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:bleh: :bleh: :bleh: toujours un de plus que toi :bleh:
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Posté(e)

:D

Toutes façons, c'est toi qu'as commencé ! (T'aimerais bien corriger, hein !)

Et bien malgré tes indications, pas d'élidation en vue ! et ce n'est pas parce que c'est employé par d'autres que c'est juste

:bleh:

Posté(e)

fifinem, je comprends que se soit difficile en collège de corriger les cahiers, peut être ciblés certains et passer dans les rangs. Il est vrai que nos élèves devraient être capable de copier 15 lognes sans fautes... On en est loin! Je crois qu'il est capital pour certains qu'au collège on leur donne une photocopie de la leçon en fin de séance. L'élève fait son travail comme les autres, mais pour celui qui ne peut pas, il a la fin une leçon propre qu'il pourra bien apprendre. Qu'en penses tu?

Je suis d'accord : on tend de toute façon vers cela avec le cahier de texte électronique qui devrait être obligatoire à la rentrée prochaine dans lequel on nous demande de mettre non seulement les devoirs à faire, mais aussi les documents relatifs au cours. L'an dernier, j'avais un élève particulièrement lent, et j'envoyais chacun de mes chapitres (je tape tous mes cours sous word) par email à ses parents.

Posté(e)

Super! Trop de peu de collègues de collège ont ce réflexe (je pense que cela vient tout simplement d'une lacune dans leur formation).

Posté(e)

Quelle formation ? :devil_2:

Je n'ai eu aucune formation à ce sujet : on apprend sur le tas, au fur et à mesure que les difficultés de nos élèves apparaissent.

Posté(e)

Mouais... Dans mon IUFM j'ai quand même eu des cours là dessus.

Posté(e)

Nous, deux types de formation : une disciplinaire, donc comment faire un cours de maths, et une autre générale : et là, je ne me rappelle pas de grand chose, mais je suis certaine qu'on n'a jamais parlé de cette problématique. C'était il y a 11 ans, et tout ce qui est PAI, barême adapté et autres PPRE sont arrivés bien après au collège.

Posté(e)

:D

Toutes façons, c'est toi qu'as commencé ! (T'aimerais bien corriger, hein !)

Eh bien malgré tes indications, pas d'élidation en vue ! Et ce n'est pas parce que c'est employé par d'autres que c'est juste.

:bleh:

:whistling::sorcerer:

Posté(e)

Ce n'est pas sérieux comme question?

Les enfants se moquent de copier sans erreurs. Ils lisent le mot et l'écrivent "comme ils le pensent" sans faire l'effort. En fait ils ne lisent pas, ils regardent vaguement...

En septembre j'avais de nombreux mathématique dans les cahiers du jour. Tous les soirs je marquais aux élèves concernés: Mathématiques à copier 5 fois. Cela a très vite été réglé. J'arrache des pages, je fais recommencer pendant la récré ou le week end... Y a que s'ils sont sanctionnés (et que ça leur prend du temps) qu'ils se mettent à faire attention.

Moi , j'écris mathématique ( sans s) et je ne pense pas que cela soit faux . Mes anciens profs de maths disaient que l'on pouvait penser par rapport à la discipline, ou à la science elle -même et que du coup, avec ou sans "s" , on pouvait accepter les deux écritures. Donc je m'interroge ???

Posté(e)

J'enseigne les mathématiques, donc "s". Tous mes collègues ont toujours fait écrire ce mot ainsi.

Posté(e)

HS :

L'excellent psy scolaire qui oeuvrait dans mon ancienne école était révolté de toutes ces "dys" qui sortaient, disant que la plupart du temps, quelques séances de thérapie pour l'enfant, et surtout pour ses parents, auraient donné de bons résultats... La dys-quelque-chose rassure et déculpabilise : on n'a pas à vraiment changer son comportement, c'est l'enseignant qui doit adapter ses séances d'apprentissage...

Ca c'est certain, et à par nous, ceux à qui ça fait le plus de tort, ce sont ... les véritables dys, qui se retrouvent "noyés dans la masse", et dont on a de moins en moins de temps pour s'occuper.

Vendredi, j'ai su par une maman que son fils (c'est Faignantissime Maximus, pour ceux qui ont suivi mes aventures Cépéhesques de cette année) avait un mode de fonctionnement différent des autres enfants (si, si, c'est vrai) parce qu'il avait la tête remplie par tout ce qu'il aime faire et que, du coup, il avait de la peine à se concentrer sur ce qu'il n'aime pas !L'ostéopathe qui a détecté ça lui a donc conseillé de s'adapter à Fistounet qui sera bien mieux dans ses baskets et progressera de lui-même lorsque les six milliards d'êtres humains auront compris qui il est et comment il fonctionne, pauvre chou !

Ca y est, merci Akwabon, je viens de découvrir le "mal" dont je souffre !

Demain, je file chez le médecin me faire faire une lettre de recommandation pour aller chez l'ostéo !

Formidable !

L'occasion de faire une étude comparative sur les sons du français et de l'espagnol, de faire du transversal avec l'EPS, de la production écrite de slogans ("on a gagné, les doigts, dans le nez, ils ont perdu, les doigts dans l'... " consigne : cherchez la rime), et pourquoi pas un peu d'instruction civique avec une petite introduction au séparatisme catalan ?

Akwabon, ton élève est une mine d'or.

:D:D Moi qui n'ai pas fréquenté l'IUFM, je suis ébahie de tant de savoir !

Moi , j'écris mathématique ( sans s) et je ne pense pas que cela soit faux . Mes anciens profs de maths disaient que l'on pouvait penser par rapport à la discipline, ou à la science elle -même et que du coup, avec ou sans "s" , on pouvait accepter les deux écritures. Donc je m'interroge ???

Lorsque j'étais en CP, on ne mettait pas de "s" à "mathématique(s)" et on disait "J'ai fait de la mathématique."

Ca a duré un temps ...

Posté(e)

J'enseigne les mathématiques, donc "s". Tous mes collègues ont toujours fait écrire ce mot ainsi.

extrait trouvé sur le net :

Rechercher une définition dans l'encyclopédie Mathématiques

Les mathématiques peuvent être définies de plusieurs façons, complémentaires :

•la science des nombres et de l’espace ;

•la science des formes de déduction ;

•la science des structures, des modèles ou de tous les mondes possibles.

On pourrait aussi parler de la Mathématique pour souligner que les diverses composantes de celle-ci (algèbre, analyse, géométrie, etc.) sont en fait seulement des façons différentes d'étudier ou de créer des systèmes structurés par des relations (notion généralisée de graphes). Dans cette optique la mathématique est vue comme un édifice à construire ou à reconstruire.Mathématique vient du grec μάθημα (mathêma), science, connaissance, apprentissage (mathematikos : qui aime apprendre).

L’origine historique des mathématiques est liée à leurs applications concrètes, le commerce, la mesure des surfaces, la prédiction des évènements astronomiques.

L'adjectif mathématique qualifie tout objet, concept ou terme relatif aux mathématiques. Dans ce sens il s'accorde au mot auquel il est associé, contrairement au terme qui désigne la science des mathématiques, qui est le plus souvent employé au pluriel. La Mathématique, au singulier, n'est plus guère usitée que de manière didactique.L'expression « c'est mathématique » signifie qu'il existe une logique interne et inéluctable propre à l'évènement ou à la série d'évènements ainsi commentée.

Donc je pense que les deux orthographes doivent être acceptées . Quant à l'abréviation, math ou maths .. les deux existent aussi .

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