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Certificat Langue C1 Et C2I


chachaparis

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ohh non, pas le saut en parachute... !!! tout mais pas ça ! je veux bien encore d'autres pré-requis, mais pas le saut en parachute ! je dis NON ! :bleh: :bleh: :wink:

plus sérieusement, comment s'opposer à la mise en place du C1 ? car comme j'ai pu le lire auparavant, ça n'a pas l'air de choquer non plus les syndicats... existe-il une pétition ?

et quand pensez-vous que ce sera officiel ? quelqu'un a dit que ça ne devrait plus tarder, mais il n me semblait pas avoir vu de date précise...

allez, courage ! :wub:

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moi j'ai fait une terminale spécialisée espagnol, j'ai fait trois ans d'espagnol à la fac en option (6 heures d'espagnol en + de mes 3 heures obligatoire), je me débrouille bien, et j'ai à peine le niveau B2 sur l'ordinateur.... alors un niveau C1 j'y pense même pas! C'est incrompréhensible!

Une pétition... cela n'arrêtera en rien ce gouvernement!... je sais pas ce qu'il faut faire, je me sens impuissante, et c'est grave!

Ils lancent des trucs sans explications, sans réelle conscience ... et ils ne s'inquiétent pas de notre état psychologique et nerveux! LOL!

Moi ils me stressssssssss ces hommes du gouvernement! grrrrrr

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bonjour,

je viens de contacter ma prof d'anglais (je suis inscrite en Master a distance), concernant la possibilité d'avoir une attestation de niveau C1 à la fin de mon Master 1, si j'ai de bonnes notes. Déjà, elle n'avait pas l'air au courant qu'il y aurait ce pré-requis, mais bon, voici ce qu'elle m'a écrit :

"En fait, la seule chose qui soit exigée pour s'inscrire au concours CRPE, c'est

une licence, et les licences doivent faire figurer de l'anglais. En obtenant

votre Master vous avez (théoriquement) le niveau C1 en anglais et avez tous les

atouts pour réussir ce concours. En d'autres termes, il n'y a pas de validation

sous forme de diplôme ou certificat spécifique pour l'anglais, en obtenant tel

diplôme vous atteignez le C1 ou B2, etc."

donc à vous de juger...... à l'Université de bourgogne, il n'existe pas d'attestation...

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bonjour,

je viens de contacter ma prof d'anglais (je suis inscrite en Master a distance), concernant la possibilité d'avoir une attestation de niveau C1 à la fin de mon Master 1, si j'ai de bonnes notes. Déjà, elle n'avait pas l'air au courant qu'il y aurait ce pré-requis, mais bon, voici ce qu'elle m'a écrit :

"En fait, la seule chose qui soit exigée pour s'inscrire au concours CRPE, c'est

une licence, et les licences doivent faire figurer de l'anglais. En obtenant

votre Master vous avez (théoriquement) le niveau C1 en anglais et avez tous les

atouts pour réussir ce concours. En d'autres termes, il n'y a pas de validation

sous forme de diplôme ou certificat spécifique pour l'anglais, en obtenant tel

diplôme vous atteignez le C1 ou B2, etc."

donc à vous de juger...... à l'Université de bourgogne, il n'existe pas d'attestation...

Je vois pas trop ce qu'elle veut dire, parce qu'il n'y a pas d'anglais dans toutes les formations, que ça soit au niveau licence ou master, et encore quand il y en a c'est souvent pas tous les semestres et encore faut-il voire le niveau (c'est souvent plus pour pouvoir dire qu'ils proposent l'anglais qu'autre chose malheureusement), ça m'étonnerait très fortement que tous ceux qui ont une licence ou même un master l'aient ce niveau.

Et des attestations niveau C1 il en existe: le CAE de Cambridge :/

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ohh non, pas le saut en parachute... !!! tout mais pas ça ! je veux bien encore d'autres pré-requis, mais pas le saut en parachute ! je dis NON ! :bleh: :bleh: :wink:

plus sérieusement, comment s'opposer à la mise en place du C1 ? car comme j'ai pu le lire auparavant, ça n'a pas l'air de choquer non plus les syndicats... existe-il une pétition ?

et quand pensez-vous que ce sera officiel ? quelqu'un a dit que ça ne devrait plus tarder, mais il n me semblait pas avoir vu de date précise...

allez, courage ! :wub:

Peut être on pourra choisir entre saut en parachute et saut à l'élastique :D

Sinon aucune idée de quoi faire, si les syndicats bougent pas je vois pas trop, et je connais pas depétition?

Il me semble que les maquettes officielles du nouveau concours doivent sortir mi-novembre.

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J'ai une petite idée sur laquelle j'aimerais avoir votre avis.

Que pensez vous de cela :

Chacun d'entre nous pourrait, où il habite : coller, fixer sur un mûr, un poteau, dans le métro, ou autre, des alertes face à ce qui se passe! Faites ça à coté de chez vous, partout où vous allez!

C'est simple, ça prend pas longtemps, et ça ne coûte rien! (aller, 1 euro pour les impressions?)

Si un mouvement "silencieux" tel que celui ci pouvait avoir lieu, qu'il s'étendait, je pense que ça pourrait avoir son impact.

C'est une idée que je trouve sympa, originale, et qui pourrait alerter l'opinion.

ALORS???? :)

On pourrait créer ensemble des messages pour réfléchir sur ce qui est important à dire!?

Si ça tente quelques personnes, j'ouvre un poste là dessus pour rassembler la participation à ce projet.

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Les futurs PE feront des stages au cours de second semestre de M2, ils auront donc autant de "recul sur le métier" que nous, ie pas grand chose, mais pas moins non plus.

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Mais arrêtez de délirer quand même !!! Comment voulez vous qu'on exige de professeurs des écoles d'être bilingues alors que les professeurs de langues en secondaire sont très loin de l'être ?

Vous comprenez bien que quelque chose cloche là !!!

Alors cessez de jouer à vous faire peur pour rien.

j'espere que tu as raison mais je me demande si ce n'est pas volontaire:

si peu de monde se présente au concours, ils peuvent continuer a intensifier la baisse des recrutements avec moins de pression qu'actuellement afin de remplacer par des vacataires, précaires , j'en passe et des meilleures....

et les syndicats ..... quels syndicats..... ils se font marcher dessus depuis 2 ans et ce , dans tous les domaines et tout les secteurs....

le gouvernement passe tout en force.......

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A lire!!

Main basse sur l’école publique :

un essai salutaire Xavier Darcos veut-il démanteler l’école publique ? OUI, répondent les auteurs d’un livre paru chez Demopolis Pour l’enseignant Eddy Khaldi et la journaliste Muriel Fitoussi, l’actuel ministre de l’Education nationale entend saper les bases de l’école publique républicaine et pousser peu à peu classes moyennes et supérieures vers le privé.

Leur livre, "Main basse sur l’école publique", est, malheureusement, aussi étayé que convaincant.

Les auteurs se sont penchés sur la généalogie des idées qui marquent ce gouvernement, en matière d’éducation

nationale. Celles-ci vont puiser dans un vivier idéologiquement marqué, qui emprunte aussi bien au Club de l’Horloge

(extrême-droite) qu’à l’Opus Dei.

Catholiques conservateurs et droite ultra-libérale se sont rejoints, expliquent Eddy Khaldi et Muriel Fitoussi, pour

prôner "le chèque éducation" (aux Etats-Unis, "school voucher") : un coupon donné à l’école de son choix. L’école remet

le coupon au gouvernement, qui le convertit en argent. On se doute des conséquences d’une telle mesure : appauvrissement

de l’école publique, enrichissement des écoles privées les plus prisées, baisse générale du niveau des enseignants,

fin de toute mixité sociale.

Xavier Darcos s’est bien gardé, expliquent les auteurs, d’appliquer d’emblée une mesure si brutale. Pour affaiblir l’école

publique et préparer les esprits, mieux vaut avancer masqué. Il s’agit d’abord, martèle le gouvernement, de faire des

économies. Sans guère susciter de réaction, deux heures d’enseignement ont ainsi été supprimées cette année dans le

primaire (le samedi matin). Suppression également de 11.200 postes d’enseignants dans l’Education nationale (13.500

prévus l’an prochain). Détail rarement souligné, mais relevé par nos auteurs (pages 69 et 7 : le gouvernement a ôté, en

proportion, moins de postes dans le privé (les enseignants des écoles sous contrat sont payés par l’Etat), que dans le

secteur public.

Insidieusement, l’argent public s’oriente de plus en plus vers l’enseignement privé, en particulier catholique. Et le

mouvement ne date pas d’aujourd’hui : la loi sur la décentralisation du 13 août 2004 "impose aux communes de

contribuer aux frais de scolarité des élèves qui résident sur leur territoire et sont inscrits dans une école privée située

sur une autre commune". Une loi impulsée par Jean-Pierre Raffarin qui aurait prononcé en juin 1994, devant des

personnels d’établissement catholique de Poitou-Charentes, cette phrase ahurissante : "Je ne serai pas le complice du

développement de l’enseignement public" (page 142).

Autre concession de taille à la droite la plus réactionnaire : la suppression des IUFM, dénoncés depuis longtemps par

celle-ci comme un nid de "pédagogistes" malfaisants. "L’économie réalisée par une telle opération se chiffre à près de

30.000 emplois de stagiaires, le volet IUFM du budget de l’education nationale étant purement et simplement

supprimé, puisque la formation dispensée aux élèves-professeurs ne serait plus rémunérée". Conséquence incroyable :

l’enseignement devient le seul métier qui ne nécessite pas de formation spécifique.

A ranger dans le même rayon, la pseudo-suppression de la carte scolaire. Comme il est difficile de pousser les murs,

lycées et collèges publics cotés n’accueillent pas plus d’enfants. L’annonce gouvernementale d’"aménagement" de la

carte scolaire a surtout multiplié les parents déçus, qui se sont rabattus (quand ils ont pu) sur les lycées et les collèges

privés. Une déception qui ne doit rien au hasard : si l’on en croit les auteurs du livre, tel était le but de la manoeuvre.

"Devant le naufrage annoncé et comme précipité de l’Education nationale, ... l’école privée, bien que porteuse de

ségrégation sociale, est en passe de devenir le nouvel eldorado de familles séduites par les slogans des marchands

d’école, à longueur de palmarès et d’articles élogieux que, pourtant les statistiques officielles démentent."

Autant lire au plus vite cet ouvrage salutaire qui met en garde l’ensemble des parents contre l’asphyxie programmée

de l’école républicaine. Certes, celle-ci ne saurait être exempte de critique et ne parvient pas toujours à mener à bien

toutes ses missions. Mais elle tente de le faire, avec de moins en moins de moyens. L’école publique est encore un lieu

de mixité sociale, et elle est seule à garantir un enseignement laïc, gratuit et obligatoire. Un héritage en voie de liquidation.

> "Main basse sur l’école publique" Eddy Khaldi et Muriel Fitoussi (Demopolis, 20 euros)

http://www.main-basse-sur-ecole-publique.com/

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C'est un tissu de sottises !!! Xavier Darcos a écrit un livre sur l'Ecole de Jules Ferry qu'il évoque avec beaucoup de nostalgie.

Demandez vous plutôt porquoi Jospin a supprimé les Ecoles Normales et vous comprendrez qui a eu la peau de l'école de la République.

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