André Jorge Posté(e) 30 mai 2019 Posté(e) 30 mai 2019 il y a 1 minute, bab33 a dit : Donc toi tu sanctionnes de suite , tu n’aides pas tes collègues , n’essaie de comprendre.....Bel esprit d’équipe. Comment peux-tu dire cela de moi ? Je suis tout le contraire de ce que tu avances, sans rien connaître à mon travail, ni à ma personne.
bab33 Posté(e) 30 mai 2019 Posté(e) 30 mai 2019 Alors explique le dans tes posts juste avant de faire ta liste. Rajoute sur tes mails l'humanité que tu pratiques au quotidien car je te jure tes propos lus littéralement font peur. 1 3
ronin Posté(e) 30 mai 2019 Posté(e) 30 mai 2019 Il y a 20 heures, André Jorge a dit : Si si, moi je veux être directeur d'école supérieur hiérarchique et évaluateur de mes collègues et j'espère que je le serai. Après, si ça n'arrive pas, ce n'est pas bien grave, il y a plusieurs solutions à nos problèmes, et je m'adapterai comme je le fais toujours. Donc tu veux les avantages d'un principal mais pas les inconvénients. Or, justement, les postes ne sont pas identiques. J'ai une connaissance sur une grosse école qui veut la même chose. Meilleur salaire, une secrétaire, logement de fonction et supérieur hiérarchique. Mais, elle veut tout cela directement, sans passer de concours, sans formation d'un an, sans système de mutation national. Et sans, en contrepartie, le risque d'être mutée d'office si ça se passe mal. C'est donc bine vouloir le beurre et l'argent du beurre. Je suis PE spécialisé, j'ai fait une formation complémentaire, j'ai passé une certification et je ne demande pas pour autant à être supérieur des collègues ni à les juger. C'est une mission, une fonction un peu différente. Mais pas un rôle de supérieur. C'est aussi une dérive de la hiérarchie et des mairies qui sont effectivement bien contents de se défausser sur les directeurs et directrices de tout et de rien. Mais le remède sera pire que le mal. Peut-être que si les directeurs et directrices avaient défendu leurs missions et refusé toutes les dérives de ces vingt dernières années nous n'en serions pas là. J'ai même lu que certains revendiquaient les moyens d'exécuter leurs missions mais estimaient qu'il n'y avait pas de problème sur ce qui est demandé. Donc, chargeons de plus en plus la barque, tant que l'on donne un statut de supérieur certains (j'ai bien écrit certains, pas tous heureusement) sont prêts à exécuter docilement. Même si c'est pour faire le boulot de l'IEN ou de l'adjoint aux affaires scolaires. 1 1
HYPO Posté(e) 30 mai 2019 Posté(e) 30 mai 2019 Il y a 2 heures, André Jorge a dit : Il n'est pas besoin que le directeur décide de vérifier la coopérative, ce n'est pas à cela que je fais allusion, mais plutôt à des situations où un enseignant achète une tablette avec l'argent de la coopérative, qu'il la ramène chez lui tous les soirs, et qu'il nous dit qu'il est allé à la plage avec et qu'il nous montre les photographies de ses enfants en train de jouer dans le sable, ou quand le mandataire se rend compte qu'une enseignante a acheté avec l'argent de la coopérative, dans la magasin de son mari, du matériel qu'on utilise pas en classe et qu'il vient en parler au directeur, ou quand une enseignante achète le matériel scolaire de sa fille avec l'argent de la coop, etc. Nan mais là, la coop ne rembourse pas (c'est le mode de gestion qui est à revoir ici afin d'éviter les abus: on rembourse sur présentation d'une facture et dans la mesure où la dépense est "couverte" par les attendus reglementaires de ce que la coop peut prendre en charge.) D'une manière plus globale, je pense que tu te trompes de combat. Un changement de statut des directeurs.trices pour en faire des supérieurs hiérarchiques ne changera rien à la possibilité de rencontrer ou d'avoir dans une équipe des collègues (adjoints ou dir.) toxiques et/ou nuisibles, ce qui semble être le cas dans ton école. Au contraire. 1
maolecha Posté(e) 30 mai 2019 Posté(e) 30 mai 2019 il y a une heure, ronin a dit : C'est aussi une dérive de la hiérarchie et des mairies qui sont effectivement bien contents de se défausser sur les directeurs et directrices de tout et de rien. Mais le remède sera pire que le mal. Peut-être que si les directeurs et directrices avaient défendu leurs missions et refusé toutes les dérives de ces vingt dernières années nous n'en serions pas là. J'ai même lu que certains revendiquaient les moyens d'exécuter leurs missions mais estimaient qu'il n'y avait pas de problème sur ce qui est demandé. Donc, chargeons de plus en plus la barque, tant que l'on donne un statut de supérieur certains (j'ai bien écrit certains, pas tous heureusement) sont prêts à exécuter docilement. Même si c'est pour faire le boulot de l'IEN ou de l'adjoint aux affaires scolaires. Enfin si on va par là, les PE dans leur ensemble n'ont pas su non plus depuis 20 ans refuser les dérives de ce qui leur est demandé, comme les directeurs. Par ailleurs, la différence que je vois entre un enseignant spécialisé par exemple et un directeur c'est que le PE spécialisé avec sa formation et ses compétences travaillent pendant le temps de classe avec son public, avec toutes les specificités que cela entraîne. Le directeur travaille comme un adjoint (il pourrait aussi être spécialisé) ET en plus il accomplit un tout autre travail (mission ), celui de direction. J'aimerais avoir une année de formation, j'aimerais avoir des stages de qualité tous le 3 ou 4 ans.
Adan Posté(e) 30 mai 2019 Posté(e) 30 mai 2019 Il y a 3 heures, André Jorge a dit : Il a toujours été possible de faire remonter vos mécontentements à l'IEN... Mais vous ne pouvez pas évaluer le travail administratif du directeur : un travail que vous ne connaissez pas. Et si je le connais. Et il serait possible de créer des critères d évaluation, par exemple : - la capacité à impulser des projets et une équipe. - à communiquer avec tous les partenaires éducatifs - à faire du lien - Lea respect des horaires - à organiser les réunions. Et bien d autres. Une grille serait construite à ces fins Nous aussi, pauvre pe, nous sommes pas que des exécutants ! Aux usa, les étudiants évaluent bien leurs profs. Finalement, c est une bonne idée, cela pourrait éviter vos jugements, comme par exemple, vous ne connaissez mon travail. Et si vous étiez un peu ouvert, vous verrez qu en usager nous sommes amenés de plus en plus à évaluer ( un entretien téléphonie, un voyage sncf ect..).
Adan Posté(e) 30 mai 2019 Posté(e) 30 mai 2019 Il y a 3 heures, bab33 a dit : Alors explique le dans tes posts juste avant de faire ta liste. Rajoute sur tes mails l'humanité que tu pratiques au quotidien car je te jure tes propos lus littéralement font peur. Tout à fait, j ai surtout lu un homme qui voulait être .... et de l aigreur, plus que de l empathie dans ses propos écrits. Si tu vois la direction ainsi, peut être n est ce pas fait pour vous ou vous êtes arrivé au bout de la fonction ( usure normale). Une petite anecdote pour la coop, j étais dans une école où le directeur prenait des sous de coop pour offrir les cadeaux de départs des collègues. Votre raisonnement ne tient pas et vos difficultés rencontrées en direction doivent être analysées autrement. 1
Goëllette Posté(e) 30 mai 2019 Posté(e) 30 mai 2019 Il y a 2 heures, ronin a dit : Je suis PE spécialisé, j'ai fait une formation complémentaire, j'ai passé une certification et je ne demande pas pour autant à être supérieur des collègues ni à les juger. Et pourtant, je me suis plus souvent sentie jugée par les "maîtres alphabétiques" que par mes directeurs ! Maîtres alphabétiques qui ne font aucun service de récré, pratiquement aucune réunion, pas les 108h, qui arrivent pile à l'heure et pas 10 minutes avant comme nous (voire bien plus pour les directeurs), qui apparaissent et disparaissent sans qu'on sache vraiment où ils sont, qui se permettent (pas tous, heureusement) de remettre en question ton évaluation d'un môme que tu te tapes 24h par semaine au milieu de 24-29 autres parce qu'eux le connaîtraient mieux en l'ayant pris 1/2 en relation duelle ou très petit groupe une fois par semaine (et encore, à partir d'octobre et jusque fin mai, sauf les jours d'ESS, de formations à Pétahouchnok, ...). 2
Frédo45 Posté(e) 30 mai 2019 Posté(e) 30 mai 2019 Il y a 12 heures, André Jorge a dit : Tu déformes et tu salis les gens : ce sont là tes seuls arguments. Et toi, tu te défends bien mal... 1
ronin Posté(e) 30 mai 2019 Posté(e) 30 mai 2019 il y a 9 minutes, Goëllette a dit : Et pourtant, je me suis plus souvent sentie jugée par les "maîtres alphabétiques" que par mes directeurs ! Maîtres alphabétiques qui ne font aucun service de récré, pratiquement aucune réunion, pas les 108h, qui arrivent pile à l'heure et pas 10 minutes avant comme nous (voire bien plus pour les directeurs), qui apparaissent et disparaissent sans qu'on sache vraiment où ils sont, qui se permettent (pas tous, heureusement) de remettre en question ton évaluation d'un môme que tu te tapes 24h par semaine au milieu de 24-29 autres parce qu'eux le connaîtraient mieux en l'ayant pris 1/2 en relation duelle ou très petit groupe une fois par semaine (et encore, à partir d'octobre et jusque fin mai, sauf les jours d'ESS, de formations à Pétahouchnok, ...). Je suis en établissement. Tout le monde n'est pas en rased. Et donc, en ESMS on fait 24 heures de classe, plus les 108h et même plus puisque l'on a des réunions avec les équipes. Perso, j'ai compté je ne suis pas à108 mais plutôt autour de 140/150 heures. Et je ne juge personne. Pour en revenir à la direction, je suis d'accord avec Maolecha que c'est effectivement une dérive qui concerne tout le monde. Et pas que les PE d'ailleurs, tous les enseignants. De plus en plus de réunions, de paperasse, d'infantilisation. Et le ministère qui sait nous diviser. Mais justement, qu'il s'agisse de la direction d'école ou d'autres sujets, il est devenu impossible de prendre du recul et de raisonner de manière globale. Je donne l'exemple du spécialisé, Goelette en profite pour se plaindre du rased. Je ne suis pas dans un rased donc bingo. Mais c'est exactement le principe. Et si on revient sur les dernières réformes mortifères rien que sur la décennie : lycée 2010 de Chatel, seuls quelques profs de lycée ont bougé. Quand on s'est pris la réforme des rythmes le secondaire ne s'est pas bougé et nous a retorqué que l'on avait bougé pour le lycée. Collège 2016, les PE et les lycées n'ont pas bougé donc les PLC de collège sont mécontents. Là on revient au lycée et au bac, sûr que ça ne va pas beaucoup bouger. Les enseignants sont complètement fragmentés. Je trouve ça triste, Macron peut nous achever tranquille. D'ailleurs, la loi FP est passée. 1 1
Frédo45 Posté(e) 30 mai 2019 Posté(e) 30 mai 2019 Il y a 12 heures, André Jorge a dit : Je n'évalue pas la pédagogie des enseignants, j'évalue le respect de leurs obligations de service et leur investissement dans les actions éducatives en faveur des élèves. Les actions éducatives, ce n'est pas la pédagogie ? Tu rames. Un projet d'école est établi pour répondre aux difficultés de l'école et des élèves. Il n'empêche en rien la liberté pédagogique et de plus il est construit en équipe, avec la participation de tous les enseignants. Si un enseignant ne souhaite pas s'inscrire dans ce projet, je ne vois pas bien comment tu vas l'y forcer... A moins de remettre en cause la liberté pédagogique. Et je connais des directeurs qui s'assoient sur le projet d'école dès lors que ce ne sont pas eux qui l' ont rédigé. N'importe quoi... Je n'ai nullement évoqué cette idée saugrenue de loyauté envers le directeur. Encore une fois, tu salis les gens à défaut d'avoir des arguments. " passe-t-il de classe en classe pour inciter les collègues à s'opposer au directeur (par exemple pour ne pas faire la surveillance, pour qu'un maximum d'enseignants refusent de faire une kermesse, faire pression sur le directeur pour qu'il lui offre un triple niveau avec uniquement des "têtes blondes")." Nooonnnn... Il est payé pour ça, pour s'occuper des élèves en difficulté. Et oui, c'est essentiel de faire progresser les élèves. Il est payé pour faire progresser les élèves, oui. Est-ce qu'on peut faire progresser les élèves sans APC ? Oui. Comment peut-on laisser des élèves sans surveillance en classe... pour aller faire des photocopies et bavarder ?... Et surtout comment peut-on le cautionner ?... Sans problème. Je connais des directeurs qui le font sans souci. Et quand j'étais gosse, mon instit était aussi secrétaire de mairie. Il nous laissait régulièrement seuls dans la classe. Etait-il un mauvais enseignant ? Certes non. Et ils étaient nombreux dans son cas ! Je fais mon travail de directeur, responsable du bon fonctionnement de l'école et de la sécurité des élèves. Aucun espionnage dans tout cela. Non, ta litanie de prérogatives te contredit. Personne ne doit. Mais c'est mon travail aussi d'encourager le partage et une bonne ambiance (de travail mais pas seulement) dans l'école : une bonne entente, des échanges, des partages dans une équipe, favorisent le bien-être, facilitent le travail de tous et font avancer les élèves. Non. Ce n'est pas ton travail d'encourager la bonne ambiance. Si tu veux une bonne ambiance, paie un apéro. Mais sans alcool bien sûr, parce que sur le temps du midi, ça la fout mal avant de retrouver les élèves ! Je connais plein d'écoles avec des ambiances de merde. Parfois, c'est la faute du directeur. Parfois, c'est la faute des adjoints. On ne peut pas obliger les enseignants d'une école à bien s'entendre. Quant à favoriser le travail en équipe, les adjoints n'ont pas besoin d'un chef pour le faire. Oui, ça peut se juger objectivement dans certains cas, par exemple : un enseignant qui est agressif ou insolent avec les parents et multiplie les conflit avec eux ne contribue pas au bon fonctionnement de l'école ni à la réussite des élèves. Un enseignant qui ne dit pas oui à toutes les exigences des parents apparaîtra facilement insolent ou vindicatif. Cela signifie-t-il qu'il est en tort ? Il n'est pas question de parents qui aiment le prof ou pas, ni de clients, mais de parents qui se plaignent de l'absence de travail de la part d'un enseignant fainéant... et des enseignants fainéants, il y en a, malheureusement. Et ils sont qui pour juger le travail d'un enseignant ? Des experts en pédagogie ? C'est quoi la prochaine étape ? Un questionnaire de satisfaction ? Oui, il y a des enseignants fainéants. Et parmi, il y a aussi des directeurs. Je suis parent d'élève, je vois qu'il n'y a pas de travail, je m'inquiète à juste titre pour l'avenir de mon enfant et pour sa scolarité. Donc je vais voir l'enseignant et si rien ne change je vais voir le directeur. Rien d'anormal dans tout cela. Déjà, si tu vas voir le directeur, c'est que tu ne connais pas la chaîne hiérarchique et c'est inquiétant pour un directeur d'école. Ensuite, je t'imagine bien aller toujours dans le sens des parents. Et ça aussi, ça fait peur. Et bien si, c'est à moi de juger dans ce cas-là et on en tiendra compte dans l'évaluation. Pourquoi ne devrait-on pas ? Non, ce n'est pas à toi de juger. Rien à voir avec la folie des grandeurs : juste la recherche de ce qu'il y a de mieux pour l'école et les élèves... Et il est normal que j'aie contre moi les paresseux, les menteurs et les malhonnêtes. Les paresseux ? Qu'est-ce qui te permet de dire ça de moi. D'autant que ceux qui me connaissent en tant qu'enseignant risquent de ne pas y souscrire. Les menteurs ? A quel moment est-ce que je mens ? S'opposer à ta vision archaïque du fonctionnement des écoles, c'est être un menteur. Les malhonnêtes ? La malhonnêteté consiste à faire croire qu'un directeur évaluateur permettra aux élèves de progresser. Ca c'est malhonnête, d'autant qu'il s'agit surtout pour les défenseurs de cette proposition de s'octroyer plus de pouvoir. Si tu le dis... tu es responsable de tes propos. 2 1
maryl Posté(e) 30 mai 2019 Posté(e) 30 mai 2019 Je ne suis pas directrice mais je comprends @André Jorge sur pleins de points entre autres : - les services non fait ou mal fait sont souvent suppléer par les autres enseignants. Et quand il n'y a qu'une petite minorité d'enseignants (vécu) qui sont à l'heure, surveillent de façon effective (sans téléphone à la main ou à l'oreille), attendent que les personnes de service soit dans la cour pour se libérer et que ça dure..., se retrouvent à 2/3 pour surveiller 400 gamins et ce de façon récurrente, on aimerait bien que le directeur puisse faire autre chose que râler. - quand on voit un enseignant dysfonctionnel, le directeur ne peut rien faire à part appeler l'IEN. De même s'il voit un enseignant en souffrance. - quand on a fait sa vie et qu'on a des obligations personnelles difficile voire impossible de passer le PERDIR. Des proviseurs et principaux m'ont dit de le passer, que j'avais le profil (je coordonne un projet inter degré du CP à la terminale). Ils me connaissent bien. Sauf que j'ai deux enfants que je ne peux séparer de leur père et quand ils ne seront plus à ma charge... ben j'aurai mon père à charge je ne peux donc changer de région. Sans ça je le ferai. Les collègues PLC râlent sur leur principal ou son adjoint comme nous pestons sur notre directeur. Il existe évidemment des PERDIR petits chefs, comme il existe des directeurs cheffaillons et inversement il existe des PERDIR bienveillants comme des directeurs bienveillants. Enfin nous avons un supérieur (l'IEN) alors évidemment quand il est loin physiquement on l'oublie au quotidien mais quand il est juste à côté de l'école, c'est autre chose. Sauf qu'il ne nous connaît pas contraire au directeur qui nous voit tous les jours et les choses sont biaisées. J'ai bossé dans le privé j'ai eu un n+1, un n+2... ça ne m'a jamais posé de problème. Alors un directeur manager pourquoi pas, à condition qu'il soit formé et non choisi arbitrairement et de façon obscure comme c'est le cas actuellement pour les décharges totales.
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