MissTiQ Posté(e) 8 septembre 2010 Auteur Posté(e) 8 septembre 2010 J'ai fini Boomerang : j'ai adoré Et j'ai commencé Mémoire trouble de Lisa Unger dans la salle d'attente du dentiste Cette femme qui fait ses courses s'appelle Annie Powers. Pour l'état-civil, elle est mariée, bien intégrée à la communauté, mère d'une charmante petite fille. Cette femme qui fait ses courses s'appelait Ophelia Mardi. De cette existence-là, l'oubli n'a pas tout effacé. Les crises de panique chroniques, sa phobie de l'eau sont les vestiges d'un passé que personne ne soupçonne : un beau-père serial killer, une cavale meurtrière avec le fils de ce dernier, lui-même passablement dérangé, son changement d'identité... Aujourd'hui, Ophelia est morte en elle. Pourtant, il suffira d'un rien pour la ressusciter. Une silhouette sur la plage, un détective privé, et, peu à peu, la mémoire lui revient. Mémoire trouble, fragmentée, mensongère... Et lorsque des fantômes prennent d'assaut sa nouvelle vie, Annie ne peut compter sur personne d'autre qu'elle-même. Mais sait-elle vraiment qui elle est ?
Invité lenaki Posté(e) 8 septembre 2010 Posté(e) 8 septembre 2010 Je viens de terminer Un roman français de F. Beigbeder, des pages très émouvantes. J'ai commencé L'appartement témoin, de Tatiana de Rosnay, je lis tous les bouquins de cet auteur que j'adore.
joelafrite Posté(e) 8 septembre 2010 Posté(e) 8 septembre 2010 Rien ne nous survivra, le pire est avenir de Maïa Mazaurette. Un livre visiblement controversé mais moi j'ai beaucoup aimé Les jeunes mènent une guérilla dans Paris et décident de tuer tous les plus de 25 ans. On suit l'histoire de deux snipers, c'est un livre étonnant, un peu "raide" mais intéressant. La 4ème de couv' : Les jeunes ont rasé Paris, ont renversé les fondamentaux de notre société ; les jeunes ont osé briser le plus délicieux des tabous : tuer les vieux. Tous les vieux. A partir de vingt-cinq ans. Laissez les Théoriciens vous expliquer pourquoi. Dans cette atmosphère de guerre civile, de poudre et de béton calciné, deux snipers émergent. Silence, l'idole que les jeunes suivraient en enfer, et l'Immortel, qui compte bien faire vivre l'enfer à Silence. Quel meilleur terrain de chasse que les toits parisiens ? Avec un cynisme mordant, un humour corrosif, Rien ne nous survivra propose une variation sur notre société actuelle, tout en piétinant les présupposés de notre morale. Car au jeu de l'intolérance jeunes / vieux, qui a commencé ? J'ai lu aussi Dans les bois de Harlan Coben : un livre plus classique mais très bien aussi
chantwal Posté(e) 8 septembre 2010 Posté(e) 8 septembre 2010 J'ai eu beaucoup de mal à terminer mon livre de Monica Ali à cause de la rentrée et donc, dès que j'ouvrais le livre, je n'arrivais pas à me concentrer car j'avais en tête mille choses à faire par ailleurs. J'ai commencé ce matin un roman qui met en scène l'architecte américain Frank Lloyd Wright. J'avais découvert cet homme dans le "Loving Frank" de Nancy Horan. "Les femmes" de TC Boyle En 1932, un jeune Japonais, Tadashi Sato, étudiant en architecture, arrive à Taliesin, l'immense propriété perdue au fin fond du Wisconsin du plus grand architecte du siècle, auprès duquel il vient de se faire engager comme apprenti : Frank Lloyd Wright. Tadashi découvre vite que l'antre du génie ressemble moins à une école qu'à une communauté utopique que le Maître essaie de faire tenir tant bien que mal, tandis que les créanciers de tout bord le poursuivent, que les habitants du voisinage crient au scandale devant les moeurs étranges de Taliesin et que Wright, grognon, secret, colérique, tantôt faible, tantôt tyrannique, se démène comme il peut entre ses affaires d'argent et... ses femmes.
titecoccinelle Posté(e) 8 septembre 2010 Posté(e) 8 septembre 2010 Maintenant je vais me plonger dans Sur la ligne noire de Joe R. Lansdale. Je crois aussi que quelqu'un en a parlé sur ce post... Profitant des vacances, Stanley, treize ans, se balade dans les bois écrasés de chaleur situés derrière le cinéma en plein air que son père vient d'acheter. Les temps sont durs dans ce trou paumé du Texas. Les non-dits et les histoires anciennes pèsent sur la communauté comme des maléfices. Stanley, en déterrant dans une ruine calcinée une boîte en fer contenant de vieilles lettres d'amour, réveille un drame qui enflamme son imaginaire. Deux jeunes filles seraient, une décennie plus tôt, mortes dans la même nuit sans qu'on retrouve la tête de la seconde. Plus Stanley pose de questions, plus ce qu'il comprend le fascine. Le père de son meilleur ami n'est-il pas le premier à se taire ? Un vieux projectionniste du drive-in, ancien policier des réserves indiennes, cache lui aussi bien des choses... Super livre. J'aime beaucoup cet auteur. Terminé et beaucoup aimé ! Ce soir, je commence L'enfant de tous les silences de Kim Edwards 1964; une terrible tempête de neige paralyse le Kentucky. Le Dr David Henry n'a pas le choix : il doit accoucher lui-même sa jeune épouse, Norah, qui met au monde un magnifique garçon, puis une petite fille trisomique. En un instant, David, persuadé d'agir pour le mieux, va prendre une décision tragique : il confie la petite à Caroline, son infirmière, qui doit l'emmener dans une institution spécialisée. À Norah, il annonce que le bébé n'a pas survécu. Mais Caroline choisit de sauver la petite et de l'élever comme sa propre fille... Des années plus tard, la vérité refait surface, et, avec elle, des conséquences dramatiques pour cette famille déchirée.
mag84 Posté(e) 8 septembre 2010 Posté(e) 8 septembre 2010 [ Ce soir, je commence L'enfant de tous les silences de Kim Edwards 1964; une terrible tempête de neige paralyse le Kentucky. Le Dr David Henry n'a pas le choix : il doit accoucher lui-même sa jeune épouse, Norah, qui met au monde un magnifique garçon, puis une petite fille trisomique. En un instant, David, persuadé d'agir pour le mieux, va prendre une décision tragique : il confie la petite à Caroline, son infirmière, qui doit l'emmener dans une institution spécialisée. À Norah, il annonce que le bébé n'a pas survécu. Mais Caroline choisit de sauver la petite et de l'élever comme sa propre fille... Des années plus tard, la vérité refait surface, et, avec elle, des conséquences dramatiques pour cette famille déchirée. Je l'ai lu l'année dernière et j'avais beaucoup aimé.
MissTiQ Posté(e) 8 septembre 2010 Auteur Posté(e) 8 septembre 2010 Ce soir, je commence L'enfant de tous les silences de Kim Edwards 1964; une terrible tempête de neige paralyse le Kentucky. Le Dr David Henry n'a pas le choix : il doit accoucher lui-même sa jeune épouse, Norah, qui met au monde un magnifique garçon, puis une petite fille trisomique. En un instant, David, persuadé d'agir pour le mieux, va prendre une décision tragique : il confie la petite à Caroline, son infirmière, qui doit l'emmener dans une institution spécialisée. À Norah, il annonce que le bébé n'a pas survécu. Mais Caroline choisit de sauver la petite et de l'élever comme sa propre fille... Des années plus tard, la vérité refait surface, et, avec elle, des conséquences dramatiques pour cette famille déchirée. Je l'ai lu il y a quelques temps et j'avais bien aimé
Mirobolande Posté(e) 11 septembre 2010 Posté(e) 11 septembre 2010 Le potentiel érotique de ma femme, de David Foenkinos: Choisi pour son titre, je suis en cours de lecture (pas fini) mais j'aime vraiment: beaucoup d'humour. C'est l'histoire d'un mec qui abandonne les collections, et qui finit par collectionner sa femme. Au début du livre, il fait une tentative de suicide et l'auteur arrive à nous faire sourire avec cette idée. J'aime beaucoup le style.
titecoccinelle Posté(e) 11 septembre 2010 Posté(e) 11 septembre 2010 Ce soir, je commence L'enfant de tous les silences de Kim Edwards 1964; une terrible tempête de neige paralyse le Kentucky. Le Dr David Henry n'a pas le choix : il doit accoucher lui-même sa jeune épouse, Norah, qui met au monde un magnifique garçon, puis une petite fille trisomique. En un instant, David, persuadé d'agir pour le mieux, va prendre une décision tragique : il confie la petite à Caroline, son infirmière, qui doit l'emmener dans une institution spécialisée. À Norah, il annonce que le bébé n'a pas survécu. Mais Caroline choisit de sauver la petite et de l'élever comme sa propre fille... Des années plus tard, la vérité refait surface, et, avec elle, des conséquences dramatiques pour cette famille déchirée. Ca a l'air sympa ça tiens ! Je vais me le commander (même si j'en ai au moins 8 qui m'attendent déjà ...) Je l'ai lu l'année dernière et j'avais beaucoup aimé. Je l'ai lu il y a quelques temps et j'avais bien aimé J'ai lu une centaine de pages pour le moment et j'accroche bien !
joelafrite Posté(e) 11 septembre 2010 Posté(e) 11 septembre 2010 Le potentiel érotique de ma femme, de David Foenkinos: Choisi pour son titre, je suis en cours de lecture (pas fini) mais j'aime vraiment: beaucoup d'humour. C'est l'histoire d'un mec qui abandonne les collections, et qui finit par collectionner sa femme. Au début du livre, il fait une tentative de suicide et l'auteur arrive à nous faire sourire avec cette idée. J'aime beaucoup le style. ça risque d'être ma prochaine lecture
éowin Posté(e) 12 septembre 2010 Posté(e) 12 septembre 2010 Le papillon du Siam de Maxence Fermine: au XIXème siècle un jeune-homme décide de marcher dans les pas d'Arthur Rimbaud et va chercher l'aventure d'abord en Russie puis au Cambodge. Il recherche un papillon fabuleux mais protégé par le souverain et découvre la cité d'Angkor... Un roman assez court merveilleusement bien écrit! Pour les amoureux du style et des souvenirs d'enfance d'autrefois, Sido de Colette! Dans l'édition dont je dispose, le texte est suivi d'une série de nouvelles (les vrilles de la vigne) dont certaines sont des petits bijoux.
ximixt Posté(e) 12 septembre 2010 Posté(e) 12 septembre 2010 J'ai terminé Mal tiempo de David Fauquemberg: assez envoûtant: Cuba, le meilleur de la boxe. Des champions méconnus, éternels amateurs enfermés dans leur île. Je devais accompagner de jeunes espoirs français partis s'endurcir à Pinar del Rio. Chaleur caraïbe, sessions d'entraînement intenses. riz-haricots noirs au menu, dortoir collectif... Le stage s'annonçait rude. Très rude. A trente ans, la fin de carrière approchait. Je le pressentais. Claquement des gants sur les sacs, cuir contre cuir. Dans la fournaise du gynmase, j'ai remarqué Yoangel. Catégorie poids lourds. Un prodige. Le tempo, la présence, toul ce qui m'avait manqué. Lui, le paysan d'un pueblo perdu, cet esprit ombrageux traversé par l'antique magie de ses ancêtres Yorubas, réussirait-il l'impossible ? Vaincre, vraiment ? Yoangel Corto ne combattait pas I'adversaire. Il combattait la boxe.
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