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J'ai corrigé le problème d'informations personnelles dans la pièce jointe. Le courrier est déjà bien rédigé, clair, bien structuré et professionnel... Sinon, voici quelques améliorations éventuelles :  R. Bxxxxx Adresse Code postal – Commune Tél. : 06 xx xx xx xx Courriel : prénom.nom@... à Madame/Monsieur ......... Direction des Services Départementaux de l’Éducation nationale Adresse Code postal – Commune [Lieu], le [date] Objet : Candidature au poste d’enseignant en ULIS – École élémentaire de Mxxx Madame, Monsieur, Animé par une volonté constante de favoriser la réussite de tous les élèves, et plus particulièrement de ceux à besoins éducatifs particuliers, je souhaite mettre mon expérience et mon engagement au service du dispositif ULIS de l’école élémentaire de Mxxx. Actuellement professeur des écoles titulaire, en poste définitif sur une classe de CM1-CM2 à l’école primaire du xxxxxxxxxxxxxxxxx (Alpes-Maritimes), je présente ma candidature pour le poste à profil particulier en ULIS à l’école élémentaire de Mxxx. Au cours de mon parcours professionnel, j’ai été sensibilisé à la diversité des besoins des élèves et à l’importance de l’inclusion scolaire. Lors de ma formation initiale en Master MEEF, un stage au sein de l’ULIS de Mxxx m’a permis de découvrir le fonctionnement du dispositif et d’en percevoir les exigences ainsi que la richesse humaine et pédagogique. J’ai également assuré plusieurs remplacements en ULIS sur la circonscription de Menton lorsque j’étais brigade de circonscription en 2022-2023. Dans mes différentes classes, j’ai accueilli plusieurs élèves à besoins éducatifs particuliers, avec ou sans accompagnement d’un AESH, ce qui m’a conduit à adapter mes pratiques pédagogiques, à collaborer étroitement avec les équipes pluridisciplinaires et à renforcer mes compétences en différenciation et en accompagnement individualisé. Ces expériences, enrichies par des formations « école inclusive », ont renforcé ma conviction qu’une pédagogie ajustée et bienveillante permet à chaque élève de progresser à son rythme. Désireux de poursuivre dans cette voie, je projette de présenter le CAPPEI dès la session 2026 afin d’acquérir les compétences professionnelles spécifiques à l’enseignement auprès d’élèves à besoins particuliers. Je me tiens à votre disposition pour un entretien au cours duquel je pourrais vous exposer plus en détail ma motivation et mon engagement dans cette démarche. Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes salutations respectueuses. (Signature manuscrite) R. Bxxxxx

Pas très engageant en effet. Peut-être que c'est un dispositif utile dans certains contextes et pas dans d'autres, en l'occurrence pas dans cette école. Le seul café réussi dont j'ai eu vent dans une de mes précédentes écoles devait son succès uniquement au médiateur scolaire qui était missionné un jour par semaine sur notre école de REP+. N'ayant pas d'élèves en charge, il accueillait les parents sur le temps scolaire et animait des discussions, mais c'était il y a des années en arrière et je n'ai pas de contacts avec lui pour le questionner.   

Attention, on voit tes infos très personnelles en bas de la lettre, je te suggère de la modifier pour le forum.   À part ça, connais-tu un peu l'environnement de l'école visée ? J'ai lu la fiche de poste de cette école par curiosité et le contexte ne me paraît pas anodin. Peut-être que si, par chance, ton profil correspond à ce poste et que le jury constate que tu sais véritablement dans quoi tu t'engages, il sera enclin à te positionner dessus en attendant que tu passes le CAPPEI. Le poste POP étant un engagement pour 3 ans...   Courage

Voici pour l'instant mon 1er jet de lettre de motivation pour le poste. N'hésitez pas à le juger sur des modifications à faire, je suis preneur  !  Rémi Lettre de motivation - ULIS - Millas.pdf  

Je l'avais proposé, ainsi qu'une salle des parents, dans une école maternelle : parents et collègues ont tous refusé... Ce n'était manifestement pas ce dont ils avaient besoin, d'autant plus qu'il y a une autre vie en dehors de l'école.

Je suis tout à fait d'accord avec cela. On met trop souvent en avant l'utilité du savoir. C'est une dérive libérale. Le savoir doit être utile, sous-entendu il doit servir au futur employé. Nous devons continuer à défendre l'idée que le savoir se suffit à lui-même.  Par contre, là, on s'éloigner un peu du débat. Moi, je ne comprends pas pourquoi on change une façon de faire qui fonctionnait par une nouvelle qui n'apportera rien de mieux, y compris dans la production d'écrits.  Enfin, la grammaire n'est effectivement pas si importante dans la maîtrise de l'écrit. Par exemple, des CP sont capables de rédiger des phrases avec sujet, verbe et COD sans savoir ce qu'est un COD. Des CM2 vont construire des phrases avec des subordonnées relatives sans savoir ce que c'est. D'ailleurs, on peut travailler sur ces phrases complexes sans les nommer. 

Poste dans une classe ULIS. Je n'ai pas le CAPPEI, je sais qu'ils le demandent dans les modalités même pour le PoP, mais d'après certains avis il est possible de l'obtenir sans. Après je compte candidater en décembre pour avoir les formations au CAPPEI et pourquoi pas passer les épreuves prochaines. A noter que j'ai effectué un stage en ULIS durant le master et des remplacements en ULIS lorsque j'étais brigade de circo (je sais c'est très léger).

Bonjour à toustes 👋 Je propose, avant d'entrer dans le vif du sujet, que nous nous mettions d'emblée d'accord sur le fait qu'en dépit de toute notre bonne volonté, nul n'est infaillible, et que c'est normal. Baissons les boucliers, c'est en paix que j'aimerai ouvrir la discussion autour de ce sujet. Je fais le voeux d'une discussion paisible et respectueuse sur le sujet, comme si nous étions tous en cercle 👥   Le vif du sujet : la bienveillance à l'école. Voire même, agir avec bienveillance à l'école, en tant que professionnels. Je me lance. C'est une thématique importante pour moi, tant sur le plan personnel que professionnel, mais c'est surtout confrontée à l'école que j'ai eu à y réfléchir. Je suis dans le métier depuis 10 petites années. En début de carrière, je voulais bien faire, mais j'étais vite dépassée par les remarques insolentes et les comportements agressifs de certains élèves de cycle 3. Je criais, je faisais des remarques désobligeantes, des réponses acerbes et tranchantes pour faire taire les perturbateurs, j'excluais beaucoup, etc. Le coeur y était, mais pas les actes. Autant dire que c'est un cercle vicieux, on s'en rend compte assez vite quand on a la chance de travailler avec des collègues compétents et centrés sur les enfants. J'ai appris énormément à leur contact, à celui des collègues des dispositifs Ulis, et au contact de partenaires (rased et éducateurs spécialisés tout particulièrement). J'ai été affectée une grande partie de ma courte carrière dans des écoles REP+ et j'ai déchanté en les quittant. On dirait parfois que la recherche de bienveillance est inversement proportionnelle à la complexité de l'école. Avez-vous déjà ressenti ça en expérimentant différentes écoles ?  Il m'est très difficile d'aborder le sujet en réel, il y a un déni énorme autour, notamment, des violences éducatives ordinaires. Je ne dois pas être la seule à avoir été confrontée à ça ? Les personnes avec qui j'ai pu évoquer le sujet ont eu des réactions soit d'évitement, de minimisation, voire se sont carrément moquées de moi (pouffer "La bienveillance" en levant les yeux au ciel 😶). Dans le cas qui me concerne aujourd'hui j'ai choisi lâchement de laisser tomber et de faire le mouvement dans l'espoir de tomber à nouveau dans une école plus alignée avec mes valeurs. Pas l'énergie de me battre. Je me sens juste frappée d'un éclair de lucidité : certains collègues n'ont pas encore réalisé que s'ils sont contractuellement là pour enseigner, dans les faits ils seront aussi une figure marquante de la scolarité de chaque enfant rencontré sur leur chemin, pour le meilleur et pour le pire, en dépit de tout.   Petit moment de fierté sinon, il y a eu un document en début d'année civile, émis par des pédiatres entre autres et à l'intention des professionnels de la petite enfance. Ça parle de bienveillance, ça donne des recommandations que j'ai toujours vues appliquées, sinon recherchées, dans les équipes des REP+ où j'ai eu la chance d'enseigner précédemment (et qui, je le sais par expérience, donnent des résultats très positifs avec les publics très sensibles). Je me suis sentie validée, voilà. Ça change des haussements de sourcils et des silences réprobateurs.    Qui d'autre est intéressé pour discuter ?        

Bonjour parents et collègues qui me lisez 👋 J'aimerai adresser une question aux parents d'élèves qui ont pu expérimenter un "café des parents" dans l'école de leur(s) enfant(s). Comment s'est-il déroulé : sur quel temps, en quel endroit, animé par qui... ? Comment l'avez-vous vécu ? Qu'est-ce que ça vous a apporté (en positif et/ou en négatif) ?  Qu'avez-vous apprécié (ou non) et qu'aimeriez vous y trouver, ou ne surtout plus y trouver ?   Merci pour vos retours, si le coeur vous en dit. Bien bonne journée à vous !   Une enseignante passionnée

La fin définitive ...? https://www.liberation.fr/idees-et-debats/tribunes/letat-saborde-le-fonds-daide-aux-activites-periscolaires-pour-les-villes-a-la-semaine-de-45-jours-20251103_VZZU4W2WURDUHEW6GNW3SL5GZU/ La réaction du PS...