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Vaccin, pas vaccin, changement d'avis ou pas ?


Goëllette

Vaccin, pas vaccin, vous avez changé d'avis ou pas ?  

297 membres ont voté

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Il y a 17 heures, prof désécol a dit :

Bof.

Des petits gestes pour la planète, j'en fais aussi, et à chaque fois, je sens que je me donne surtout bonne conscience...

...

Pourquoi minimiser ? Tu as une conscience, tu sais que ton geste a un impact, aussi faible soit-il et tu agis en conséquence. Question d'estime de soi.

Le contraire, c'est le cynisme.

Ce qui est inadmissible, c'est la propagande qui raconte que les 'petits gestes' sans changer le système sont la solution à la pollution, ce qui est faux.

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il y a 28 minutes, lecavalier a dit :

Pourquoi minimiser ?

 Parce que les "gros gestes", qui consisteraient à des renoncements et des engagements beaucoup plus importants -changer le système, pour reprendre tes mots- peu de monde s'y engage.

 Si un candidat à l'élection présidentielle déclarait qu'un monde décroissant est la seule issue possible avec à la clé une forte augmentation du chômage et de la précarité, combien seraient prêts à voter pour lui  ?

 

Citation

Le contraire, c'est le cynisme.

Sauf à militer et à s'engager tout entier dans le changement du système, il me semble qu'on est voués à errer entre l'hypocrisie et le cynisme.

 

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il y a 35 minutes, prof désécol a dit :

 ...

 Si un candidat à l'élection présidentielle déclarait qu'un monde décroissant est la seule issue possible [...], combien seraient prêts à voter pour lui  ?

...

Très très peu, on l'a vu à la primaire de EELV: Delphine Batho a été la seule à parler de décroissance et les votes sont allés aux autres candidats.

il y a 40 minutes, prof désécol a dit :

 ...

qu'un monde décroissant est la seule issue possible avec à la clé une forte augmentation du chômage et de la précarité,

...

Un monde de 'croissance' sur la lancée actuelle nous dirige encore bien plus sûrement vers une forte augmentation du chômage, de la précarité, de l'instabilité, de l'inégalité, des violences, ...

il y a 47 minutes, prof désécol a dit :

...

Sauf à militer et à s'engager tout entier dans le changement du système, il me semble qu'on est voués à errer entre l'hypocrisie et le cynisme.

Notre société n'est plus qu'un simulacre, un spectacle.

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Le 19 octobre 2021  FIGAROVOX/TRIBUNE    Extraits

Une centaine d'élus de Haute-Savoie décrivent les conséquences sociales du dispositif dans leur territoire et militent pour son abandon.

"Plus globalement, nous voyons la politique s'immiscer là où elle n'avait pas sa place jusqu'alors. Les pro et anti, que ce soit sur le sujet du passe ou du vaccin, se retrouvent subitement en opposition, là où ils vivaient paisiblement en harmonie. Les contrôles permanents sont autant de rappels, de coups de couteau, dans cette plaie de discorde. Ils sont effectués par des hommes et femmes qui n'en ont pas la vocation et qui subissent eux-mêmes de devoir se substituer à ce qui, jadis, était le pré carré des compétences régaliennes. Hier, nos policiers municipaux ne pouvaient pas contrôler une identité dans la rue, aujourd'hui vigiles ou bénévoles d'associations sont contraints de mettre en œuvre des barrages filtrants à l'entrée d'un gymnase ou d'un centre commercial.À cette implosion sociétale sans précédent, nous voyons nos services publics, déjà fragiles, subir de plein fouet les suspensions d'agents. Les lits déjà trop peu nombreux de nos Ehpad se ferment les uns après les autres, à la suite de suspensions de soignants. Les mêmes, qu'hier encore, nous applaudissions tous le soir venu. Laissant ainsi, autant de familles dans l'embarras et les plus fragiles d'entre nous, nos seniors, dans des situations inacceptables. Nous constatons, aussi, le retour contraint de personnes en situation de handicap, qui ne peuvent rester dans leurs centres spécialisés, faute de personnel. Les pharmacies de nos villages se retrouvent contraintes à réduire leurs amplitudes horaires faute de personnel vacciné. Nos centres de secours, déjà en tension perpétuelle, doivent se réorganiser et faire face au refus de pompiers déjà volontaires à se faire vacciner.

Plus largement, le passe, mis en œuvre dans un manque de concertation certain, est générateur d'une incompréhension grandissante. Ce dispositif, à géométrie variable, crée un imbroglio des plus total. Une école de musique, si elle est portée par une collectivité en est exemptée, mais si dans la commune voisine elle est sous forme associative, le passe s'applique. Un groupe de musiciens professionnels n'a pas besoin du précieux sésame pour répéter, quand il est dans le même temps imposé aux amateurs. Les enfants des collèges jouent ensemble au basket sans passe, mais le soir venu, dans le même gymnase, avec les mêmes enfants et cette fois dans le cadre associatif, le passe s'applique. Il est obligatoire dans les trains, mais pas les métros, dans les musées, mais pas les écoles, les exemples sont nombreux... Générant ainsi autant de frustrations doublées d'un sentiment profond d'injustice, dont nous sommes malgré nous les réceptacles.

Le passe sanitaire est à l'origine de cette fracture sans précédent de notre société. Nous en sommes les témoins privilégiés, quand le cadre légal ne nous oblige pas à en être les acteurs malgré nous. Cette crise de la Covid-19 est doublée d'une crise de gouvernance. La gestion de la pandémie, faute d'une vision claire et pérenne, fait porter et appliquer aux acteurs de terrain la mise en œuvre d'une obligation vaccinale qui ne dit pas son nom. Sans avoir à émettre ici un jugement sur cette stratégie qui nous dépasse, nous constatons chaque jour ses limites.

La mise en place généralisée du passe est une démonstration parfaite de la citation de Julio Cortazar, « La lâcheté tend à projeter sur les autres la responsabilité qu'on refuse ». En l'occurrence, les maires, les présidents d'associations, les petits patrons. ..."

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Il y a 10 heures, ablette a dit :

Le 19 octobre 2021  FIGAROVOX/TRIBUNE    Extraits

Une centaine d'élus de Haute-Savoie décrivent les conséquences sociales du dispositif dans leur territoire et militent pour son abandon.

"Plus globalement, nous voyons la politique s'immiscer là où elle n'avait pas sa place jusqu'alors. Les pro et anti, que ce soit sur le sujet du passe ou du vaccin, se retrouvent subitement en opposition, là où ils vivaient paisiblement en harmonie. Les contrôles permanents sont autant de rappels, de coups de couteau, dans cette plaie de discorde. Ils sont effectués par des hommes et femmes qui n'en ont pas la vocation et qui subissent eux-mêmes de devoir se substituer à ce qui, jadis, était le pré carré des compétences régaliennes. Hier, nos policiers municipaux ne pouvaient pas contrôler une identité dans la rue, aujourd'hui vigiles ou bénévoles d'associations sont contraints de mettre en œuvre des barrages filtrants à l'entrée d'un gymnase ou d'un centre commercial.À cette implosion sociétale sans précédent, nous voyons nos services publics, déjà fragiles, subir de plein fouet les suspensions d'agents. Les lits déjà trop peu nombreux de nos Ehpad se ferment les uns après les autres, à la suite de suspensions de soignants. Les mêmes, qu'hier encore, nous applaudissions tous le soir venu. Laissant ainsi, autant de familles dans l'embarras et les plus fragiles d'entre nous, nos seniors, dans des situations inacceptables. Nous constatons, aussi, le retour contraint de personnes en situation de handicap, qui ne peuvent rester dans leurs centres spécialisés, faute de personnel. Les pharmacies de nos villages se retrouvent contraintes à réduire leurs amplitudes horaires faute de personnel vacciné. Nos centres de secours, déjà en tension perpétuelle, doivent se réorganiser et faire face au refus de pompiers déjà volontaires à se faire vacciner.

Plus largement, le passe, mis en œuvre dans un manque de concertation certain, est générateur d'une incompréhension grandissante. Ce dispositif, à géométrie variable, crée un imbroglio des plus total. Une école de musique, si elle est portée par une collectivité en est exemptée, mais si dans la commune voisine elle est sous forme associative, le passe s'applique. Un groupe de musiciens professionnels n'a pas besoin du précieux sésame pour répéter, quand il est dans le même temps imposé aux amateurs. Les enfants des collèges jouent ensemble au basket sans passe, mais le soir venu, dans le même gymnase, avec les mêmes enfants et cette fois dans le cadre associatif, le passe s'applique. Il est obligatoire dans les trains, mais pas les métros, dans les musées, mais pas les écoles, les exemples sont nombreux... Générant ainsi autant de frustrations doublées d'un sentiment profond d'injustice, dont nous sommes malgré nous les réceptacles.

Le passe sanitaire est à l'origine de cette fracture sans précédent de notre société. Nous en sommes les témoins privilégiés, quand le cadre légal ne nous oblige pas à en être les acteurs malgré nous. Cette crise de la Covid-19 est doublée d'une crise de gouvernance. La gestion de la pandémie, faute d'une vision claire et pérenne, fait porter et appliquer aux acteurs de terrain la mise en œuvre d'une obligation vaccinale qui ne dit pas son nom. Sans avoir à émettre ici un jugement sur cette stratégie qui nous dépasse, nous constatons chaque jour ses limites.

La mise en place généralisée du passe est une démonstration parfaite de la citation de Julio Cortazar, « La lâcheté tend à projeter sur les autres la responsabilité qu'on refuse ». En l'occurrence, les maires, les présidents d'associations, les petits patrons. ..."

La saison de ski va commencer dans quelques semaines, ces élus se réveillent un peu tard... Le pass sanitaire n'est pas près de disparaître. Il va même prendre une dimension incontournable dans nos vies, avoir tout un tas de nouvelles "applications". La grenouille vient juste d'être mise dans la casserole. 

Je tenais à apporter mon soutien à toutes ces personnes soignantes que Macron a mis à pieds et à qui on refuse le RSA maintenant... A la mort sociale se combine une mort véritable. Ce sont sans doute les valeurs de la République LREM. L'apartheid existe bel et bien en France. 

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Il y a 16 heures, Torque a dit :

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Concernant le fait que les fabricants ne seraient pas responsables en cas de problème, c'est totalement faux.

Quand au reste, ben .. rien de nouveau. On a déjà écrit des pages et des pages.

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Il y a 5 heures, vero a dit :

Concernant le fait que les fabricants ne seraient pas responsables en cas de problème, c'est totalement faux.

Quand au reste, ben .. rien de nouveau. On a déjà écrit des pages et des pages.

Les fabricants sont responsables des effets secondaires ? 

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Il y a 21 heures, ablette a dit :

Le 19 octobre 2021  FIGAROVOX/TRIBUNE    Extraits

Une centaine d'élus de Haute-Savoie décrivent les conséquences sociales du dispositif dans leur territoire et militent pour son abandon.

"Plus globalement, nous voyons la politique s'immiscer là où elle n'avait pas sa place jusqu'alors. Les pro et anti, que ce soit sur le sujet du passe ou du vaccin, se retrouvent subitement en opposition, là où ils vivaient paisiblement en harmonie. Les contrôles permanents sont autant de rappels, de coups de couteau, dans cette plaie de discorde. Ils sont effectués par des hommes et femmes qui n'en ont pas la vocation et qui subissent eux-mêmes de devoir se substituer à ce qui, jadis, était le pré carré des compétences régaliennes. Hier, nos policiers municipaux ne pouvaient pas contrôler une identité dans la rue, aujourd'hui vigiles ou bénévoles d'associations sont contraints de mettre en œuvre des barrages filtrants à l'entrée d'un gymnase ou d'un centre commercial.À cette implosion sociétale sans précédent, nous voyons nos services publics, déjà fragiles, subir de plein fouet les suspensions d'agents. Les lits déjà trop peu nombreux de nos Ehpad se ferment les uns après les autres, à la suite de suspensions de soignants. Les mêmes, qu'hier encore, nous applaudissions tous le soir venu. Laissant ainsi, autant de familles dans l'embarras et les plus fragiles d'entre nous, nos seniors, dans des situations inacceptables. Nous constatons, aussi, le retour contraint de personnes en situation de handicap, qui ne peuvent rester dans leurs centres spécialisés, faute de personnel. Les pharmacies de nos villages se retrouvent contraintes à réduire leurs amplitudes horaires faute de personnel vacciné. Nos centres de secours, déjà en tension perpétuelle, doivent se réorganiser et faire face au refus de pompiers déjà volontaires à se faire vacciner.

Plus largement, le passe, mis en œuvre dans un manque de concertation certain, est générateur d'une incompréhension grandissante. Ce dispositif, à géométrie variable, crée un imbroglio des plus total. Une école de musique, si elle est portée par une collectivité en est exemptée, mais si dans la commune voisine elle est sous forme associative, le passe s'applique. Un groupe de musiciens professionnels n'a pas besoin du précieux sésame pour répéter, quand il est dans le même temps imposé aux amateurs. Les enfants des collèges jouent ensemble au basket sans passe, mais le soir venu, dans le même gymnase, avec les mêmes enfants et cette fois dans le cadre associatif, le passe s'applique. Il est obligatoire dans les trains, mais pas les métros, dans les musées, mais pas les écoles, les exemples sont nombreux... Générant ainsi autant de frustrations doublées d'un sentiment profond d'injustice, dont nous sommes malgré nous les réceptacles.

Le passe sanitaire est à l'origine de cette fracture sans précédent de notre société. Nous en sommes les témoins privilégiés, quand le cadre légal ne nous oblige pas à en être les acteurs malgré nous. Cette crise de la Covid-19 est doublée d'une crise de gouvernance. La gestion de la pandémie, faute d'une vision claire et pérenne, fait porter et appliquer aux acteurs de terrain la mise en œuvre d'une obligation vaccinale qui ne dit pas son nom. Sans avoir à émettre ici un jugement sur cette stratégie qui nous dépasse, nous constatons chaque jour ses limites.

La mise en place généralisée du passe est une démonstration parfaite de la citation de Julio Cortazar, « La lâcheté tend à projeter sur les autres la responsabilité qu'on refuse ». En l'occurrence, les maires, les présidents d'associations, les petits patrons. ..."

Rappelons que ce pass et les pressions exercées pour se vacciner dans le cadre de son emploi ont été condamnées par le Conseil de l'Europe. 

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Il y a 13 heures, nonau a dit :

Les fabricants sont responsables des effets secondaires ? 

Oui, en cas de problème, leur responsabilité reste engagée. En cas de problème directement lié au vaccin et prouve. 

Je recherche les textes et je te les mets.

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Il y a 1 heure, vero a dit :

Oui, en cas de problème, leur responsabilité reste engagée. En cas de problème directement lié au vaccin et prouve. 

Je recherche les textes et je te les mets.

Merci

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