est établi pour répondre aux difficultés de l'école et des élèves. Il n'empêche en rien la liberté pédagogique et de plus il est construit en équipe, avec la participation de tous les enseignants. 

Si un enseignant ne souhaite pas s'inscrire dans ce projet, je ne vois pas bien comment tu vas l'y forcer... A moins de remettre en cause la liberté pédagogique. Et je connais des directeurs qui s'assoient sur le projet d'école dès lors que ce ne sont pas eux qui l' ont rédigé. 

N'importe quoi... Je n'ai nullement évoqué cette idée saugrenue de loyauté envers le directeur. Encore une fois, tu salis les gens à défaut d'avoir des arguments.

" passe-t-il de classe en classe pour inciter les collègues à s'opposer au directeur (par exemple pour ne pas faire la surveillance, pour qu'un maximum d'enseignants refusent de faire une kermesse, faire pression sur le directeur pour qu'il lui offre un triple niveau avec uniquement des "têtes blondes")." Nooonnnn... 

Il est payé pour ça, pour s'occuper des élèves en difficulté. Et oui, c'est essentiel de faire progresser les élèves.

Il est payé pour faire progresser les élèves, oui. Est-ce qu'on peut faire progresser les élèves sans APC ? Oui.

Comment peut-on laisser des élèves sans surveillance en classe... pour aller faire des photocopies et bavarder ?... Et surtout comment peut-on le cautionner ?...

Sans problème. Je connais des directeurs qui le font sans souci. Et quand j'étais gosse, mon instit était aussi secrétaire de mairie. Il nous laissait régulièrement seuls dans la classe. Etait-il un mauvais enseignant ? Certes non. Et ils étaient nombreux dans son cas !

Je fais mon travail de directeur, responsable du bon fonctionnement de l'école et de la sécurité des élèves. Aucun espionnage dans tout cela.

Non, ta litanie de prérogatives te contredit.

Personne ne doit. Mais c'est mon travail aussi d'encourager le partage et une bonne ambiance (de travail mais pas seulement) dans l'école : une bonne entente, des échanges, des partages dans une équipe, favorisent le bien-être, facilitent le travail de tous et font avancer les élèves.

Non. Ce n'est pas ton travail d'encourager la bonne ambiance. Si tu veux une bonne ambiance, paie un apéro. Mais sans alcool bien sûr, parce que sur le temps du midi, ça la fout mal avant de retrouver les élèves ! Je connais plein d'écoles avec des ambiances de merde. Parfois, c'est la faute du directeur. Parfois, c'est la faute des adjoints. On ne peut pas obliger les enseignants d'une école à bien s'entendre. Quant à favoriser le travail en équipe, les adjoints n'ont pas besoin d'un chef pour le faire.

Oui, ça peut se juger objectivement dans certains cas, par exemple : un enseignant qui est agressif ou insolent avec les parents et multiplie les conflit avec eux ne contribue pas au bon fonctionnement de l'école ni à la réussite des élèves. 

Un enseignant qui ne dit pas oui à toutes les exigences des parents apparaîtra facilement insolent ou vindicatif. Cela signifie-t-il qu'il est en tort ?

Il n'est pas question de parents qui aiment le prof ou pas, ni de clients, mais de parents qui se plaignent de l'absence de travail de la part d'un enseignant fainéant... et des enseignants fainéants, il y en a, malheureusement.

Et ils sont qui pour juger le travail d'un enseignant ? Des experts en pédagogie ? C'est quoi la prochaine étape ? Un questionnaire de satisfaction ? Oui, il y a des enseignants fainéants. Et parmi, il y a aussi des directeurs.

Je suis parent d'élève, je vois qu'il n'y a pas de travail, je m'inquiète à juste titre pour l'avenir de mon enfant et pour sa scolarité. Donc je vais voir l'enseignant et si rien ne change je vais voir le directeur. Rien d'anormal dans tout cela.

Déjà, si tu vas voir le directeur, c'est que tu ne connais pas la chaîne hiérarchique et c'est inquiétant pour un directeur d'école. Ensuite, je t'imagine bien aller toujours dans le sens des parents. Et ça aussi, ça fait peur.

Et bien si, c'est à moi de juger dans ce cas-là et on en tiendra compte dans l'évaluation. Pourquoi ne devrait-on pas ?

Non, ce n'est pas à toi de juger.

Rien à voir avec la folie des grandeurs : juste la recherche de ce qu'il y a de mieux pour l'école et les élèves... Et il est normal que j'aie contre moi les paresseux, les menteurs et les malhonnêtes.

Les paresseux ? Qu'est-ce qui te permet de dire ça de moi. D'autant que ceux qui me connaissent en tant qu'enseignant risquent de ne pas y souscrire. Les menteurs ? A quel moment est-ce que je mens ? S'opposer à ta vision archaïque du fonctionnement des écoles, c'est être un menteur. Les malhonnêtes ? La malhonnêteté consiste à faire croire qu'un directeur évaluateur permettra aux élèves de progresser. Ca c'est malhonnête, d'autant qu'il s'agit surtout pour les défenseurs de cette proposition de s'octroyer plus de pouvoir.

Si tu le dis... tu es responsable de tes propos. :)

 

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Je ne suis pas directrice mais je comprends @André Jorge sur pleins de points entre autres :

- les services non fait ou mal fait sont souvent suppléer par les autres enseignants. Et quand il n'y a qu'une petite minorité d'enseignants (vécu) qui sont à l'heure, surveillent de façon effective (sans téléphone à la main ou à l'oreille), attendent que les personnes de service soit dans la cour pour se libérer et que ça dure..., se retrouvent à 2/3 pour surveiller 400 gamins et ce de façon récurrente, on aimerait bien que le directeur puisse faire autre chose que râler. 

- quand on voit un enseignant dysfonctionnel, le directeur ne peut rien faire à part appeler l'IEN. De même s'il voit un enseignant en souffrance. 

- quand on a fait sa vie et qu'on a des obligations personnelles difficile voire impossible de passer le PERDIR. Des proviseurs et principaux m'ont dit de le passer, que j'avais le profil (je coordonne un projet inter degré du CP à la terminale). Ils me connaissent bien. Sauf que j'ai deux enfants que je ne peux séparer de leur père et quand ils ne seront plus à ma charge... ben j'aurai mon père à charge  je ne peux donc changer de région. Sans  ça je le ferai.

Les collègues PLC râlent sur leur principal ou son adjoint comme nous pestons sur notre directeur. Il existe évidemment des PERDIR petits chefs, comme il existe des directeurs cheffaillons et inversement il existe des PERDIR bienveillants comme des directeurs bienveillants.

Enfin nous avons un supérieur (l'IEN) alors évidemment quand il est loin physiquement on l'oublie au quotidien mais quand il est juste à côté de l'école, c'est autre chose. Sauf qu'il ne nous connaît pas contraire au directeur qui nous voit tous les jours et les choses sont biaisées. 

J'ai bossé dans le privé j'ai eu un n+1, un n+2... ça ne m'a jamais posé de problème. Alors un directeur manager pourquoi pas, à condition qu'il soit formé  et non choisi arbitrairement et de façon obscure comme c'est le cas actuellement pour les décharges totales.

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il y a 20 minutes, ronin a dit :

Goelette en profite pour se plaindre du rased.

Non, Goëllette te répond sur le jugement du directeur sue ses adjoints que tu n'as pas ... alors que toi, tu es maître spé et que tu as plein de diplômes qui te le permettraient de nous juger, au contraire des directeurs, car c'est ça ton propos.

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il y a 6 minutes, Goëllette a dit :

Non, Goëllette te répond sur le jugement du directeur sue ses adjoints que tu n'as pas ... alors que toi, tu es maître spé et que tu as plein de diplômes qui te le permettraient de nous juger, au contraire des directeurs, car c'est ça ton propos.

Il y en a des maîtres du RASED qui se permettent de juger (en bien ou en mal) notre travail sans même avoir mis les pieds dans nos classes...

Plus ça va et plus j'ai l'impression de compétitions et de jugement entre enseignants qui n'ont pas lieu d'être.

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il y a 16 minutes, maryl a dit :

...

- les services non fait ou mal fait sont souvent suppléer par les autres enseignants. Et quand il n'y a qu'une petite minorité d'enseignants (vécu) qui sont à l'heure, surveillent de façon effective (sans téléphone à la main ou à l'oreille), attendent que les personnes de service soit dans la cour pour se libérer et que ça dure..., se retrouvent à 2/3 pour surveiller 400 gamins et ce de façon récurrente, on aimerait bien que le directeur puisse faire autre chose que râler. 

- quand on voit un enseignant dysfonctionnel, le directeur ne peut rien faire à part appeler l'IEN. De même s'il voit un enseignant en souffrance. 

....

Que pourra faire de plus la directrice-superieure-hierarchique??? Donner un "à consolider"??? LOL

Très franchement, je doute que l'institution donne au directeurs.trices autre chose qu'un os à ronger histoire de leur faire croire qu'ils sont du "côté des chefs". Pas d'augmentation véritable de salaire, pas de protection juridique spécifique... Iels ne seront que des "IEN lowcost", nommés pour vérifier que tout le monde rentre bien dans les cases. Ils auront la pression...de l'IEN, ne pourront plus "faire corps" avec l'équipe en cas de conflit avec les attendus administratifs...

 

De la souffrance au travail, je crois que ça ne fera que s'accroitre pour eux.elles: cornaqué par/pour l'IEN, méfiance/défiance de l'équipe...seul.e, définitivement et administrativement seul.e.

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il y a 4 minutes, maryl a dit :

Il y en a des maîtres du RASED qui se permettent de juger (en bien ou en mal) notre travail sans même avoir mis les pieds dans nos classes...

On est d'accord !

Moi, j'ai la "chance" d'avoir de la bouteille, donc ils osent moins me faire gober que 1/2 d'observation d'élèves jouant dans des cartons leur permet d'en savoir plus sur eux que 24h hebdomadaires ET d'influer sur l'affectation des élèves dans les classes de l'an prochain !

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il y a 35 minutes, Goëllette a dit :

Non, Goëllette te répond sur le jugement du directeur sue ses adjoints que tu n'as pas ... alors que toi, tu es maître spé et que tu as plein de diplômes qui te le permettraient de nous juger, au contraire des directeurs, car c'est ça ton propos.

Et je t'explique que justement plein de maîtres spé sont à temps plein en classe, en segpa, en ulis, en ime, en hôpital et ne juge personne. Et n'auraient jamais l'idée de le faire. O ngalère déjà assez avec nos élèves pour avoir envie d'emmerder les autres. Mais justement, nous sommes enseignants, pas chef.

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Il y a 18 heures, André Jorge a dit :

Les concours ne me font pas peur. Je pourrais le passer et je l'ai envisagé, mais je me sens avant tout enseignant du primaire... et puis, tout simplement, la fonction de PERDIR ne m'intéresse absolument pas.

Cela impliquerait aussi pour moi :

- une perte de salaire.

- de quitter la Réunion pour au minimum deux ans, sans garantie de pouvoir revenir au soleil...

Enfin, j'ai des attaches et des responsabilités qui m'obligent à rester à la Réunion.

Diviser les gens encore une fois les monter les uns contre les autres... Au vu des propos tenus ici ça promet ! 

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Il y a 18 heures, André Jorge a dit :

Où vois-tu que j'ai affirmé être mieux, meilleur qu'autrui ? La question qui se pose plutôt est : pourquoi interprètes/vois-tu les choses sous cet angle ?

Au passage, je précise que je suis dans une école où il y a de très bonnes enseignantes, des personnes pour la plupart expérimentées, volontaires, travailleuses, sérieuses. Alors pour me sentir supérieur à elles ça va être difficile... :)

Un directeur peut évaluer un enseignant, par exemple, sur les points suivants donnés en vrac :

- arrive-t-il régulièrement en retard ou pas ?

- participe-t-il aux échanges pendant les réunions ?

- participe-t-il aux projets de l'école ? Ou alors s'y oppose-t-il ?

- passe-t-il de classe en classe pour inciter les collègues à s'opposer au directeur (par exemple pour ne pas faire la surveillance, pour qu'un maximum d'enseignants refusent de faire une kermesse, faire pression sur le directeur pour qu'il lui offre un triple niveau avec uniquement des "têtes blondes").

- utilise-t-il le temps de l'APC pour faire ses préparations, au lieu de s'occuper des élèves dont il a la charge ?

- est-il individualiste ou accepte-t-il de partager ses compétences et ses projets avec d'autres collègues (du même niveau de classe par exemple) ?

- accepte-t-il de s'occuper des élèves en difficulté ?

- quelles relations entretient-il avec les parents ?

- quelles relations entretient-il avec les autres enseignants ?

- quelles relations entretient-il avec le personnel communal ?

- quelles relations entretient-il avec les enfants ? Se sentent-ils/cela se passe-t-il bien dans sa classe ?

- fait-il les surveillances ? Arrive-t-il en retard pour les surveillances ?

- fait-il avancer les projets ou fait-il son possible pour les faire capoter ?

- abandonne-t-il les élèves en classe, pendant le temps scolaire, pour aller faire ses photocopies et en profiter pour discuter avec la secrétaire de l'école ?

- les parents sont-ils satisfaits du travail de l'enseignant ou y a-t-il un défilé de parents mécontents dans le bureau ?

- utilise-t-il l'argent de la coopérative à des fins personnelles ?

- démarche-t-il les parents PDG, médecins, notaires,... pour que ces derniers demandent à ce que leur enfant soit dans sa classe (en leur disant que leur enfant est peut-être EIP et en leur promettant par exemple un saut de classe).

Etc.

Pour ma part, cette "évaluation" se fait déjà : en ce qui me concerne, en cas de problèmes, je fais remonter à l'inspection.

J'ai déjà été dans des écoles où cela dysfonctionnait. Je me souviens notamment d'un remplacement dans une école pour laquelle chaque matin les parents exigeaient de voir le directeur à cause de problèmes avec une enseignante. Enseignante défaillante avec des problèmes psy et de graves problèmes dans la classe. Le directeur a fait remonter et l'inspecteur est venu voir l'enseignante. L'inspecteur a demandé à une conseillère d'intervenir dans la classe pour aider l'enseignante mais au final l'année a été compliquée et l'inspecteur a demandé à cette enseignante de changer de circo. Le problème a été déplacé et par le pur hasard je me suis retrouvée à enseigner dans la maternelle qui se situe à côté de l'élémentaire où est allée cette enseignante. Et la directrice de l'élémentaire subit la même chose : pression des parents...

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Pour en revenir au sujet "directeur supérieur hiérarchique"? Je suis mitigée.

Pour avoir fait mon année de PES dans une école où j'ai été mal accueillie par la directrice au prétexte que je prenais la place d'une collègue partie en arrêt maladie long. Cette directrice m'en a fait voir de toutes les couleurs, se plaignait de moi, a même essayé de récupérer le poste à la fin de mon année de PES pour qu'il ne soit plus berceau pour une autre de ses amies qui avait suffisamment de points pour l'avoir. Le poste a été bloqué 2 ans de plus. Toute nouvelle personne (PES les années suivantes) dans cette école a été mal accueillie à cause de cette directrice. 

Il y a de bons directeurs comme des mauvais. Et donner du pouvoir à des mauvais directeurs...no comment

Pour moi il faudrait, si le directeur devient supérieur hiérarchique, qu'il change d'école tous les 3 ans et qu'il y a d'un autre côté un contrebalancement aux paroles du directeur. Si un directeur se plaint d'un enseignant, que sa parole ne soit pas prise comme parole d'évangile mais qu'il y ait des vérifications.

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J'ai longtemps travaillé avec des adjoints furieusement opposés au statut hiérarchique du directeur d'école qui face à toute demande ou remarque répondaient "t'es pas mon chef". Ces collègues affichaient généralement un comportement assez provocateur, du genre ado rebelle, quoi. En vrac et selon le cas, arriver en retard, descendre en dernier en cas de service de surveillance, rendre en dernier les cahiers d'appel quand ils étaient demandés, comme les comptes de coop de classe et autres commandes de fin d'année. Certains s'opposaient systématiquement au choix pourtant collectif d'un spectacle, d'une date de réunion ou de fête d'école et remettaient toujours en cause chaque proposition sans jamais en émettre d'autres. Alors oui, pour ce genre d'enseignant adeptes du "non sec", c'est à dire on conteste tout sans jamais rien proposer, la présence sur place d'une autorité me parait nécessaire, non pour imposer et fliquer, juste pour instaurer le cadre et pouvoir gérer une vraie dynamique constructive.

Mais j'ai aussi été adjoint et comprenais la nécessité de se plier à certaines règles de vie courante et de sérieux dans le respect des rôles de chacun. Parmi tous les collègues que j'ai pu côtoyer en 40 ans de service, tous ceux qui avaient à cœur le bon fonctionnement des équipes et de l'institution au niveau de l'école n'en avaient rien à faire d'un éventuel statut hiérarchique du dirlo car ils le respectaient déjà dans son rôle, ses responsabilités et ses attributions et n'en voyaient donc pas la nécessité. En revanche -ou par ailleurs- ils auraient bien aimé que quelqu'un soit là pour remettre dans les rails les perturbateurs de toute sorte qui cassaient l'ambiance, voire adoptaient une attitude dangereuse (défauts de surveillance par exemple "je suis prof, pas surveillant de cour", refus de soigner un gamin au prétexte que "je suis prof, pas infirmier", etc..) .

Si chacun assumait ses responsabilités en tout temps et tout domaine, il n'y aurait effectivement pas besoin de hiérarchie. Ensuite bon, à chacun de se positionner par rapport à ça.

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un petit rappel pour la période à venir durant laquelle les directeurs.trices sont mis.es sous pression (sans moussu celle-là malheureusement...)

https://www.charivarialecole.fr/archives/15?fbclid=IwAR2K_N8T2vjhJumigsxUDbsphuGZ5BhAsPdxORbfoZrTHRTQdiqP4lNicts

PS : les directeurs.trices ont bien des attributions et des missions qui sont autres que celles d'un PE et qui constituent un métier à part entière ; ce serait bien que cela soit reconnu par un statut : recrutement, formation, outils, aides.....

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