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Posté(e)

Je viens de finir le dernier Amélie Nothomb Ni d'Eve ni d'Adam , sympatique d'autant plus que nous la retrouvons dans ses aventures de jeunesse au Japon ( pour ceux/celles qui suivent ses romans depuis le début)

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Pour moi, ça a été :

"je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part" de Gavalda,

"Seras-tu là" de Musso et

"Il faut qu'on parle de Kevin" de L. Shriver : A lire ! Ce livre s'est attaché à mon esprit tout le temps que je l'ai lu et m'a donné l'occasion de grandes discussions avec mon père sur l'éducation ! Par contre, je vous le déconseille si vous attendez un enfant :ninja: !

Dans Il faut qu'on parle de Kevin, Eva raconte la genèse de ce tueur à peine pubère, mais nous confesse surtout son aversion pour ce monstre né de ses entrailles. Car c'est bien d'entrailles qu'il s'agit dans cette histoire, beaucoup plus que de sociologie ou de criminologie. Subtilement, par la voix d'une mère, Shriver soulève une question taboue : peut-on haïr la chair de sa chair ? Eva répond. Avoue qu'elle ne voulait pas d'enfants, décrit le vide émotionnel qu'elle a ressenti à la naissance de Kevin, les faux câlins qu'elle s'est forcée à prodiguer, alors que son mari se pâmait d'adoration pour le petit être. Si seulement les médecins avaient trouvé à Kevin une tare ou un syndrome, peut-être aurait-elle éprouvé un soupçon de compassion... Le monstre est-il bien celui qu'on croit ? Lionel Shriver, qui refuse toute sensiblerie, ne nous dit pas lequel, de la mère ou du fils, plaindre ou craindre. Eva bouleversera certains par sa franchise, en révulsera d'autres par sa froideur. Au fil de ses aveux, elle joue tous les rôles de cette tragédie : bourreau, suspecte, témoin, victime. Elle est plurielle, tout comme les niveaux de lecture de cette histoire. Il faut qu'on parle de Kevin, qui est devenu aux États-Unis un emblème féministe, aurait dissuadé Lionel Shriver d'être mère. Gare aux effets secondaires implacables de ce roman terrible.

Invité micmag
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je lis la suite d'eragon, l'ainé, de christopher paolini.

Posté(e)

je relis HP 6 avant d'attaquer le 7, ca permet de se remettre dans le bain et se remémorer des détails oubliés!

Posté(e)

Je n'ai pas lu beaucoup ces derniers temps : plein d'autres occupations et le soir, je lisais 2 pages avant de tomber de sommeil !

J'ai quand même fini Le rôdeur de Judith Kelman et là, j'en suis à la moitié de Et après ... de G. Musso.

Posté(e)

La vie devant soi de Romain Gary ou plutot sous son pseudo Emile Ajar! il a eu le prix goncourt pour ce bouquin!

C'est une histoire hyper emouvante et drole a la foi! je le recommande vivement! 250 pages de bohneur

Posté(e)

Je rentre de la Fn** et voici mes lectures prévues pour septembre :

La souris bleue de Kate Atkinson, plutot polar,

Envie de fraises de Jennifer Weiner... rapport avec mes hormones désireuses de crevettes :blush:,

Les trottoirs de Dublin de Damien Owens.

Je viendrai raconter s'ils sont sympas :)

Posté(e)
Envie de fraises de Jennifer Weiner... rapport avec mes hormones désireuses de crevettes :blush:,

Il me tente bien celui-là :)

Posté(e)
Envie de fraises de Jennifer Weiner... rapport avec mes hormones désireuses de crevettes :blush:,

Il me tente bien celui-là :)

C'est le 1er que je vais attaquer ce We... je te dirai :)

Posté(e)

Je viens de terminer "le parfum" de P Süskind, pour moi qui suis sensible aux odeurs !!!!

spécial, j'ai aimé et vous ????

Posté(e)

Je l'ai lu il y a longtemps et j'avais bcp aimé cette atmosphère très particulière...tu me donnes envie de le relire!

Invité
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