Floredelouest Posté(e) 19 juillet 2019 Partager Posté(e) 19 juillet 2019 Merci Clicasos. Ça permet de réfléchir et de se montrer prudent. Mais visiblement on n'en a pas tous la même lecture. Je n'y vois pas d'interdiction formelle. Dans le 1er doc, on dit même que cette vente est autorisée (pains au chocolat notamment) s'il s'agit de financer un projet (financer la coop scolaire par exemple ?) et qu'il ne s'agit pas d'une opération habituelle (c'est toujours ponctuel ce type d'opérations dans nos écoles ). Dans le 2ème doc, il semble plus s'agir de respecter les statuts de l'OCCE quand on est en coopérative affiliée (-et la philosophie)', donc ne seraient pas concernées les autres assos (caisse école non affiliée occe, association parents...) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
clicasos Posté(e) 19 juillet 2019 Partager Posté(e) 19 juillet 2019 il y a 12 minutes, flore49 a dit : Merci Clicasos. Ça permet de réfléchir et de se montrer prudent. Mais visiblement on n'en a pas tous la même lecture. Je n'y vois pas d'interdiction formelle. Dans le 1er doc, on dit même que cette vente est autorisée (pains au chocolat notamment) s'il s'agit de financer un projet (financer la coop scolaire par exemple ?) et qu'il ne s'agit pas d'une opération habituelle (c'est toujours ponctuel ce type d'opérations dans nos écoles ). Dans le 2ème doc, il semble plus s'agir de respecter les statuts de l'OCCE quand on est en coopérative affiliée (-et la philosophie)', donc ne seraient pas concernées les autres assos (caisse école non affiliée occe, association parents...) En effet, il s'agit de cas où l'école a une coopérative OCCE et donc cela cadre certaines situations et comme tu le dis, la vente de petits pains est autorisée sous certaines conditions qu'il faut justifier par un projet quand tu veux rester dans les clous et en cas un contrôle des comptes. Beaucoup ne pensent certainement pas à "justifier" ses ventes par des mises en parallèle avec des actions menées concrètes et pas uniquement de remplir les caisses. Par exemple vente de pains pour financer la sortie X ou Y...ou le projet jardin ou bibliothèque, que sais-je encore... Je ne peux répondre pour les autres assos, je ne connais pas ce cas dans mon école mais de toute façon, il doit y avoir des textes qui les régissent. J'ai reçu il y a peu un vademecum sur l'argent à l'école mais je n'ai pas tout lu encore http://www1.ac-lille.fr/cid137165/vademecum-l-argent-a-l-ecole.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
lilie2fr Posté(e) 19 juillet 2019 Partager Posté(e) 19 juillet 2019 Il y a 3 heures, flore49 a dit : Merci Clicasos. Ça permet de réfléchir et de se montrer prudent. Mais visiblement on n'en a pas tous la même lecture. Je n'y vois pas d'interdiction formelle. Dans le 1er doc, on dit même que cette vente est autorisée (pains au chocolat notamment) s'il s'agit de financer un projet (financer la coop scolaire par exemple ?) et qu'il ne s'agit pas d'une opération habituelle (c'est toujours ponctuel ce type d'opérations dans nos écoles ). Dans le 2ème doc, il semble plus s'agir de respecter les statuts de l'OCCE quand on est en coopérative affiliée (-et la philosophie)', donc ne seraient pas concernées les autres assos (caisse école non affiliée occe, association parents...) En cherchant sur le net, on voit que toutes les OCCE n'ont pas les mêmes "règles". Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Yuuko Posté(e) 19 juillet 2019 Partager Posté(e) 19 juillet 2019 Après pour les fonctionnements autres que l'OCCE, tout dépend du statut de l'asso qui gère le tout. Stricto senso, en effet l'école en tant qu'entité n'a pas le droit de faire du benef mais les associations de parents d'élèves rien ne l'interdit donc toutes les ventes possibles et imaginables sont autorisées. A partir du moment où toute la gestion revient à l'association de parents c'est tout bon. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Floredelouest Posté(e) 20 juillet 2019 Partager Posté(e) 20 juillet 2019 Il y a 7 heures, lilie2fr a dit : En cherchant sur le net, on voit que toutes les OCCE n'ont pas les mêmes "règles". L'an passé, nous avons eu un contrôle de coop par l'Occe et ils n'ont rien dit sur les ventes de brioches et de chocolats. Pourtant, ça m'aurait arrangé, je ne suis pas fan de ces ventes. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
clicasos Posté(e) 20 juillet 2019 Partager Posté(e) 20 juillet 2019 Il y a 16 heures, lilie2fr a dit : En cherchant sur le net, on voit que toutes les OCCE n'ont pas les mêmes "règles". Oui, en effet, c'est bizarre quand même... Il reste le bon sens pour gérer la coop. Il y a 15 heures, Yuuko a dit : Après pour les fonctionnements autres que l'OCCE, tout dépend du statut de l'asso qui gère le tout. Stricto senso, en effet l'école en tant qu'entité n'a pas le droit de faire du benef mais les associations de parents d'élèves rien ne l'interdit donc toutes les ventes possibles et imaginables sont autorisées. A partir du moment où toute la gestion revient à l'association de parents c'est tout bon. Oui, j'ai cherché sur le net pour les associations et tout dépend des statuts de l'asso et de son objet. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
montagny Posté(e) 1 octobre 2019 Partager Posté(e) 1 octobre 2019 https://www.lesechos.fr/politique-societe/societe/des-pistes-pour-sattaquer-au-malaise-des-directeurs-decole-1136035 Après les critiques qu'a soulevées le projet de loi sur l'école de la confiance, la députée ne veut plus parler de « statut de directeurs ou de qui que ce soit car ce sujet provoque une réaction presque épidermique ». Cécile Rilhac confie aux « Echos » avoir cherché « une autre porte d'entrée » : les enseignants qui veulent devenir directeurs d'école pourraient le faire par validation des acquis de l'expérience comme aujourd'hui mais pour une nouvelle fonction qui serait celle de « chef d'établissement du premier degré ». Sa future proposition de loi - qu'elle pourrait présenter plus tôt que prévu, vu l'actualité - donnerait la possibilité au ministre de créer cette nouvelle fonction pour « bien encadrer les missions du directeur d'école et avoir une revalorisation indemnitaire beaucoup plus importante par un système de primes ». Ces futurs chefs d'établissement pourraient ne faire que « piloter l'école primaire » à partir d'un certain seuil - qui serait fixé par le ministre. Cécile Rilhac plaide pour qu'au-delà de douze classes, ces chefs d'établissement se consacrent uniquement à leur fonction de directeur, ce qui supposerait de créer de l'ordre de 3.400 postes. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Goëllette Posté(e) 1 octobre 2019 Partager Posté(e) 1 octobre 2019 Bah, en REP+, avec 12 classes (7 de 12 élèves et 5 de 24 soit 164 en tout), tu es déjà totalement déchargé, quand hors REP, avec 13 classes (13 de 27 soit 351 en tout, donc plus du double), tu ne l'es pas encore. Il faut donc arrêter de compter en terme de nombre de classes, pour décider du taux de décharge, mais en nombre d'élèves à encadrer. Avec des élèves d'ULIS qui comptent double, par contre, vu le temps de concertation qu'ils nécessitent. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Lena Posté(e) 1 octobre 2019 Partager Posté(e) 1 octobre 2019 Elle réinvente l'eau tièdasse, la dame? Les décharges totales existent déjà, pour les écoles de plus de 12 classes (donc au moins 13, puissant raisonnement). Cela ne coûte donc rien que des effets de manche. Aucune école du département n'a cette taille. Les décharges totales, de fait, sont pour des directeurs demi-déchargés ayant des missions autres (de formation, syndicales). Les ULIS n'étant pas des classes mais des dispositifs, difficile de "les compter". Par contre, faire compter pour le travail de direction/administratif/enseignant tout élève à statut MDPH comme comptant triple, cela serait intelligent. Pas double, triple. Y compris pour la prise en compte des seuils d'ouverture/fermeture. En ULIS ou non. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Adan Posté(e) 1 octobre 2019 Partager Posté(e) 1 octobre 2019 Il y a 11 heures, Lena a dit : Elle réinvente l'eau tièdasse, la dame? Les décharges totales existent déjà, pour les écoles de plus de 12 classes (donc au moins 13, puissant raisonnement). Cela ne coûte donc rien que des effets de manche. Aucune école du département n'a cette taille. Les décharges totales, de fait, sont pour des directeurs demi-déchargés ayant des missions autres (de formation, syndicales). Les ULIS n'étant pas des classes mais des dispositifs, difficile de "les compter". Par contre, faire compter pour le travail de direction/administratif/enseignant tout élève à statut MDPH comme comptant triple, cela serait intelligent. Pas double, triple. Y compris pour la prise en compte des seuils d'ouverture/fermeture. En ULIS ou non. et pour faire passer le statut du directeur et donc les établissements de réseaux ... voilà le tour est joué ... Christine va se retourner dans sa tombe. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Goëllette Posté(e) 1 octobre 2019 Partager Posté(e) 1 octobre 2019 Il y a 2 heures, Lena a dit : Elle réinvente l'eau tièdasse, la dame? Les décharges totales existent déjà, pour les écoles de plus de 12 classes (donc au moins 13, puissant raisonnement). Cela ne coûte donc rien que des effets de manche. Hors REP, c'est 14, non ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
montagny Posté(e) 1 octobre 2019 Partager Posté(e) 1 octobre 2019 Il y a 4 heures, Lena a dit : Elle réinvente l'eau tièdasse, la dame? Les décharges totales existent déjà, pour les écoles de plus de 12 classes (donc au moins 13, puissant raisonnement). Cela ne coûte donc rien que des effets de manche. Aucune école du département n'a cette taille. Les décharges totales, de fait, sont pour des directeurs demi-déchargés ayant des missions autres (de formation, syndicales). Les ULIS n'étant pas des classes mais des dispositifs, difficile de "les compter". Par contre, faire compter pour le travail de direction/administratif/enseignant tout élève à statut MDPH comme comptant triple, cela serait intelligent. Pas double, triple. Y compris pour la prise en compte des seuils d'ouverture/fermeture. En ULIS ou non. A partir de cette année, les Ulis comptent toujours comme classes et les élèves d'Ulis sont pris en compte dans les effectifs pour la carte scolaire. Il est vrai que ces élèves devraient compter au moins double ; dans mon école 25 élèves Ulis + 12 enfants MDPH comptent bien plus proportionnellement qu'un élève de classe ordinaire.... Les décharges totales sont à partir de 13 en mater et 14 en elem hors REP. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Messages recommandés
Créer un compte ou se connecter pour commenter
Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire
Créer un compte
Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !
Créer un nouveau compteSe connecter
Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.
Connectez-vous maintenant