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Alors, je viens de finir Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire de Jonas Jonasson (et du club de lecture)

Alors que tous dans la maison de retraite s’apprêtent à célébrer dignement son centième anniversaire, Allan Karlsson, qui déteste ce genre de pince-fesses, décide de fuguer. Chaussé de ses plus belles charentaises, il saute par la fenêtre de sa chambre et prend ses jambes à son cou. Débutent alors une improbable cavale à travers la Suède et un voyage décoiffant au cœur de l’histoire du XXe siècle. Car méfiez-vous des apparences ! Derrière ce frêle vieillard en pantoufles se cache un artificier de génie qui a eu la bonne idée de naître au début d’un siècle sanguinaire. Grâce à son talent pour les explosifs, Allan Karlsson, individu lambda, apolitique et inculte, s’est ainsi retrouvé mêlé à presque cent ans d’événements majeurs aux côtés des grands de ce monde, de Franco à Staline en passant par Truman et Mao...

J'ai passé un bon moment, des sourires parfois, bref une lecture agréable et sans prise de tête !

J'enchaine sur Le club des incorrigibles optimistes, de Guenassia (toujours pour le club de lecture)

Et après je m'attaque au premier des Enfants de la Terre, début d'une looongue lecture si ça me plaît !

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Alors, je viens de finir Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire de Jonas Jonasson (et du club de lecture)

Alors que tous dans la maison de retraite s’apprêtent à célébrer dignement son centième anniversaire, Allan Karlsson, qui déteste ce genre de pince-fesses, décide de fuguer. Chaussé de ses plus belles charentaises, il saute par la fenêtre de sa chambre et prend ses jambes à son cou. Débutent alors une improbable cavale à travers la Suède et un voyage décoiffant au cœur de l’histoire du XXe siècle. Car méfiez-vous des apparences ! Derrière ce frêle vieillard en pantoufles se cache un artificier de génie qui a eu la bonne idée de naître au début d’un siècle sanguinaire. Grâce à son talent pour les explosifs, Allan Karlsson, individu lambda, apolitique et inculte, s’est ainsi retrouvé mêlé à presque cent ans d’événements majeurs aux côtés des grands de ce monde, de Franco à Staline en passant par Truman et Mao...

J'ai passé un bon moment, des sourires parfois, bref une lecture agréable et sans prise de tête !

J'enchaine sur Le club des incorrigibles optimistes, de Guenassia (toujours pour le club de lecture)

Et après je m'attaque au premier des Enfants de la Terre, début d'une looongue lecture si ça me plaît !

Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire, j'attends qu'il soit dispo à la médiathèque pour le lire ...

Les enfants de la Terre, je l'ai lu il y a plusieurs années déjà, et j'en garde un excellent souvenir ! :)

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Les écureuils de central park sont tristes le lundi. Dernier Tome d'une série de 3 livres de Katherine Pancol.

"Souvent la vie s'amuse.

Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé d'un rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud.

Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident. Les gens brutaux, les gens pressés, ceux qui portent des gants de boxe ou font gicler le gravier, ignorent les détails. Ils veulent du lourd, de l'imposant, du clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un sou, une paille, la main d'un homme tremblant.

Mais si on se penche, si on arrête le temps, on découvre des diamants dans une main tendue...

Et la vie n'est plus jamais triste. Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi..."

Avant d'enchainer sur le dernier Musso!

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J'ai terminé La traversée de Alain Vircondelet, un témoignage sur les pieds-noirs vraiment très intéressant:

Juin 1962, Alain Vircondelet embarque avec ses parents sur le Ville d'Alger. Destination Marseille. A la veille de l'indépendance algérienne, près d'un million de Français sommés de choisir "la valise ou le cercueil" quittent ainsi précipitamment l'Algérie. En métropole, on les accueille comme des parias. Sacrifiés sur l'autel de la décolonisation, les pieds-noirs sont la mauvaise conscience de l'Etat gaulliste. Nourrie de souvenirs personnels et de documents d'époque, cette Traversée relate leur exode et l'inconsolable sentiment de déracinement qui les accompagne depuis lors. Un récit émouvant et cruel qui apporte un éclairage inédit sur l'un des épisodes les plus dramatiques de l'histoire contemporaine.

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Je lis Un week-end entre ami de Sophia Kinsella

Très léger

ça fait du bien en cette saison estivale

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Poète et paysan de Fournier. Une soirée lecture agréable, avec les pointes d'humour de cet auteur...

Journal d'un corps de Pennac. J'ai laché, je me suis ennuyée...

Nos séparations de Foenkinos. Sympa sans plus... Ca se lit bien, on ne s'ennuie pas, mais ca ne me laissera pas un souvenir impérissable.

Le gout du bonheur: Gabrielle. Je lis, je lis... j'aime bien, mais je vous avais tellement lu parlé de ce livre que je m'attendais à mieux. Je continue...

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J'ai lu Juste après dresseuse d'ours de Jaddo: je suis assez mitigée. J'ai aimé certains passages mais d'autres m'ont quelque peu déçue:

Petite, je voulais faire desseuse d'ours.

Et puis ça m'a passé et j'ai fait docteur. Généraliste remplaçante.

Mais quand même, depuis douze ans (entre la fac, l'hôpital et le cabinet), j'ai eu le temps de voir un paquet de choses absurdes, terrifiantes, émouvantes, révoltantes, rigolotes. J'ai eu le temps de dire un paquet de conneries, et d'en faire quelques-unes. J'ai eu le temps de mettre de côté un paquet d'histoires à raconter.

J'ai eu envie de les écrire, d'abord pour ne pas oublier ce qui me scandalisait à l'époque de l'hôpital, pour ne pas me laisser aller à m'habituer. Et aussi pour vomir ma frousse de me voir parfois si impuissante. Puis pour partager les rencontres, les fragments de victoires, les bouts de vie savourés.

Ces histoires, je les livre brutes, dans le désordre, comme je les ai vécues et comme elles me reviennent.

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J'ai terminé la ballade de l'impossible : j'ai moyennement accroché : j'ai eu du mal à me mettre dans le style de l'auteur et j'ai trouvé qu'il y avait quelques longueurs.

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Quelqu'un pour me parrainer sur Pochetroc ?

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Je viens de finir Le bonheur côté pile:

Ella Beene avait tout pour être heureuse : Joe, un mari adorable, déjà père de deux enfants, une vie idyllique au bord de la mer. Jusqu'au jour où Joe meurt accidentellement. C'est alors que la mère naturelle des enfants réapparaît. La vie d'Ella vient de basculer... Menacée de tout perdre, la jeune femme choisit de se battre et de donner au bonheur un nouveau départ. Réussira-t-elle son pari ?

Plaisant et facile à lire.

J'attaque Les cendres froides de Valentin Musso:

1999. À la mort de sont grand-père, Aurélien Cochet découvre que celui-ci aurait travaillé durant la guerre dans un lebensborn, une maternité nazie accueillant des jeunes femmes enceintes de membres de la SS. Au même moment, dans un petit village de la Marne, une octogénaire sans histoire est retrouvée assassinée à la suite d un cambriolage. Les gendarmes soupçonnent très vite une mise en scène, mais ils sont loin de se douter que cette retraité est la victime indirecte, plus de cinquante ans après la fin de la guerre, de l entreprise eugéniste nazie. Aidé par une jeune universitaire, Aurélien Cochet va tenter de lever le voile sur le passé de sa propre famille. Cambriolage, menaces, agression... Rien ne l empêchera de plonger au c ur d un des programmes les plus mystérieux et les plus terrifiants du IIIe Reich. Quitte à mettre ceux qu il aime en danger...

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Quelqu'un aurait il lu Mariage blanc de Valérie Zenatti ? Je l'ai vu en recommandation dans un magazine mais j'aime bien connaître l'avis des lecteurs ! Et il n'y a aucun avis sur amazon... :sad:

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J'ai terminé et j'ai été très touchée par Quatre petits bouts de pain de Magda Hollander-Lafon:

Ce livre est une méditation, non sur la mort, mais sur la vie. Ce n'est pas un témoignage sur l'expérience de la Shoah comme expérience de la mort, mais un appel à la vie. Un matin, à Auschwitz, une femme mourante demande à Magda Hollander-Lafon d'approcher et lui dit de prendre dans sa main les quatre petits bouts de pain qu'elle a gardés mais qu'elle ne peut plus manger : " tu es jeune, tu dois vivre ", lui dit-elle. Cette phrase a fait renaître Magda, jeune adolescente, plongée dans un enfer qui la happait. D'autres moments de grâce se produiront, symboliquement, avec l'eau, les nuages et un sourire. Ce furent chaque fois des renaissances physiques et spirituelles. De ces instants, qui sont autant de dons, elle livre aujourd'hui un témoignage spirituel d'une magnifique intensité. Il s'adresse à chacun : c'est une invitation à emprunter un chemin de pacification intérieure, de responsabilisation, un chemin vers sa vie. Un chemin qui, n'ignorant rien des ténèbres et de la peur, guide vers la lumière et vers la joie, cette " joie de vivre, qui est le ciel sur la terre.

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