Byza31 Posté(e) 8 mai 2011 Posté(e) 8 mai 2011 "Dead Zone" de Stephen King. J'ai vraiment eu du mal à rentrer dedans, mais maintenant j'aime bien! Ca a le mérite de se lire vite!
gparisis Posté(e) 8 mai 2011 Posté(e) 8 mai 2011 Lu Sans changer d'adresse d'Harlan Coben , bien mais pas le meilleur à mon sens Retrouver, après sept ans de séparation, une femme sublime à Paris. Un programme a priori réjouissant. Sauf quand l'amant s'appelle Myron Bolitar, agent sportif : sur place, les ennuis ne tardent pas à arriver. Son amie Terese est mêlée à un meurtre. Sur la scène du crime, du sang, beaucoup de sang : celui de la victime mais aussi celui de la propre fille de Terese... morte dans un accident des années auparavant. Même constat: lu très rapidement, comme les autres, mais ce n'est pas le meilleur!
WILLOW57 Posté(e) 9 mai 2011 Posté(e) 9 mai 2011 Le cercle des amateurs d'épluchures de patates. Pas mal, j'ai quand même eu un peu de mal à y entrer, maintenant c'est OK, j'ai me bien cet humour british mêeme si je ne suis pas fan du genre épistolaire. pareil. J'ai eu du mal à y entrer à cause des nombreux destinataires des différentes correspondances mais une fois que l'on saisie le canevas, les personnages sont attachants et j'ai apprécié le style à la fois léger et drôles de certaines lettres. Sans oublier que cela donne souvent un regard sur le quotidien de ces anglais pendant la seconde guerre mondiale. Bref même si je ne raffole pas non plus du style épistolaire j'ai trouvé ce livre très sympa. Je viens de finir L'Élégance du hérisson de Muriel Barbery,que j'ai trouvé un peu intello au démarrage puis plein de poésie par la suite J'ai détesté la fin !!! C'est du n'importe quoi .... tant de poésie justement pour en arriver là .... Ici, je suis dans ma phase "littérature de jeunesse" je pique les bouquins que mon fils de 9 ans avale à une vitesse impressionnante, j'ai donc lu dernièrement le tome 1 de La guerre des clans (des histoires de luttes de territoires entre plusieurs clans de chats) et je suis en train de lire le tome 1 de A la croisée des mondes! Mes enfants apprécient aussi beaucoup les "Géronimo Stilton" et ce à tous les âges. La collection des livres qui ont des odeurs surtout !("le royaume de la fantaisie" je crois ) De plus la calligraphie de ces romans est intéressante, elle change avec le sens de la phrase et il m'est arrivé de travailler dessus en classe ...
téchiney Posté(e) 9 mai 2011 Posté(e) 9 mai 2011 Et j'ai finalement dévoré le cercle des amateurs d'épluchures de patates en 2 jours et adoré effectivement les personnages et tous ces petits détails sur l'occupation.
ckeiko Posté(e) 11 mai 2011 Posté(e) 11 mai 2011 je viens de commencer "Notre poison quotidien" un livre 'documentaire' sur l'alimentation d'aujourd'hui....un peu effrayant!! un reportage était passé en mars sur arte...très interressant et instructif!
Mirobolande Posté(e) 21 mai 2011 Posté(e) 21 mai 2011 L'affaire de l'esclave Furcy, de Mohammed Aïssaoui, prix Renaudot essai 2010. A partir d'archives vendues à Drouot, l'auteur mène son enquête sur un esclave qui est né libre (parce que sa mère était indienne, arrivée en France, puis affranchie alors qu'il avait 3 ans..Mais ne l'a jamais su), et s'est battu pendant 27 ans pour que son statut d'homme libre soit reconnu, tenant tenant au tribunal, à la cour d'appel et à la cour de cassation dans sa main la déclaration des droits de l'homme et du citoyen...Il a été déclaré libre 5 ans avant l'abolition définitive de l'esclavage. Pfff...
Mel(yMélo) Posté(e) 21 mai 2011 Posté(e) 21 mai 2011 Shutter Isalnd de Lehann en bédé est vraiment excellent; en vrai j'ai pas lu le livre, j'ai adoré la bdé, et j'ai trouvé le film moins ambigu que la bédé, dommage.
loca84 Posté(e) 21 mai 2011 Posté(e) 21 mai 2011 Je termine Les gens de Mogador (tome 4 : Ludivine) J'aime beaucoup cette collection, après il me reste les tome 5 et 6 de la collection. J'ai aussi commandé "l'oeil de la lune" (suite du livre sans nom)
MissTiQ Posté(e) 21 mai 2011 Auteur Posté(e) 21 mai 2011 J'ai commencé Le masque de l'araignée de James Patterson Gary Soneji est persuadé depuis l'enfance qu'il deviendra célèbre. Son but est atteint lorsqu'il réussit à kidnapper le fils du ministre des finances et Maggie-Rose, la fille d'une star. Sa vanité lui sera fatale face à la perspicacité d'Alex Cross, détective et docteur en psychologie, qui saura lui tendre le piège final. Pourtant, malgré son arrestation, sa victime, Maggie-Rose, reste introuvable. Confronté à un coupable simulant la folie et persuadé qu'un autre kidnappeur a volé la vedette au premier et dérobé la rançon, Alex Cross ne pourra compter que sur lui-même pour retrouver les ravisseurs de la fillette. Gary Soneji, qui réussit à s'évader, est bien décidé à se venger des inconnus qui lui ont ravi la première place dans les médias.
poucinette36 Posté(e) 23 mai 2011 Posté(e) 23 mai 2011 Tu verras de Nicolas Fargues. "La cruauté du titre explose dès les premières pages, quand son futur simple, l'évidence rassurante de sa formulation, « Tu verras », se heurte de plein fouet à l'imparfait dont le narrateur est contraint presque immédiatement d'user. Clément ne verra pas. La transmission est brutalement interrompue. Le père a perdu son fils, victime d'un accident de métro. Au-delà de l'émotion crue qu'il dégage, c'est dans le vif de questions fondamentales que tranche ce livre proprement éblouissant. Que transmet-on à ses enfants ? Comment vit-on avec eux ? Comment les aime-t-on ? Nicolas Fargues explore, à travers la souffrance du père qu'il met en scène, l'actualité de ces questions. Avec une justesse saignante. Et une totale liberté, sans tabous, ni souci du politiquement correct.. « C'est bizarre, l'amour parental », s'interroge le narrateur. « Aimer son enfant, est-ce aimer un autre que soi ou bien continuer de s'aimer soi-même, mais sans s'accabler de la mauvaise conscience d'être égoïste ? »" Un livre dont on se souvient, qui peut faire réfléchir à sa façon d'appréhender le quotidien, l'essentiel dans notre vie... J'ai bien aimé l'écriture simple et accrocheuse... Du coup je poursuis avec cet auteur: J'étais derrière toi. Sous l’apparence convenue du roman type « les souffrances d’un jeune trentenaire », Nicolas Fargues démonte mine de rien un certain nombre d’idées littéraires reçues à l’aide d’une narration confidence qui interpelle le lecteur au style direct : « C’est top pour les cicatrices, l’aloe vera, tu connais ? » Si l’histoire commence, il fallait s'y attendre, par : « Bref, je te disais que j’ai attendu la trentaine pour souffrir », les thèmes abordés en filigrane sont d’une finesse autre et témoignent d’un certain courage d’écrire. Un parti pris de transparence qui met à nu l’écriture dans ce que le narrateur nomme lui-même une « autofiction mal déguisée ». Enfin, à l’inverse des avatars libidineux de don Juan qui hantent la littérature, Fargues incarne encore une fois un antihéros maladroit et sensible, évitant la sensiblerie, et évoque gracieusement une force paradoxale : la séduction du vulnérable. Et en parallèle: Et si on dansait d'Erik Orsenna. " Et maintenant ? Je savais bien que jamais je n'en aurais fini avec la ponctuation. Aussi longtemps que je vivrais, et donc aussi longtemps que j'écrirais, je me battrais avec les signes, je m'acharnerais à bien placer les virgules. Et les points. Et les points-virgules. Sans oublier les tirets, les crochets, les chevrons auxquels je n'avais pas jusqu'ici prêté assez d'attention. Mais une petite voix me parlait. Elle me venait de tout au fond, là, au milieu du ventre, entre coeur et nombril: - Toi aussi, tu as une histoire, Jeanne, ton histoire secrète. L'heure est venue de la raconter." Après La grammaire est une chanson douce, Les Chevaliers du Subjonctif et La révolte des accents, Jeanne et Tom, les héros d'Erik Orsenna, poursuivent leurs aventures grammaticales. <BR jQuery1306134271271="444">
WILLOW57 Posté(e) 24 mai 2011 Posté(e) 24 mai 2011 Shutter Isalnd de Lehann en bédé est vraiment excellent; en vrai j'ai pas lu le livre, j'ai adoré la bdé, et j'ai trouvé le film moins ambigu que la bédé, dommage. moi j'ai beaucoup aimé le livre, la fin m'a bleuffé alors que le film ... bof ...Je suis bien contente d'avoir lu le roman avant de voir l'adaptation au cinéma qui perd en tension.. et pourtant Dicaprio est super dans le rôle mais comme souvent au cinéma ils en font trop.
ximixt Posté(e) 25 mai 2011 Posté(e) 25 mai 2011 J'ai terminé deux livres: -Mon petit bunker de Marine Bramly: je n'ai pas du tout réussi à entrer dans l'histoire.... Il aura suffi de la visite de Fabien, son mari, dans son atelier, pour que Noah reconnaisse combien elle se sent à l’étroit, coincée dans son couple, bloquée dans son travail, prête à éclater, et qu’elle ait envie de faire voler en éclats la coquille paisible de sa vie, ce petit bunker où elle se croyait à l’abri. Enfermée dans ce même atelier, un soir de pluie, Noah se souvient. Qui a jamais eu une enfance aussi merveilleusement libre que la sienne ? Elle, la petite Blanche, sillonnait Dakar à sa guise, avec sa bande de gosses des rues qui la croyaient des leurs. Elle était la mascotte des artisans de la ville, mécaniciens, ferblantiers : c’est dans leurs échoppes qu’elle a appris son métier d’artiste. Depuis l’âge adulte, pourtant, elle tient l’Afrique à distance, tel un tabou, un sortilège, quelque chose qu’il ne faut évoquer sous aucun prétexte. Quels souvenirs terribles enfouis au fond de sa mémoire l’empêchent d’avancer ? Ce soir, Noah va affronter le passé. Elle s’autorise enfin à revisiter son enfance idéalisée, à remettre en cause son éducation : ses parents faisaient joujou avec sa vie, comme pour ajouter des chapitres à la leur. Voilà comment, avec les meilleures intentions du monde, vos géniteurs peuvent vous étouffer dans l’œuf. Voilà comment les souvenirs d’une enfance trop flamboyante peuvent empoisonner le présent et réduire les chances du bonheur. -Alice et le prince barbant de Cristiana Alonso que j'ai trouvé très drôle: Alice, la quarantaine fracassante, a enfin accepté son âge. « Ce qui ne vous tue pas vous rend plus fort »… Tu parles ! François, son mari, sa boussole, se détraque à son tour. Et s’il n’y avait que lui : l’épidémie gagne leurs amis. Tous sont pris d’une furieuse envie de repartir à zéro. Coming out à la pelle, divorce-parties noyées dans le champagne, petits derniers pour la route, mariages improbables, liaisons fatales : la course au bonheur s’accélère. Et l’irrésistible Alice essaie, tant bien que mal, de garder la tête froide face aux tentations…
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