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titecoccinelle

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:D

Ici j'ai fini "les vivants et les morts".

J'ai trouvé ça très bien, très réaliste je pense, on sent tellement le désespoir des personnages qu'on a l'impression être parmi eux..

J'aimerais bien qu'ils rediffusent la série!

Tout à l'heure je vais à la bibliothèque chercher le dernier tome de 1Q84 :yahoo:

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Je viens (enfin) de terminer Millénium et j'ai beaucoup aimé.

Maintenant, je pense commencer La délicatesse : vous en avez pensé quoi ?

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La délicatesse,Foenkinos : bien mais sans plus.

No et moi, D.De Vigan : un peu surfait.

En ce moment un thriller : Sans un mot, Harlan Corben.

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La délicatesse,Foenkinos : bien mais sans plus.

No et moi, D.De Vigan : un peu surfait.

En ce moment un thriller : Sans un mot, Harlan Corben.

La délicatesse est sur ma PAL donc ?

NO et moi j'ai adoré depuis D. de Vigan je n'en rate pas un

D'ailleurs je suis en train de lire le dernier et ça me plaît....

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Pour ma part j'ai bcp apprécié "LA délicatesse" et "No et moi ".

Pike , j'avais bien aimé aussi "quand souffle le vent du Nord" pas de la grande littérature mais j'ai passé un bon moment , ça se lit très trs vite .

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J'ai terminé et beaucoup aimé Où j'ai laissé mon âme de Jérôme Ferrari:

1957. A Alger, le capitaine André Degorce retrouve le lieutenant Horace Andreani, avec lequel il a affronté l'horreur des combats puis de la détention en Indochine. Désormais les prisonniers passent des mains de Degorce à celles d'Andreani, d'un tortionnaire à l'autre : les victimes sont devenues bourreaux. Si Andreani assume pleinement ce nouveau statut, Degorce, dépossédé de lui-même, ne trouve l'apaisement qu'auprès de Tahar, commandant de l'ALN, retenu dans une cellule qui prend des allures de confessionnal où le geôlier se livre à son prisonnier. Sur une scène désolée, fouettée par le vent, le sable et le sang, dans l'humidité des caves algéroises où des bourreaux se rassemblent autour des corps nus, Jérôme Ferrari, à travers trois personnages réunis par les injonctions de l'Histoire dans une douleur qui n'a, pour aucun d'eux, ni le même visage ni le même langage, trace, par-delà le bien et le mal, un incandescent chemin d'écriture vers l'impossible vérité de l'homme dès lors que l'enfer s'invite sur terre.

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Hello!

J'ai bien aimé la délicatesse aussi, mais j'ai trouvé qu'il y avait une petite longueur sur la fin...Je finis actuellement No et moi et j'adore! ;-))

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Hello,

pareil que toi Lulublue, le choeur des femmes, je n'ai pas accroché des masses: j'ai laché le roman à un moment, apres pour reprendre c'est penible! mais ça se lit!

Là je commence " la vie d'une autre" de Frédérique Deghelt...pour le moment ça me plaît beaucoup!!! ;-)

J'ai fini hier soir No et moi et j'ai vraiment aimé ce livre!!

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j'ai terminé Cérémonies barbares d'Elizabeth George :

Le collège de Bredgar représente le comble du chic et de la bonne éducation. Comment cet établissement discret pour privilégiés est-il devenu un lieu de supplice pour le jeune Matthiew Whateley ? Par quel enchaînement de chantage et d'humiliations, de cruauté et de violences sexuelles a-t-il fini par être assassiné ? Pourquoi son corps a-t-il été retrouvé si loin de l'école ? Barbara Havers et Thomas Lynley rassemblent les indices et découvrent que d'inquiétantes et barbares cérémonies se déroulent derrière les murs centenaires de Bredgar. Une enquête éprouvante où le couple de policiers le plus attachant de Scotland Yard risque de perdre son flegme et son sens de l'humour

C'est un policier de facture correcte avec suffisamment de suspense pour tenir en haleine. On rentre de suite dans l'action et les personnages sont excentriques. J'ai bien aimé

J'ai commencé Par un matin d'automne de Robert Goddard

Fin des années 1990. Leonora Galloway part en France avec sa fille afin de se rendre à Thiepval, près d'Amiens, au mémorial qui honore les soldats - dont de nombreux Britanniques, comme son père - tombés durant la bataille de la Somme, lors de la Grande Guerre. Le 30 avril 1916 est la date officielle de son décès. Or Leonora est née près d'un an plus tard. Ce qui pourrait n’être qu’un banal adultère cache en fait une étrange histoire, des secrets de famille, sur lesquels plane l'ombre d'un meurtre jamais résolu et où chaque mystère en dissimule un autre… Dans ce livre envoûtant, Robert Goddard allie l'atmosphère des plus grands romans anglais à un sens du suspense et de la reconstitution historique remarquables.

Pour l'instant j'aime bien. On rentre facilement dans l'histoire

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La délicatesse,Foenkinos : bien mais sans plus.

No et moi, D.De Vigan : un peu surfait.

En ce moment un thriller : Sans un mot, Harlan Corben.

La délicatesse est sur ma PAL donc ?

NO et moi j'ai adoré depuis D. de Vigan je n'en rate pas un

D'ailleurs je suis en train de lire le dernier et ça me plaît....

Mois aussi, je suis fan de De Vigan. :)

Le dernier m'a littéralement scotchée.

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J'ai commencé Par un matin d'automne de Robert Goddard

C'est mon prochain, en haut de ma pile !

J'ai fini Mystic River

East Buckingham, non loin de Boston, abrite le quartier des locataires, les Flats et celui de petits propriétaires, le Point. Aux Flats, l'avenir des habitants se résume aux allocations chômage de fin de mois. Au Point, on espère se faire une petite vie tranquille loin des voyous de "Cradeville". Mais quelquefois, les enfants de ces deux quartiers aiment à se retrouver. C'est le cas de Jimmy Marcus et Dave Boyle des Flats et de Sean Devine de Point. Leurs familles se connaissent car les pères travaillent dans la même entreprise de chocolat… même si le père de Sean est contremaître et celui de Jimmy, simple ouvrier.

Un samedi de 1975, alors que les trois gamins se bagarrent dans la rue, deux prétendus policiers descendent de voiture, les sermonnent et se proposent de raccompagner le petit Dave chez lui. L'enfant ne réapparaît que quatre jours plus tard. Tous comprennent et se taisent. Dave, qui a subi le pire, se réfugie lui aussi dans le silence et la culpabilité. Vingt-cinq ans plus tard, l'assassinat de Katie, la fille de Jimmy Marcus, portera en écho le sceau de cet événement tragique et indicible.

et j'entame, Rosa Candida

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