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audad

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J'ai terminé hier soir L'élégance du hérisson et cela m'a beaucoup plus, la fin est triste ... :blush:

Je vais maintenant commencer dans un tout autre registre: Le dernier détective de Robert Crais.

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J'ai posé sur "mon chevet" le parfum d'Adam, policier écologiste, dont j'ai lu du bien dans vos messages.

N.B: parmi les parents des élèves de ma classe cette année, deux amoureux de lecture, cela va certainement être agréable!

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Moi non plus, cela n'avance pas beaucoup la lecture.

Je lis tous les jours pourtant.

Toujours dans un Murakami "La ballade de l'impossible".

Il va falloir que je rendre bientôt mes 4 livres empruntés à la bibliothèque et toujours pas fini de lire le premier. :sad:

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Je me suis un peu remise à la lecture.

J'ai commencé "Sur le sable" de Michèle Lesbre.

Apercevant des flammes derrière une dune qu'elle longeait au gré de ses pérégrinations, la narratrice s'arrête. A la lisière de l'incendie, recroquevillé sous une couverture, un homme prostré contemple le sinistre. Intriguée, la femme accepte de rester près de lui. En rupture de ban, elle vient de quitter un poste de veilleuse de nuit dans un hôtel parisien. Elle a également rompu avec l'homme qu'elle aimait. Les personnages des romans de Modiano, qu'elle a intégralement relus à la faveur de ses nuits de veille, lui offraient sans doute une meilleure compagnie... Flottant entre les êtres réels et les êtres de fiction, elle suit ce qu'elle appelle sa " pente douce ". L'homme de la plage ne cesse de parler. Il est venu enterrer sa mère et, dirait-on, voir disparaître cette maison de malheur où se sont noués pour lui tant de drames : la jeune noyée d'un dimanche de son enfance, sa mère qui venait y rejoindre son amant, un ancien de l'OAS, et Sandra, avec qui il aurait aimé vivre là mais qui a été brutalement extradée vers l'Italie pour y être emprisonnée. Au fil du monologue de ce compagnon de hasard, son auditrice est comme malgré elle envahie par ses propres fantômes. Ses deuils, son amour perdu à Bologne, sa quête et ses combats ressurgissent, brossant par touches légères le portrait d'une femme dont la liberté et la solitude sont les véritables compagnes. Avec ce onzième livre, Michèle Lesbre poursuit sa route, déterminée et lumineuse, où le pouvoir enchanteur des mots réveille la rumeur du monde.

J'avais beaucoup aime "le canapé rouge" du même auteur. Celui ci a l'air pas mal.

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J'ai lu Le roman de Guernica de Paul Haim: très intéressant et bouleversant pour mieux connaître le bombardement de ce village basque.

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Je vais maintenant commencer dans un tout autre registre: Le dernier détective de Robert Crais.

Ca y'est, je l'ai terminé cet après-midi et c'était bien sympa comme lecture. :)

Je vais commencer ce soir, La poursuite du bonheur de Douglas Kennedy.

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En ce moment, j'ai commencé à lire "Journal : 1973-1982" de Joyce Carol Oate.

Je trouve intéressant comment elle part de ses personnages, d'où lui vient l'inspiration, de son métier d'enseignante...

Large fragment d'autobiographie de l'un des plus grands auteurs américains, le Journal de Joyce Carol Oates est un document littéraire de première importance. Elle l'entreprend à l'âge de trente-quatre ans, le 1er janvier 1973, tout en poursuivant ses œuvres de fiction. Bien que détestant être qualifiée de prolifique, Oates écrit chaque jour avec une énergie fiévreuse : " Écrire est... une drogue, douce, irrésistible, et épuisante ", dit-elle. De ces lignes rédigées " au fil de la plume et spontanément " émerge un portrait non expurgé de l'artiste en femme, écrivain, professeur, amie. Oates parle de manière franche et très émouvante de son mariage - si heureux - avec Raymond Smith, de sa vie d'enseignante (à Windsor puis à Princeton), de son manque d'instinct maternel et des heures qu'elle passe au piano. Sa réputation croissante dans le monde littéraire l'amène à des rencontres et des amitiés avec des écrivains comme Philip Roth, John Updike, Susan Sontag, Joan Didion et bien d'autres. Mais, peu à l'aise avec les signes de la célébrité, Oates ne cesse de se réfugier dans sa vie intérieure, à la poursuite de son œuvre. Une œuvre dont ce Journal - qui égale celui de Virginia Woolf - est à coup sûr une pièce majeure.

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Bonsoir,

je lis mais post rarement ici... je passe simplement dire que suite à plusieurs de vos comentaires (il y a un moment deja) je me suis achetée: "les yeux jaunes du crocodile" que j'ai du mal à lacher...

merci!

Moi aussi, j'ai du mal à le lacher ! :wink:

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J'ai terminé Berlin 36 de Alexandre Najjar que j'ai reçu en avant première. Il est vraiment passionnant:

Résumé - Berlin 36

Ce roman est d'abord celui d'un événement : les Jeux olympiques de Berlin, organisés par le IIIe Reich en 1936. Autour de cette manifestation gravite une foule de personnages : le Führer, bien déterminé à leurrer le monde en montrant un visage pacifique de l'Allemagne ; Jesse Owens, l'athlète noir qui défiera les Nazis et leurs théories racistes en remportant quatre médailles d'or ; les ministres Goebbels et Göring, qui déploient mille stratagèmes pour instrumentaliser les Jeux ; le baron Pierre de Coubertin, icône déchue qui se fourvoie en soutenant les organisateurs ; Leni Riefenstahl, l'égérie du Reich, cinéaste exigeante et capricieuse chargée de fixer sur la pellicule la spectaculaire mise en scène de l'évènement ; Oskar Widmer, un pianiste de jazz qui, tant bien que mal, résiste à la déferlante nazie ; Pierre Gemayel, un jeune libanais de passage, qui découvre avec étonnement l'envers du décor ; Claire Lagarde, une courageuse journaliste française qui, en décrivant les Jeux, va rencontrer l'amour... Dans un roman foisonnant, Alexandre Najjar met habilement en scène ces personnages, réels pour la plupart, fictifs pour quelques-uns, afin de nous raconter, comme une valse à trois temps, les Jeux Olympiques de Berlin.

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