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Enseignants de Beziers et fichage


ckms

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C'est vraiment très bien écrit ! Chapeau !

Et quel courage, car je ne sais pas si elles ne prennent pas des risques pour leur carrière ! Je suis admirative !

J'espère en tous cas que leur(s) IEN les soutient(nent) et ne s'avéreront pas être leur(s) premier(s) ennemi(s).

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Le plus pathétique dans cette histoire c'est la volonté de continuer à décentraliser et donner encore plus de pouvoirs à ces ptits barons locaux!

L'Unsa défend la collègue et c'est bien, mais c'est pas eux qui veulent plus d'autonomie pour tout, qui soutiennent ce gouvernement dans toujours plus de décentralisation et de déconcentration pour concentrer le pouvoir dans des mains pas toujours propres! Et pas élu démocratiquement comme dans les Métropoles ou les Agglos...!

Les pompiers pyromanes!

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Le plus pathétique dans cette histoire c'est la volonté de continuer à décentraliser et donner encore plus de pouvoirs à ces ptits barons locaux!

L'Unsa défend la collègue et c'est bien, mais c'est pas eux qui veulent plus d'autonomie pour tout, qui soutiennent ce gouvernement dans toujours plus de décentralisation et de déconcentration pour concentrer le pouvoir dans des mains pas toujours propres! Et pas élu démocratiquement comme dans les Métropoles ou les Agglos...!

Les pompiers pyromanes!

C'est tout-à-fait ça :

http://www.unsa-education.com/spip.php?article1371

Autre annonce du maire : le regroupement des activités périscolaires le vendredi après-midi, afin de proposer "des activités qui servent aux apprentissages fondamentaux". Une décision rendue possible, à titre expérimental, par le décret Hamon sur la réforme des rythmes scolaires.

"Une “aventure” du vendredi après-midi qu'enseignants et parents d'élèves biterrois ont rejeté, se félicite Sébastien Moréno du SE-Unsa (UNSA Éducation). C'était peut-être tentant sur le papier mais pas forcément bénéfique pour les enfants".

...ou comment l'Unsa se félicite d'avoir empêché un maire de mettre en œuvre une organisation prévue dans le cadre d'une réforme... soutenue par l'Unsa.

Modifié par prof désécol
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Plutôt une organisation qui allait à l'encontre de la réforme initiale soutenue par ... l'unsa !

En effet, l'Unsa a soutenu jusqu'au bout la réforme des rythmes et le gouvernement, quitte à faire des contorsions acrobatiques pour faire accepter des possibilités d'aménagement pourtant contraires au prétendu objectif initial qui était de réduire la journée scolaire...

De son côté, Christian Chevalier, un des représentants du camp réformateur, s'est réjoui que « le principe des cinq matinées obligatoires ait été maintenu de façon ferme et que l'impératif d'appliquer à la rentrée 2014 ait aussi été répété ». Pour le secrétaire général du SE-UNSA, « le ministre montre qu'il a entendu le terrain en offrant une souplesse, mais n'a pas cédé sur les fondamentaux. C'est un signe important à nos yeux », a-t-il ajouté vendredi matin. « L'expérimentation va apporter la souplesse qui était nécessaire.»
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Pour revenir au sujet initial : les entend-on pour dénoncer les méfaits du maire et défendre les collègues qui s'exposent ?

Et les autres organisations syndicales et politiques ?

Parce que je présume que les actions municipales ne s'arrêtent pas à des descentes dans les écoles et des poignées de mains ...

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Non mais là, il faut arrêter... De l'attitude anti-républicaine d'un maire et de ses attaques régulières contre les enseignants, on arrive à la réforme des rythmes.

Réforme des rythmes ou non, 4 jours ou 4 jours et demie, R. Ménard reste un sale type.

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Pour revenir au sujet initial : les entend-on pour dénoncer les méfaits du maire et défendre les collègues qui s'exposent ?

Et les autres organisations syndicales et politiques ?

Parce que je présume que les actions municipales ne s'arrêtent pas à des descentes dans les écoles et des poignées de mains ...

Communiqué intersyndicale SE-UNSA - SNUipp-FSU - Sud'Educ

Montpellier, le 25/09/2015

A Madame la Directrice Académique

DSDEN de l’Hérault

Objet : Incident survenu à l’école élémentaire George Sand de Béziers le jeudi 24-09-2015

Nous, représentants des personnels 1er degré dans le département de l’Hérault, souhaiterions revenir

sur les évènements survenus à l’école élémentaire Georges Sand, à Béziers, le jeudi 24 septembre à midi.

M Robert Ménard, maire de la ville de Béziers a insulté et menacé un enseignant qui a refusé de lui serrer la

main. L’ensemble de l’équipe enseignante, témoin de la scène, a été choqué par les propos du Maire.

Nous ne pouvons accepter qu’un enseignant de la République, fonctionnaire d’Etat, se fasse injurier par le

premier magistrat de la ville.

Les organisations syndicales représentatives condamnent de tels actes et demandent à l’Institution de prendre

rapidement les dispositions nécessaires pour qu’à l’avenir, une telle situation ne se reproduise plus.

Il nous semble également opportun de rappeler que les personnels de l’Education Nationale ne sont pas les

employés d’un Maire, tout comme il nous parait indispensable que des excuses publiques soient présentées à

l’enseignant en question.

Enfin, nous tenons à rappeler ici que les syndicats enseignants s’opposeront aux pressions et aux menaces qui

pourraient être exercées à l’encontre du professeur des écoles injurié.

Nous vous prions de croire, mesdames et messieurs, en notre profond attachement au service public

d’Education.

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Non mais là, il faut arrêter... De l'attitude anti-républicaine d'un maire et de ses attaques régulières contre les enseignants, on arrive à la réforme des rythmes.

De prime abord, on pourrait penser qu'on est ici hors sujet

Mais cette réforme des "rythmes" a justement ouvert la voie au transfert de responsabilités éducatives à des édiles plus ou moins animés par l'esprit républicain.

En prime, elle a offert ces trois dernières années une tribune idéale à des élus locaux peu scrupuleux pour instrumentaliser l'école...

Il peut alors paraître cocasse de voir certaines centrales syndicales trouver normal de refuser une poignée de main à ceux à qui elles ont mécaniquement grand ouvert la porte...

Modifié par prof désécol
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Mais bien sûr, les injonctions municipales sont apparues en 2013... Et la guerre en Syrie, c'est aussi à cause de la réforme des rythmes.

Robert Ménard, la semaine aurait été de 4 jours, il se serait comporté différemment... Il aurait été doux comme un agneau avec les enseignants de sa ville... Bien sûr...

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