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corazon

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je suis entrain de lire le dernier Delphine de Vigan, D’après une histoire vraie,  emprunté à la biblio, comme d'hab j'aime bcp l'écriture, et l'histoire est intrigante.

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J'ai terminé Au revoir là-haut de Pierre Lemaître, lu en 5 semaines dont 4,5 d'école, youpi youpi youpi, je m'étonne encore à être capable de lire pendant les périodes scolaires depuis la fin de l'année dernière (merci le Karine Giebel hyper haletant Meurtres pour rédemption de l'époque, pas de la grande littérature mais une efficacité maximale) !

Certes, je n'en lis pas des kilos mais à coup de quelques minutes par ci par là, un peu le soir et un peu plus le week-end, même si ça ne fait que 100 pages par semaine, ça permet tout de même d'avancer.

Pour le Pierre Lemaître, je l'ai trouvé très bien, c'est tout simplement un bon roman, avec une très bonne histoire, un style agréable, des personnages bien campés... Je ne vois pas à qui il ne pourrait pas plaire.

Avant, j'avais lu Réparer les vivants de Maylis de Kerangal, pas mal, je m'attendais à une autre histoire d'après la 4e de couverture "l'histoire d'une transplantation cardiaque", et en fait, pas tant que ça, mais c'est un roman à découvrir, il ne s'agit pas d'une grande histoire d'un seul tenant mais les personnages sont assez beaux, le style est particulier (et on s'en rend bien compte sur liseuse quand on voit qu'on a une phrase commencée sur la page précédente... qui ne s'est toujours pas terminé à la fin de la page en cours) mais varié, il se lit bien, il ne demande pas d'effort de lecture. 

Là, j'en ai attaqué deux en parallèle mais je pense que je vais d'abord terminer le deuxième :

1) Karoo de Steeve Tesich, on me l'a offert, je n'ai pas du tout regardé la quatrième de couverture, j'en suis au tout début (mais je pense le reprendre après l'autre ; surtout que je ne l'ai pas sur liseuse et c'est un frein à la lecture nocturne pour moi), un  homme raconte que depuis quelques temps, il a beau boire au-delà du raisonnable, il n'est plus jamais en état d'ébriété et il se demande pourquoi, continuant à faire semblant d'être saoul pour les gens qui l'entourent...

2) L'exception d'Audur Ava Olafsdottir (proposé dans le club de lecture de mars-avril), un homme annonce à sa femme qu'il la quitte pour un autre homme après plus de dix ans de mariage, il a des préférences homosexuelles, sa femme était "l'exception" ; ils ont des jumeaux de deux ans et demi et une voisine naine conseillère conjugale qui va, je crois, intervenir dans l'histoire ; pour l'instant la manière dont sont racontées les choses me plaît beaucoup.

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J'ai lu hier d'une traite Vous n'aurez pas ma haine d'Antoine Leiris.

Que dire ... c'est poignant évidemment, dur mais encore une sacrée leçon de vie.
J'ai énormément pleuré à plusieurs reprises...

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Après Gravé dans le sable de Bussi, je viens de commencer La trilogie du mal (le 1er : L'âme du mal) de Chattam. 

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j'ai lu Un avion sans elle de Bussi, j'ai adoré! J'avais deviné une partie de la fin. 

Là je vais attaquer N'oublier jamais, du même auteur (je me les fais tous du coup, j'ai déjà lu: Gravé dans le sable, Le temps est assassin, Maman a tort, Un avion sans elle. Il me restera Les nymphéas noirs 

Nellou, j'avais adoré la trilogie du mal, ce sont les 1ers que j'ai lus de Chattam. 

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Ces deux dernières semaines, j'ai lu:

-En route vers Chartres de Pierre-Yves Le Priol: je l'ai trouvé assez spécial :(

Pour l'avoir découvert sur le tard, Pierre-Yves Le Priol considère l'écrivain Charles Péguy (1873-1914) comme un maître à penser et, plus encore, comme un maître de vie. Sa critique radicale du monde moderne, son parcours inattendu (de l'athéisme militant à la révélation de la foi), son écriture si singulière et comme à portée de voix : tout ce qui touche au " mécontemporain " Péguy résonne au plus profond de lui. 
Pierre-Yves Le Priol a participé à l'ouverture récente d'un Chemin Charles-Péguy vers Chartres, inspiré de celui que Péguy avait emprunté en 1912 et 1913. Celui-ci était alors allé invoquer " Notre-Dame de Beauce ", pour des raisons personnelles, jusqu'en sa cathédrale gothique. 
C'est ce pèlerinage effectué un siècle après Péguy, par les sentiers du Hurepoix et les champs de blé beaucerons, qui fait l'objet de ce récit : parcours effectué à pied et avec des amis, dont le petit-fils de l'écrivain lui-même. Au rythme de la marche commune, l'œuvre de Péguy se révèle à nos quatre pèlerins. Une œuvre qui aide chacun d'eux à vivre.

-Une putain d'histoire de Bernard Minier: j'ai bien aimé:

Hors des flots déchaînés, une main tendue vers le ciel. Un pont de bateau qui tangue, la pluie qui s'abat, et la nuit... Le début d'une " putain d'histoire ". 
Une histoire d'amour et de peur, de bruit et de fureur. L'histoire de Henry, 17 ans, que le meurtre de sa petite amie plonge dans l'enfer du soupçon. Sur son île, Glass Island, battue par les vents, cernée par la brume 360 jours par an et uniquement accessible par ferry, tout le monde connaît tout le monde, jusqu'au plus noir de ses secrets. Ou du moins le croit-on. 
Quand la peur gagne, la vérité s'y perd... 

-Pardonnable, impardonnable de Valérie Tong Cuong: j'ai vraiment beaucoup aimé. Un bon moment de lecture :)

Un après-midi d'été, alors qu'il se promène à vélo sur une route de campagne, Milo, douze ans, chute et se blesse grièvement. Ses parents Céleste et Lino et sa grand-mère Jeanne se précipitent à son chevet. Très vite, chacun va chercher les raisons de l'accident. Ou plutôt le coupable. Qui était avec lui ce jour-là ? Pourquoi Milo n'était-il pas à sa table, en train de faire ses devoirs, comme prévu ? Tandis que l'angoisse monte autour de l'état de Milo resurgissent peu à peu les rapports de force, les mensonges et les petits arrangements qui sous-tendent cette famille. L'amour que chacun porte à l'enfant ne suffira pas à endiguer la déflagration. Mais lorsque la haine aura tout emporté sur son passage, quel autre choix auront-ils pour survivre que de s'engager sur le chemin du pardon ?Un roman choral qui explore la difficulté à trouver sa place au sein du clan, les chagrins et la culpabilité, mais aussi et surtout la force de l'amour sous toutes ses formes.

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Il y a 10 heures, Babar. a dit :

1) Karoo de Steeve Tesich, on me l'a offert, je n'ai pas du tout regardé la quatrième de couverture, j'en suis au tout début (mais je pense le reprendre après l'autre ; surtout que je ne l'ai pas sur liseuse et c'est un frein à la lecture nocturne pour moi), un  homme raconte que depuis quelques temps, il a beau boire au-delà du raisonnable, il n'est plus jamais en état d'ébriété et il se demande pourquoi, continuant à faire semblant d'être saoul pour les gens qui l'entourent...

 

Je n'ai jamais réussi à le finir, c'est assez rare chez moi, tu me diras ce que tu en as pensé ...

 

J'ai attaqué un nouveau tome des Enfants de la terre.

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Il y a 22 heures, doubleR a dit :

je suis entrain de lire le dernier Delphine de Vigan, D’après une histoire vraie,  emprunté à la biblio, comme d'hab j'aime bcp l'écriture, et l'histoire est intrigante.

J'ai beaucoup aimé et pareil j'adore son style d'écriture.

 

Je suis en train de lire American girl de Jessica Knoll et pour l'instant ça me plait bien......Après je lirai le tome 2 de Vernon Subutex de Virginies Despentes

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Il y a 3 heures, Mimipouce a dit :

Je n'ai jamais réussi à le finir, c'est assez rare chez moi, tu me diras ce que tu en as pensé ...

Ouille !

En plus ce sont des amis que je vois souvent qui me l'ont offert, j'espère que je vais pouvoir y trouver un intérêt.

Du coup je vais aller jeter un oeil sur ce que tu lis :).

Edit : tes derniers messages ne parlent pas trop de ce que tu as lu... Je vais donc lire sans savoir et je mettrai ce que j'en aurai pensé ici.

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J'ai fini Vengeance par procuration de Mary Jane Clark 

Et j'ai commencé Un doux pardon de Lori Nelson Spielman

Citation

Hannah Farr est une personnalité en vue de La Nouvelle-Orléans. Animatrice télé, son émission quotidienne " The Hannah Farr Show " est suivie par des milliers de fans. Côté cœur, elle file depuis deux ans le parfait amour avec Michael Payne, le maire de la ville. Mais sa vie toute tracée va être bousculée par deux petites pierres... 
Ces " pierres du Pardon " connaissent un immense succès aux États-Unis. Le concept est simple : si vous avez quelque chose à vous faire pardonner, il suffit d'envoyer une lettre d'excuses à la personne que vous avez blessée, accompagnée de deux pierres. Si cette dernière accepte vos excuses, elle vous renvoie l'une des deux pierres. 
Bien inoffensives à première vue, celles-ci vont toutefois forcer Hannah à replonger dans son passé, celui-là même qu'elle avait soigneusement mis de côté depuis de nombreuses années, et toutes les certitudes de sa vie vont être balayées comme un château de cartes... 
Est-il encore temps de changer le destin ?

 

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Le ‎09‎/‎07‎/‎2016 à 14:45, DolphinAtlantica a dit :

Certes, ce n'est pas de la grande littérature mais en moins d'une semaine, 2 tomes avalés et je compte bien commencer dès aujourd'hui le 3ème. Comme toi, je me laisse surprendre en me disant que je n'arrive pas à arrêter cette lecture. Je veux savoir la fin également. En plus, j'aime lire les rebondissements de l'histoire et voir le personnage d'Hardin évoluer au fur et à mesure. Ca fait un peu midinette mais j'assume. Je me souviens avoir lu aussi rapidement Twilight.

Je ne suis pas seule :D

J'avais aussi dévoré Twilight à l'époque ;-)

Je suis entrain de lire Un amour vintage de Isabel Wolff.

Phoebe Swift vient d'ouvrir une boutique de vêtements d'occasion à Blackheath. Pour sur-monter sa tristesse due à la mort de sa meilleure amie Emma, elle se réfugie dans son métier: rendre à ces merveilleuses pièces vintage leur splendeur passée et leur offrir une nouvelle vie. Un jour, Phoebe rencontre Thérèse, une vieille dame française qui souhaite lui vendre quelques tailleurs et costumes élégants. Parmi sa garde-robe, Phoebe découvre un manteau d'enfant bleu ciel, datant des années 1940. Dans un premier temps, Thérèse préfère garder le secret sur l'histoire de ce manteau, mais à mesure que les deux femmes deviennent amies, elle se confie à Phoebe, qui écoute attentivement son récit sans se douter que celui-ci a un lien profond et intime avec sa propre vie...

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