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adhoc par correspondance


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Enfin, tout ça pour dire que je sais que je fais bien mon métier,d'ailleurs je ne sais faire que ça, mais a-t-il une dose assez importante d'avantages pour que j'ai envie de continuer?? là est la vrai question...

Diana... Déjà tout plein de :wub: parce que je te sens vraiment... :cry:

J'ai une suppléance à l'année donc d'un côté j'ai moins de comptes à rendre à une personne titulaire puisque personne ne va reprendre ma classe. J'aime ce que je fais, j'aime mes élèves... mais... Je ne suis pas sûre de vouloir faire ce métier non plus. D'un côté je me dis, en vivant le métier "de plus près" je me rends compte que pas mal de choses me déplaisent ds l'éducation nationale et que les conditions du métier ne vont pas en s'améliorant... D'un autre côté, je me dis "qu'est ce que je sais faire à part ça?" et "aucun métier n'est tout beau tout rose" alors;..

Je n'ai pas de conseil à te donner, je voulais juste te dire que je me pose pas mal de questions aussi. :wink:

Cette suppléance m'aura au moins permis de travailler sur mon ressenti par rapport aux autres (prendre moins à coeur ce qu'on peut me dire, surtout de la part de mon atsem, est un travail de longue haleine depuis la rentrée, mais je m'améliore!!!, oser plus m'affirmer moi qui suis plutôt timide...ect)

Je pense que tu n'as pas de comptes à rendre à cette instit désagréable, si tu t'en sens le courage il vaudrait mieux que tu finisses ta suppléance surtout pr 2 jours, yen a vraiment marre de ces dragons qui dirigent tout implicitement!!! :mad:

et réfléchis aussi pr tes concours blancs de chez adhoc (puisque ct le sujet initial :blush: ). Je pense qu'il vaut mieux aller au bout de ta préparation, au moins quelle que soit l'issue du concours pr toi tu ne regretteras pas et pourras te dire fièrement "j n'ai pas lâché, je suis allée jusqu'au bout" et tu n'auras pas un sentiment d'inachevé!

:wub: courage! :wub::wink:

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Alors là, diana, je suis vraiment surprise. J'avoue que d'après certains de tes posts, je ne pensais pas qu'il t'arrivais de douter sur ta volonté d'être PE. Bon cela dit, perso, je trouve que c'est normal de douter, je ne fais même que ça depuis plus de 10 ans (vouloir être PE, ne plus vouloir... j'ai encore failli laisser tout tomber en novembre). C'est clair que c'est pas un métier facile (comme beaucoup d'autres d'ailleurs) et que donc selon notre humeur, nos problèmes du moment, etc... on voit plus les côtés positifs ou les négatifs. Mais d'après ma petite expérience, il ne faut pas prendre de vraie décision après une journée comme celle que tu as vécu hier, pq là c'est clair que le métier en devient nul dans son ensemble (te faire arrêter oui, ça c'est une bonne idée).

Sinon, je me demandais (si c'est pas trop indiscret) tu hésites entre PE et autre chose de précis ? Qu'est-ce qui te plais/déplais dans le métier de PE ?

Ah oui et comme déjà dit, laisse tomber la co*asse, elle avait juste besoin de s'affirmer de façon malsaine. Faut fuir les gens comme ça et ne surtout pas les écouter, même si je sais que c'est plus facile à dire qu'à faire.

Allez courage !

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Diana,

tu dis avoir conscience de faire correctement ton travail, d'apporter quelque chose aux enfants et aux familles. J'estime que c'est ça que tu dois valoriser. Le reste, dis-toi, que dans tous les métiers tu rencontres des gens pour te faire douter.

Mais n'oublie jamais pourquoi tu fais ce métier et pour qui. Ce qui compte c'est ta conscience. Qui plus est, tu sembles avoir du coeur, tu es sensible c'est positif dans le métier.

Si tu réussis le concours, tu te découvriras encore, tu prendras de l'assurance et qui sait ? Peut-être avec de la chance tu travailleras avec collègues comme toi ! Peut-être un, peut-être deux collègues qualifiés et compétents pour 5 autres connards ! Qui sait ? Mais ça devrait suffir à te dire "c'est à eux de douter, pas à moi".

Au pire, tu pourras changer de voie après une première année si vraiment ça se passe très mal, nan ?

Franchement l'essentiel c'est ta relation avec les élèves, avec les parents, avec ceux pour qui tu fais ce métier, les autres c'est secondaire, les autres tu dois parvenir à te former une carapace. Moi aussi je suis sensible et explosif quand on me blesse, et moi aussi j'ai parfois des regrets à me dire après (putain pourquoi ne lui ai-je pas fait fermer son bec ? Même si souvent je me dit aussi, j'lui ai bien fait fermer son bec ! lol), tout ça pour dire prends le positif de chacun et essaie d'être moins atteinte par le négatif qu'on te renvoie...

La barre est dure, tiens-la bien !

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annabouba : oui je me souviens t'avoir déjà lue à ce sujet dans un autre post. tu as raison je reflechis encore pour les CB, et de toute façon je pensais continuer à bosser ne serait-ce que pour aller au bout des choses et ça ne me fera pas de mal de rapprendre tout ça. mais c'est vrai que ce n'est pas un métier vraiment comme un autre, il est très prenant et il faut donc sans parler de vocation une sacré dose d'envie pour y arriver et pour tenir. je ne sais pas si je suis capable de tenir à ce niveau là en fait.

trotinet :

c'est tout moi, completement ambivalente à ce sujet et c'est comme ça depuis deux ans, methode couet...

Je pensais à ça il y a pas 20minutes, je me disais qu'avant hier je postais sur les ceintures de compétences, et que rien ne laissait présupposer dans ce message que je reflechissais à ce point sur mon désir de faire ce métier ou pas... Bien au contraire même!!

J'aime beaucoup la théorie, les grands pédagogues, les techniques un peu alternative, mais je crois que le problème c'est la pratique.

J'aime me documenter à ce sujet, mais en classe, je ne prends pas de plaisir particulierl, je n'ai pas cette envie profonde comme beaucoup de transmettre mes connaissances. alors un métier où on ne prend pas son pied il y en a des centaines et chaque métier a ses défauts, mais il y a surtout des centaines où certes on ne prend pas son pied mais à coté, quand on rentre on est tranquilou...et on a pas a gérer les parents, les réunions interminables, les problèmes sociaux, médicaux, les différents intervenants comme la psy l'orthophoniste etc, les conflits entre élèves, + les préparations, les corrections, etc C'est ça ma réelle grosse interogation en fait. Ai-je la force de m'investir à ce point pour un métier qui pour moi est "sans plus"...

ManuKa :

Tout d'abord excuse moi, j'ai toujours cru que tu étais une femme!! et en te lisant je viens de voir que non!! Désolée!!!!!! :blush:

A force de reflechir et d'en parler depuis hier, je pense que tu as raison et que de toute façon je suis une battante et ne serait-ce que pour le principe, j'irai au bout. mais sans réelle conviction.

Après pour ce qui est des collègues depuis ce matin j'ai beaucoup pris de recul, et je me dit que je suis bête d'avoir pris tellement à coeur ce qu elle m'a dit, surtout la connaissant...

j'avance doucement, et ça va beaucoup mieux qu'au réveil. En énoooooooooooooorme partie grace à vous et à ce post que je pourri depuis hier soir :unsure::scratch:

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Pendant mes 2 premières années de prépa j'étais un peu comme toi : pas de réelle conviction, je me demandais si je n'avais pas parfois peur des enfants, donc je travaillais en me demandant si je ne devais pas changer de voie mais je ne trouvais rien d'autre alors j'ai continué. Pourtant, je ne me voyais pas du tout devant une classe; c'est dire...

Cette année est ma dernière tentative, un peu comme soph69 je suis lassée de ce concours alors je me suis dit que je je referai un stage (j'en avais pas refait avec ma prépa, uniquement pendant mes études) et que j'aviserai. 4 vendredis de novembre, un bonheur fou à chaque moment, une instit' qui me propose une lecture, puis des activités puis la classe pendant 1 heure et qui me donnait toute sa confiance...Au final, ce fut une révélation, je me sentais dans mon bain, très détendue, et naturelle avec ces petits CP. L'instit m'a dit que j'étais faite pour ce métier, donc j'ai aussi pris confiance en moi. Au final maintenant je sais que je veux faire ça et rien d'autre alors je travaille comme je peux, les résultats ne sont pas toujours là (satané français !!) mais je me donne à fond pour ne pas avoir de regrets. Si je n'ai pas le concours, tant pis, je serai très triste et j'aviserai pour mon orientation...

Tu ne sembles pas ressentir tout ça face à ta classe même si tu semble éprouver du bonheur à enseigner; alors continue de remonter la pente, donne-toi jusqu'au bout pour ne pas avoir de regrets et quand tu doutes vois les côtés positifs du métier et repense à ces petits moments de joie ;-)

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Et non tu ne pourris pas ce poste, on échange plus ou moins depuis des mois alors quand on a un gros doute c'est mieux d'en parler ;-)

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Diana >> C'est pas la première fois qu'on me mêle à "merci les filles, merci les nanas...", j'ai fini par accepter la loi de la femme sur ce forum ! :lol:

Tant que mes messages ne sont pas censurés... :wink:

Content que tu retrouves la patate en tout cas !

:applause:

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Je vais faire le sujet blanc maths numéro 1 en fin de semaine,

pourriez-vous, pour ceux qui l'ont déjà fait, me conseiller différents exercices se prêtant parfaitement à la révision de ce sujet numéro 1, afin d'accélerer les choses et ne pas me perdre dans des révisions qui ne me permettront pas de réussir ce premier sujet ?

J'ai le Nathan comme livre. (si vous avez des pages à me donner d'exercice) et j'ai aussi les annales nathan...

J'aimerais aller à l'essentiel...

Merci !

PS : j'ai bien reçu la fiche de préparation au devoir qui me dit de réviser les thèmes suivants :

- géométrie plane, triangle, cercle, parallélogramme et trapèzes, propriétés et démonstrations

- Résolution d'équations, identités remarquables

- mesure et grandeurs

- didactique : les entiers naturels

Mais tout ça est vaste, c'est pour ça si vous avez des exercices vraiment proches pour progresser ça serait super.

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Désolée de continuer à polluer le fil mais je voudrais répondre à Diana.

Bon déjà, est-ce qu'on pollue vraiment le fil : c'est une chose de se préparer en math, en français, etc... mais c'est tout aussi utile (si pas plus) de s'interroger sur son envie d'être prof et donc sur son éventuel futur métier et notre capacité à y faire face (puis pour les plus pragmatiques ça donne des éléments pour l'OP ;-)).

Sinon Diana, es-tu moi ? ;-) je me poses exactement les mêmes questions que toi et j'ai un rapport assez semblable au métier, aux élèves, à la théorie... C'est effectivement ton post sur les ceintures qui m'avait fait penser que tu devais être bien motivée pour être PE et en tout cas que tu réfléchissais pas mal au pourquoi-comment de l'enseignement. Tu dis que tu aimes beaucoup les grands pédagogues, les péda alternatives (je te suis à 100%) mais que la pratique non --> une question : en suppléance, as-tu l'occasion d'enseigner comme ils le préconisent (vraiment je veux dire, pas juste une technique par ci par là) ? Si oui, chapeau mais je ne suis pas sûre que ce soit vraiment possible en étant remplaçante... je pense même qu'il faut quelques années d'enseignement, si possible dans la même classe pour vraiment appliquer la pédagogie Freinet par exemple.

D'ailleurs en parlant d'enseignement, tu dis que tu n'as pas l'envie profonde de transmettre des connaissances, ben moi non plus mais parce que ce n'est pas ma vision de l'enseignement (d'ailleurs je n'aime pas ce mot)... et ce n'est pas la vision de Freinet, Oury, Connac...

En résumer, perso, si je veux enseigner ce n'est pas "pour transmettre" ni pq "j'aime les enfants" mais parce que j'ai une philosophie, une idée de la vie en société qui font que je veux 1) qu'on respecte davantage les enfants et notamment à l'école (voire une petite envie d'aider les plus "défavorisés") et grand 2) aider un maximum d'enfants à devenir des hommes tolérants, "coopératifs", empathiques, curieux... (et la liste est longue)

Voilà, je ne sais pas si tu as les mêmes motivations assez philosophiques-théoriques mais si c'est le cas, c'est vrai que ça ne facilite pas la tâche pq bon la pratique ne va pas vraiment dans le même sens et qu'il faut sans cesse se remotiver... et je t'avoue que c'est aussi l'énergie, le temps, l'investissement que demandent le métier de prof qui m'ont fait plus d'une fois hésiter... surtout qu'effectivement, on n'est pas du tout sûres que cet investissement sera payant... mais d'un autre côté, j'ai fait un autre métier où il n'y avait pas de travail à faire en rentrant et... j'ai détesté pq je ne pouvais pas y défendre mes valeurs (au contraire) et j'ai fini en dépression... comme quoi, y a pas que la surcharge de travail qui peut nous faire craquer ! D'où mon retour au métier de PE dont j'avais abandonné la formation il y a 10 ans suite à un stage pratique où j'avais l'impression de m'ennuyer (forcément c'était dans une classe d'un enseignant hyper-traditionnel) et à une mésentente avec l'enseignant en question.

J'espère ne pas trop te gaver avec mon histoire mais si je la raconte c'est un peu dans l'espoir de te faire réfléchir et dans l'espoir que tu décides finalement d'être PE pq bon on est jamais trop à enseigner selon les péda "nouvelles" ;-)

(en fait, je crois que j'aurais encore des tonnes de choses à dire pq tes doutes me touchent vraiment, mais là je vais vraiment polluer le fil... en mp peut-être ?)

Ah oui et j'allais oublier, on n'est jamais "bête" de réagir aux attaques "malveillantes", on est juste humain!

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Je viens de recevoir le corrigé du sciences mineur 2,

avec une note de 4,55/6 ce qui, j'estime est positif, pourtant l'appréciation est celle là :

"C'est assez inégal, vous ne semblez pas encore maîtriser tous les aspects du cours. Il faut tout approfondir."

Je trouve ça très négatif, alors soit elle me met une note véritable avec ce qu'elle pense, soit son appréciation doit être cohérente... Elle rajoute quasiment rien dans mes réponses et me dit "il faut tout approfondir". Je trouve ça vraiment nul question volonté d'encourager...

Pensez-vous que sur Adhoc, les correcteurs donnent des points facilement ??

PS : elle se permet même une phrase sur la dernière question "on sent bien l'envie de ne pas gaspiller du papier, mais soignez la présentation". Je trouve ça minable comme appréciation, c'est archi faux en plus !

Moi je préfère la franchise plutôt que cette espèce de subtilité pour faire passer des messages dévalorisants... Sale mentalité !

:mad:

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Je viens de recevoir le corrigé du sciences mineur 2,

avec une note de 4,55/6 ce qui, j'estime est positif, pourtant l'appréciation est celle là :

"C'est assez inégal, vous ne semblez pas encore maîtriser tous les aspects du cours. Il faut tout approfondir."

Je trouve ça très négatif, alors soit elle me met une note véritable avec ce qu'elle pense, soit son appréciation doit être cohérente... Elle rajoute quasiment rien dans mes réponses et me dit "il faut tout approfondir". Je trouve ça vraiment nul question volonté d'encourager...

Pensez-vous que sur Adhoc, les correcteurs donnent des points facilement ??

Je ne sais pas (quelle réponse ;-)). En fait, j'ai eu un peu le même en maths : je pense que la côte reflète plus ou moins ce qu'on aurait au concours et les commentaires visent justement à ce qu'on aille au maximum de nos possibilités afin qu'on obtienne au final une note maximale ou très élevée.

C'est vrai que j'ai aussi parfois mal digéré les commentaires mais bon je me dis, la note est bonne, c'est juste que je peux encore faire mieux (et c'est sûrement leur but) et 1 point de plus au concours c'est très important !

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Je pense que c'est noté assez justement d'après ce que j'ai pu entendre.

Par contre moi...le CB2 d'histoire m'est revenu noté mais je n'avais pas eu la partie mineure. Un oubli visiblement de leur ^part.

Pourtant.....sur le CB2 d'histoire il y avait une appréciation pour l'histoire et pour les sciences???????

Alors.......quelque chose m'échappe!

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